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1. Von der Zeit des Großen Kurfürsten bis auf die Gegenwart - S. uncounted

1902 - Leipzig : Hirt
6 stlv.greeiw. tfalet [Quedlinburg/&i Kahlem Kgmtaliey S.h. Schrijstiie Herzogtmer Wldk-fifl-rfst*. Wmeck Vf. tu Westfalen \^Frstent.lippe-\pjrstervt..Reuss Ischjiirizezit. tcjnrariburg Leipzig Ifl-lfl^October 1813. 1 f f ? t ^ irnp-rm *+iry lockern \^o6o?is Schnefezd roustop01 Connewitz L iebertwo Ikwity. Waterloo] Braine Labeua Jseue tw E&Olfihf Falttot I1&M11xchs Z. N?Jl1. L Lajlave h iiaiasiiuitft Papelotte Geogr. Anst.v.wagner De"bes, Leipzig.

2. Überblick über die brandenburgisch-preußische Geschichte bis zum Regierungsantritt des Großen Kurfürsten, Allgemeine Geschichte von 1648 bis zur Gegenwart - S. 105

1900 - Leipzig : Hirt
Der Krieg gegen Frankreich. 105 mal. Der Marschall Mac Mahon war kurz vor 6 Uhr morgens von einem Granatsplitter verwundet worden und hatte dem General Dncrot den Ober-besehl bertragen. Dieser ordnete eine andere Ausstellung der franzsischen Truppen an, die dem General Wimpssen mifiel. Deshalb erachtete er es sr seine Pflicht, als lterer General die Heeresleitung fr sich zu beanspruchen. General Ducrot trat sie ihm ohne weiteres ab. - Gleich nach Mittag gewann General Wimpffen die berzeugung, da er sich mit seinem Heere in den Stellungen um Sedau herum nicht behaupten knne. Deshalb versuchte er einen Ausweg auf Carignan zu. Er setzte davon den Kaiser Napoleon in Kenntnis und bat ihn, sich an die Spitze der Truppen zu stellen, die es sich zur Ehre anrechnen wrden, ihm den Weg durch das deutsche Heer zu bahnen. Der Kaiser antwortete ablehnend, weil er das vorgeschlagene Unternehmen fr nutzlos hielt. Fr die franzsische Heeresleitung war es verhngnisvoll, da der Stab des Marschalls Mac Mahon dem verwundeten Feldherrn nach Sedan gefolgt war. Es fehlte daher dem General Wimpffen an geeigneten Offizieren, die seine Befehle den Unter-feldherren berbrachten. Gegen 4 Uhr nachmittags befahl König Wilhelm, die Festung Sedan zu beschieen. Sobald die Flammen an einigen Stellen der Stadt emporschlugen, zogen die Franzosen die weie Fahne auf, und die Schlacht hatte ein Ende. Das franzsische Heer war vollstndig besiegt und eingeschlossen. König Wilhelm lie den franzsischen Oberbefehlshaber zur bergabe der Armee und der Festung auffordern. Kaiser Napoleon schickte an seinen siegreichen Gegner folgenden Brief: Monsieur inon frere, N'ayant pas pu rnourir au milieu de mes troupes, il ne me reste qu' remettre mon epee entre les mains de Yotre Majeste. Je suis de Votre Majeste le von frere Napoleon. Sedan, le lier sept. 1870." König Wilhelm antwortete: Monsieur mon frere, En regrettant les circonstances dans lesquelles nous nous rencontrons, j aecepte l'epee de Yotre Majeste, et je la prie de vouloir bien nommer un de Vos officiers muni de Vos pleins pouvoirs pour traiter de la capi-tulatin de l'armee, qui s'est si bravement battue sous Vos ordres. De mon cte, j'ai designe le general de Moltke cet effet. Je suis de Votre Majeste le von frere Guillaume. Jjevant Sedan, le 1. septembre 187." Sn Donchery begannen noch am spten Abend die Kapitulationsverhand-luugen. . Als deutscher Bevollmchtigter hatte sich General v. Moltke dorthin

3. Ausgewählte Abschnitte aus Quellenschriften und hervorragenden Geschichtswerken nebst einer Einleitung über Geschichtsquellen - S. 159

1911 - Leipzig : Hirt
24. Der Berliner Kongre. 159 semaines, je me rendrai aux eaux pour ne plus revenir aux affaires. Je tiens le certificat de la faculte que je suis untauglich, phrase officielle pour l'ad-mission la retraite, et qui dans cette circonstance ne dit que la triste verite! Je n'y tiens plus. Avant cette epoque j'aurai repondre la derniere enigme de votre politique; je suis maladroit deviner, j'ai besoin d'etre eclaire sur une pensee intime que j'ai ce qu'il parait, mal comprise par le passe. En ne recevant ni consigne ni avis, je ne saurai trouver la ligne etroite entre le rep rche d'encourager le Tre en parlant paix et le soupgon de pousser traitreusement la guerre. Je viens de passer sous le feu de ces accusations en sens oppos6 et je n'ai pas envie de m'y exposer de nouveau sans pilote et sans phare meme qui indique le port o vous desirez nous voir arriver. Bismarck. Londres, le 25 fvr. 1877. Mon eher Prince, J'ai 6te tres profondment touch de votre si bonne lettre seulement c'est un vrai remords pour moi que de penser la peine que vous vous etes donnee de l'6crire et au temps pr6cieux (quand c'est le votre) qu'elle vous cote! Cette lettre restera un des meilleurs souvenirs de ma carriere politique et je la leguerai mon fils. Eloigne depuis un an de Berlin et de Petersbourg, le doute s'etait empare de moi. Je pensais que ce qui avait existe n'existait peut-etre plus. Vous m'en donnez la preuve contraire. Je m'en r6jouis en von Russe et de tout mon Coeur. Si je n'avais pas retrouve en vous, eher Prince, l'homme qui ne varie jamais ni en politique, ni dans sa bienveillance pour ses amis, c'est alors pour le coup que j'aurais vendu mes fonds russes comme vous aviez voulu le faire il y a trois ans, parce que vous aviez une trop haute opinion de moi. J'ai copie quelques passages de votre lettre, et les ai envoyes mon Empereur. Je sais que cela lui fera plaisir de les lire. Toutes les fois qu'il s'est trouve en con-tact direct avec vous, il en est resulte du von et de l'utile; or lire ce que vous 6crivez quelqu'un que vous honorez du titre d'ami, c'est pour l'empereur, comme s'il 6tait en rapports directs. Inutile d'ajouter que j'ai omis tout ce qui concernait Gortschakow, car j'ai consid6r6 vos allusions son egard comme une preuve de confiance dans ma dis-cr6tion. Tout mal informe que je suis (et pour cause) de ce que l'on veut P6tersbourg, l'ajournement et le desarmement me paraissent probables. La paix avec la Serbie et le Montenegro va etre conclue, dit-on. Le grand-visir adresse des lettres Decazes et Derby pour leur d6clarer que le Sultan promet d'accomplir spontanement toutes les reformes demandees par la conf6rence. L'eu-rope va nous demander d'accorder du temps la Turquie. Serait-ce le moment favorable pour nous de d6clarer la guerre et de nous aliner encore davantage les sentiments de l'europe? I

4. Ausgewählte Abschnitte aus Quellenschriften und hervorragenden Geschichtswerken nebst einer Einleitung über Geschichtsquellen - S. 158

1911 - Leipzig : Hirt
158 24. Der Berliner Kongre. besprechen; er war nicht in Berlin beglaubigt, sondern in London, seine persnlichen Beziehungen zu mir gestatteten ihm aber, sowohl bei seinen vorbergehenden Be-rhrungen Berlins auf der Durchreise wie während des Kongresses mit nur alle Eventualitten rckhaltlos zu besprechen. Anfang Februar 1877 hatte ich von ihm ein lngeres Schreiben aus London er-halten; meine Antwort und seine Erwiderung darauf lasse ich folgen: Berlin, le 15 fvrier 1877. Cher Comte, Je vous remercie des bonnes paroles que vous avez bien voulu m'ecrire et je suis bien oblig6 au Cte. Munster pour avoir si bien interprete en cette occasion les sentiments, qui des notre premiere connaissance ont forme entre nous un lien qui survivra aux relations politiques, qui aujourd'hui nous mettent en rapport. Parmi les regrets que me laissera la vie officielle, celui qui naitra du souvenir de mes relations avec vous, sera des plus vifs. Quel que soit l'avenir politique de nos deux pays, la part que j'ai prise au passe, me laissera la satisfaction, qu'au sujet de la ncessite de leur alliance, j'ai de tout temps et6 d'accord avec rhomme d'6tat le plus aimable parmi vos com-patriotes. Tant que je resterai en place, je serai fidele aux traditions qui m'ont guide depuis 25 ans et dont les prineipes coincident avec les idees d6velopp6es dans votre lettre au sujet des services que la Russie et l'allemagne peuvent se rendre et se sont rendus mutuellement depuis plus d'un siede sans que les interets speciaux de l'une ou de l'autre en aient souffert. C'est cette conviction qui m'a guide en 1848, en 54, en 63 comme dans la Situation actuelle, et pour laquelle j'ai r6ussi gagner l'opinion de la grande majorite de mes compatriotes. C'est une ceuvre qu'il sera peut-etre plus facile de detruire qu'il n'a 6te de la creer, surtout dans le cas o mes successeurs ne mettraient pas la meme constance que moi cultiver des traditions dont l'exp6rience leur manquera, et quelquefois l'abnegation d'amour propre, qu'il faut pour subordonner les apparences au fond des affaires, les sus-ceptibilites aux grands interets monarchiques. Un vieux routier de ma trempe ne se laisse pas facilement drouter par de fausses alarmes, et dans l'interet de mon Souverain et de mon pays, je sais oublier les deboires qui pendant les derniers deux ans ne m'ont pas ete epargnes de la part de chez vous; je ne tiens pas compte des flirtations que mon ancien ami et tuteur de Petersbourg et mon jeune ami Paris1 y entretiennent; mais avec les Chanceliers qui me suivront, il sera peut-etre plus aise d'egarer leur jugement politique en leur faisant entrevoir comme on l'a fait depuis trois ans, la facilite que l'on aurait chez vous creer une coalition sur la base de la revanche. Le sangfroid avec lequel j'envisage cette eventualis, je ne pourrai pas le leguer mon successeur. Avec des journaux officieux qui menacent, avec des clineries parisiennes en feuilletons et en lettres aux dames politiques, il ne sera pas trop difficile un de ces jours de fausser la boussole un ministre allemand epouvante par l'idee de l'isolement, et pour l'eviter il prendra des engagements maladroits, mais difficiles resoudre apres coup. Ce ne sera pas moi dans tous les cas; car des que j'aurai satisfait tant bien que mal aux exigences de la diete qui s'ouvrira le 22 et qui ne doit durer que quelques 1 Orlow.

5. Quellenlesebuch - S. 159

1916 - Leipzig : Hirt
24. Der Berliner Kongre. 159 semaines, je me rendrai aux eaux pour ne plus revenir aux affaires. Je tiens le certificat de la facults que je suis untauglich, phrase officielle pour l'ad-mission la retraite, et qui dans cette circonstance ne dit que la triste verite! Je n'y tiens plus. Avant cette epoque j'aurai repondre la derniere enigme de votre politique; je suis maladroit deviner, j'ai besoin d'etre eclaire sur une pensee intime que j'ai ce qu'il parait, mal comprise par le passe. En ne recevant ni consigne ni avis, je ne saurai trouver la ligne 6troite entre le reproche d'encourager le Tre en parlant paix et le soupqon de pousser traitreusement la guerre. Je viens de passer sous le feu de ces accusations en sens oppose et je n'ai pas envie de m'y exposer de nouveau sans pilote et sans phare meme qui indique le port o vous dsirez nous voir arriver. Bismarck. Londres, le 25 f6vr. 1877. Mon eher Prince, J'ai 6t6 tres profondement touch de votre si bonne lettre seulement c'est un vrai remords pour moi que de penser la peine que vous vous etes donn6e de l'ecrire et au temps preieux (quand c'est le votre) qu'elle vous cote! Cette lettre restera un des meilleurs Souvenirs de ma carriere politique et je la 16guerai mon fils. Eloign6 depuis un an de Berlin et de Petersbourg, le doute s'6tait empare de moi. Je pensais que ce qui avait exist6 n'existait peut-etre plus. Vous m'en donnez la preuve contraire. Je m'en r6jouis en von Russe et de tout mon coeur. Si je n'avais pas retrouv en vous, eher Prince, l'homme qui ne varie jamais ni en politique, ni dans sa bienveillance pour ses amis, c'est alors pour le coup que j'aurais vendu mes fonds russes comme vous aviez voulu le faire il y a trois ans, parce que vous aviez une trop haute opinion de moi. J'ai copie quelques passages de votre lettre, et les ai envoys mon Empereur. Je sais que cela lui fera plaisir de les lire. Toutes les fois qu'il s'est trouv en con-tact direet avec vous, il en est r6sult6 du von et de l'utile; or lire ce que vous 6crivez quelqu'un que vous honorez du titre d'ami, c'est pour l'empereur, comme s'il 6tait en rapports directs. Inutile d'ajouter que j'ai omis tout ce qui concernait Gortschakow, car j'ai consid6r6 vos allusions son egard comme une preuve de confiance dans ma dis-cr6tion. Tout mal inform6 que je suis (et pour cause) de ce que l'on veut Petersbourg, l'ajournement et le dsarmement me paraissent probables. La paix avec la Serbie et le Mont6n6gro va etre conclue, dit-on. Le grand-visir adresse des lettres Decazes et Derby pour leur declarer que le Sultan prometi d'accomplir spontanement toutes les reformes demandees par la conference. L'eu-rope va nous demander d'accorder du temps la Turquie. Serait-ce le moment favorable pour nous de dclarer la guerre et de nous aliner encore davantage les sentiments de l'europe?

6. Quellenlesebuch - S. 158

1916 - Leipzig : Hirt
158 24. Der Berliner Kongre. besprechen; er war nicht in Berlin beglaubigt, sondern in London, seine persnlichen Beziehungen zu mir gestatteten ihm aber, sowohl bei seinen vorbergehenden Be-rhrungen Berlins auf der Durchreise wie während des Kongresses mit mir alle Eventualitten rckhaltlos zu besprechen. Anfang Febmar 1877 hatte ich von ihm ein lngeres Schreiben aus London er-halten; meine Antwort und seine Erwiderung darauf lasse ich folgen: Berlin, le 15 fvrier 1877. Cher Comte, Je vous remercie des bonnes paxoles que vous avez bien voulu m'6crire et je suis bien oblig6 au Cte. Munster pour avoir si bien interpr6t6 en cette occasion les sentiments, qui des notre premiere connaissance ont form entre nous un lien qui survivra aux relations politiques, qui aujourd'hui nous mettent en rapport. Parmi les regrets que me laissera la vie officielle, celui qui naitra du Souvenir de mes relations avec vous, sera des plus vifs. Quel que soit l'avenir politique de nos deux pays, la part que j'ai prise au pass, me laissera la satisfaction, qu'au sujet de la necessite de leur alliance, j'ai de tout temps 6t d'accord avec l'homme d'6tat le plus aimable parmi vos com-patriotes. Tant que je resterai en place, je serai fidele aux traditions qui m'ont guid depuis 25 ans et dont les principes coincident avec les ides d6velopp6es dans votre lettre au sujet des services que la Russie et l'allemagne peuvent se rendre et se sont rendus mutuellement depuis plus d'un sicle sans que les interets spciaux de l'une ou de l'autre en aient souffert. G'est cette conviction qui m'a guid en 1848, en 54, en 63 comme dans la Situation actuelle, et pour laquelle j'ai russi gagner l'opinion de la grande majorit de mes compatriotes. C'est une oeuvre qu'il sera peut-etre plus facile de d6truire qu'il n'a ete de la cr6er, surtout dans le cas ou mes successeurs ne mettraient pas la meme constance que moi cultiver des traditions dont l'exp6rience leur manquera, et quelquefois l'abn6gation d'amour propre, qu'il kaut pour subordonner les apparences au fond des affaires, les sus-ceptibilit6s aux grands int6rets monarchiques. Un vieux routier de ma trempe ne se laisse pas facilement drouter par de fausses alarmes, et dans Finteret de mon Souverain et de mon pays, je sais oublier les deboires qui pendant les demiers deux ans ne m'ont pas 6te 6pargn6s de la part de chez vous; je ne tiens pas compte des flirtations que mon ancien ami et tuteur de Petersbourg et mon jeune ami Paris1 y entretiennent; mais avec les Chanceliers qui me suivront, il sera peut-etre plus ais6 d'egarer leur jugement politique en leur faisant entrevoir comme on l'a fait depuis trois ans, la facilite que l'on aurait chez vous cr6er une coalition sur la base de la revanche. Le sangfroid avec lequel j'envisage cette 6ventualit, je ne pourrai pas le leguer mon successeur. Avec des journaux officieux qui menacent, avec des clineries parisiennes en feuilletons et en lettres aux dames politiques, il ne sera pas trop difficile un de ces jours de fausser la boussole un ministre allemand 6pouvant6 par l'ide de l'isolement, et pour l'&viter il prendra des engagements maladroits, mais difficiles rsoudre apres coup. Ce ne sera pas moi dans tous les cas; car des que j'aurai satisfait tant bien que mal aux exigences de la diete qui s'ouvrira le 22 et qui ne doit durer que quelques i Orlow.

7. Quellenlesebuch - S. 158

1912 - Leipzig : Hirt
158 24. Der Berliner Kongre. besprechen; er war nicht in Berlin beglaubigt, sondern in London, seine persnlichen Beziehungen zu mir gestatteten ihm aber, sowohl bei seinen vorbergehenden Be-rhmngen Berlins auf der Durchreise wie während des Kongresses mit mir alle Eventualitten rckhaltlos zu besprechen. Anfang Februar 1877 hatte ich von ihm ein lngeres Schreiben aus London er-halten; meine Antwort und seine Erwiderung darauf lasse ich folgen: Berlin, le 15 fvrier 1877. Cher Comte, Je vous remercie des bonnes paroles que vous avez bien voulu m'ecrire et je suis bien oblig au Cte. Munster pour avoir si bien interpr6t6 en cette occasion les sentiments, qui des notre premiere connaissance ont forme entre nous un en qui survivra aux relations politiques, qui aujourd'hui nous mettent en rapport. Parmi les regrets que me laissera la vie officielle, celui qui naitra du souvenir de mes relations avec vous, sera des plus vifs. Quel que soit Favenir politique de nos deux pays, la part que j'ai prise au pass6, me laissera la satisfaction, qu'au sujet de la n6cessit6 de leur alliance, j'ai de tout temps 6t6 d'accord avec l'homme d'6tat le plus aimable parmi vos com-patriotes. Tant que je resterai en place, je serai fidele aux traditions qui m'ont guid6 depuis 25 ans et dont les principes coincident avec les id6es developpes dans votre lettre au sujet des services que la Russie et l'allemagne peuvent se rendre et se sont rendus mutuellement depuis plus d'un siecle sans que les int6rets sp6ciaux de l'une ou de l'autre en aient souffert. C'est cette conviction qui m'a guid6 en 1848, en 54, en 63 comme dans la Situation actuelle, et pour laquelle j'ai reussi gagner l'opinion de la grande majorit de mes compatriotes. C'est une ceuvre qu'il sera peut-etre plus facile de detruire qu'il n'a et6 de la cr6er, surtout dans le cas o mes successeurs ne mettraient pas la meme constance que moi cultiver des traditions dont l'experience leur manquera, et quelquefois l'abnegation d'amour propre, qu'il faut pour subordonner les apparences au fond des affaires, les sus-ceptibilites aux grands interets monarchiques. Un vieux routier de ma trempe ne se laisse pas facilement derouter par de fausses alarmes, et dans l'int6ret de mon Souverain et de mon pays, je sais oublier les dtiboires qui pendant les derniers deux ans ne m'ont pas 6t6 6pargn6s de la part de chez vous; je ne tiens pas compte des flirtations que mon ancien ami et tuteur de Petersbourg et mon jeune ami Paris1 y entretiennent; mais avec les Chanceliers qui me suivront, il sera peut-etre plus aise d'egarer leur jugement politique en leur faisant entrevoir comme on l'a fait depuis trois ans, la facilit que l'on aurait chez vous cr6er une coalition sur la base de la revanche. Le sangfroid avec lequel j'envisage cette 6ventualit6, je ne pourrai pas le 16guer mon successeur. Avec des journaux officieux qui menacent, avec des chneries parisiennes en feuilletons et en lettres aux dames politiques, il ne sera pas trop difficile un de ces jours de fausser la boussole un ministre allemand epouvant par l'idee de l'isolement, et pour l'&yiter il prendra des engagements maladroits, mais difficiles r^soudre apres coup. Ce ne sera pas moi dans tous les cas; car des que j'aurai satisfait tant bien que mal aux exigences de la diete qui s'ouvrira le 22 et qui ne doit durer que quelques i Orlow.

8. Quellenlesebuch - S. 159

1912 - Leipzig : Hirt
24. Der Berliner Kongre. 159 semaines, je me rendrai aux eaux pour ne plus revenir aux affaires. Je tiens le certificat de la faculte que je suis untauglich, phrase officielle pour l'ad-mission la retraite, et qui dans cette circonstance ne dit que la triste verite! Je n'y tiens plus. Avant cette epoque j'aurai repondre la derniere enigme de votre politique; je suis maladroit deviner, j'ai besoin d'etre eclaire sur une pensee intime que j'ai ce qu'il parait, mal comprise par le passe. En ne recevant ni consigne ni avis, je ne saurai trouver la ligne etroite entre le reproche d'encourager le Tre en parlant paix et le soupyon de pousser traitreusement la guerre. Je viens de passer sous le feu de ces accusations en sens oppose et je n'ai pas envie de m'y exposer de nouveau sans pilote et sans phare meme qui indique le port o vous desirez nous voir arriver. Bismarck. Londres, le 25 fevr. 1877. Mon eher Prince, J'ai ete tres profondement touche de votre si bonne lettre seulement c'est un vrai remords pour moi que de penser la peine que vous vous etes donnee de l'ecrire et au temps precieux (quand c'est le votre) qu'elle vous cote! Cette lettre restera un des meilleurs souvenirs de ma carriere politique et je la leguerai mon fils. Eloigne depuis un an de Berlin et de Petersbourg, le doute s'etait empare de moi. Je pensais que ce qui avait existe n'existait peut-etre plus. Vous m'en donnez la preuve contraire. Je m'en rejouis en von Russe et de tout mon coeur. Si je n'avais pas retrouv6 en vous, eher Prince, l'homme qui ne varie jamais ni en pohtique, ni dans sa bienveillance pour ses amis, c'est alors pour le coup que j'aurais vendu mes fonds russes comme vous aviez voulu le faire il y a trois ans, parce que vous aviez une trop haute opinion de moi. J'ai copie quelques passages de votre lettre, et les ai envoyes mon Empereur. Je sais que cela lui fera plaisir de les lire. Toutes les fois qu'il s'est trouve en con-tact direct avec vous, il en est resulte du von et de l'utile; or lire ce que vous ecrivez quelqu'un que vous honorez du titre d'ami, c'est pour l'empereur, comme s'il 6tait en rapports directs. Inutile d'ajouter que j'ai omis tout ce qui concernait Gortschakow, car j'ai considere vos allusions son egard comme une preuve de confiance dans ma dis-cretion. Tout mal informe que je suis (et pour cause) de ce que l'on veut Petersbourg, l'ajournement et le desarmement me paraissent probables. La paix avec la Serbie et le Montenegro va etre conclue, dit-on. Le grand-visir adresse des lettres Decazes et Derby pour leur declarer que le Sultan promet d'accomplir spontanement toutes les reformes demandees par la conference. L'eu-rope va nous demander d'accorder du temps la Turquie. Serait-ce le moment favorable pour nous de d6clarer la guerre et de nous aliener encore davantage les sentiments de l'europe?

9. Landeskunde des Königreichs Sachsen - S. 27

1895 - Breslau : Hirt
I Fig. 13. Mick vom Monarchenhügel aus Leipzig über das Schlachtfeld von 1813. Fig. 14. ver Äugustusplah in Leipzig. Museum. Pleißenburg. Thomaskirche. Grimmaisches Nicolaikirche. -Neues Stadtlheater. Augusteum (Universitäts. Pauliner- Thor. Mende-Brunnen. kirche. (Grim. Str.s t>v öilüisz u; gvsàsniinlinil asl vilctisz lnv isönhuspavuojzz moa pijfg

10. Teil 2 = 4. u. 5. Schulj - S. 251

1911 - Breslau : Hirt
251 Schlacht mehr aussetzen müssen als sonst. Er mit seinen 60 Mann soll mir zur Deckung dienen. Er verläßt mich nicht und gibt acht, daß ich dem Feinde nicht in die Hände falle. Bleibe ich, so bedeckt Er den Körper gleich mit dem Mantel und läßt einen Wagen holen. Er legt den Körper in den Wagen und sagt teinem ein Wort. Die Schlacht geht fort, und der Feind, der wird geschlagen!" Der Offizier salutierte mit dem Degen. Allgemach kamen den: Könige seine Schwadronen nach. Die Kürasse der Reiter glänzten im Morgenschimmer, mid vom hohen Rosse herunter erscholl es aus dem Munde der Seydlitz-Kürassiere: „'s ist heute wieder der Fünfte!" „Roßbach!" rief die Armee, vom ersten Manne bis zum letzten. So ging es vorwärts. Die ersten Kolonnen der Armee sangen mit Feldmusik: Gib, daß ich tu' mit Fleiß, was mir zu tun gebühret — Der König horchte, und sein Adjutant fragte: „Befehlen Eure Majestät, daß ich's ihnen verbiete?" — „Das laß Er bleiben," entgegnete ernst der König, „mit solchen Leuten wird Gott mir heute gewiß den Sieg verleihen!" 6. Friedrichs Späherauge erkannte, daß der linke Flügel des Feindes am schwächsten sei. Auf ihn richtete er seinen Stoß. Der rechte preußische Flügel allein sollte ihn ausführen, der linke dagegeit sollte beständig zurück- gehalten werden, damit der Feind das kleine Häitflein nicht überflügle. Der König ließ feine Armee daher hinter den Höhen mit „halb rechts" in weitem Bogen seitwärts ziehen, und Feldmarschall Daun meinte schon: „Die Leute paschen ab, man störe sie nicht!" Aber um Mittag stand der preußische rechte Flügel unerwartet in des Feindes linker Seite und griff hier ungestüm an. In schönster Ordnung, mit klingendem Spiel und fliegenden Fahnen gingen die Bataillone vorwärts, überstiegen die Ver- haue, griffen mit dem Bajonett an und rollten nach und nach den feind- lichen linken Flügel auf, so daß er sich in heftiger Flucht nach Leuthen warf. Siegesfreude strahlte auf des Königs Angesicht; im Siegesmarsche ging's auf die Österreicher in der Mitte los, die sich schnell dem Könige gegenüber aufgestellt hatten. Sie waren durch das stark besetzte Dorf Leuthen gedeckt. Aus seinen Häusern und von den Mauern her knatterte ein heftiges Eewehrfeuer den Preußen entgegen, und vom hohen Kirchhofe her donnerte schweres Geschütz. Es entspann sich ein hartnäckiger Kampf. Ein preußisches Gardebataillon machte einen Angriff auf das Dorf. Der Kommandeur stutzte, als er übersah, wie schwer man hier eindringen könnte. Da sprang der älteste Hauptmann, der nachmalige Feldmarschall Möllen- dorf, vor. „Folgt mir, Kinder!" und so ging er mit seinen Tapfern auf einen versperrten Torweg los. Man stieß und riß die Flügel auf: 10 Ge- wehre lagen im Anschlag, aber die Tapfern drangen durch. Das Dorf wurde genommen, doch jedes einzelne Gehöft erst nach blutigem Kampfe. 6. Aber auf der Erhebung des Bodens hinter dem Dorfe stand der Feind in dichten Massen und schmetterte mit Kanonen herein. Furchtbar
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