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1. Epochen der französischen Geschichte - S. 52

1880 - Nördlingen : Beck
52 Vi. Rechtspflege Ludwigs Ix. des Heiligen (122670). eile montrait grande repentance de son crime; et plusieurs fr-res precheurs3) et mineurs3) pressaient le roi de lui faire grce de la vie. Comme le roi demeurait inebranlable, on le priait du moins que le supplice n'et pas lieu Pontoise o le crime avait ete commis et o eile etait connue. Sur ce point le roi prit conseil du sage Simon de Nesle4); et celui-ci lui ayant r6-pondu qu'il 6tait von que le supplice et toute publicite, le roi maintint l'arret du juge et la coupable fut brlee Pontoise. Enguerrand 12. On cite encore une autre circonstance o le roi eut v. Coucy vorg, lutter pour maintenir les droits de la justice contre l'opposition dem kgi. de toug jes barons: car il s'agissait d'un des Premiers d'entre Gencht' eux, Enguerrand de Coucy.1) Trois jeunes nobles du comte de Flandre avaient 6te surpris en compagnie de l'abbe de Saint--Nicolas, dans un bois appartenant Coucy, avec des arcs et des fleches. Quoique sans chien, sans autres engins de chasse, ils avaient ete juges comme ayant chass6, et pendus. Sur la plainte de l'abb et de plusieurs femmes leurs parentes, Enguerrand fut arrete et conduit au Louvre2). Le roi se le fit amener: il com-parut ayant avec lui le roi de Navarre, le duc de Bourgogne, les comte^ de Bar3), de Soissons, de Bretagne, de Blois, l'arche-veque de Reims, le sire Jean de Thorote et presque tous les grands du royaume. L'accuse dit qu'il voulait prendre conseil, et il se retira avec la plupart des seigneurs qui lui avaient fait cortge, laissant le roi seul avec sa maison4). Quand il revint, Jean de Thorote, en son nom, dit qu'il refusait l'enquete parce que sa personne, son honneur et son hritage 6taient en jeu, mais qu'il etait pret se defendre par bataille, niant qu'il et pendu ou ordonne de pendre les trois jeunes gens. Ii n'y avait d'adversaire que l'abbe et les femmes qui etaient la, demandant justice. Le roi rpondit que dans les causes o figuraient les pauvres, les 6glises ou des personnes dignes de piti, on ne devait point proceder par bataille: car on ne trouverait pas fa-cilement qui voult combattre pour telles sortes de personnes contre les barons du royaume. Ii admit donc la requete des plaignants et fit prendre Enguerrand par les sergents qui l'em-menerent au Louvre. Toutes les priores furent inutiles; saint Provence. 2) Johanna, Tochter des Grafen Raimund Vii. v. Toulouse, verm. mit des Knigs Bruder Alfons, Gr. v. Poitou u. Auvergne. s) Vgl. 7, 2. 3. 4) Vgl. 8. Nesle, westl. v. Harn, Depart. Somme. Simon v. Nesle vom König zum Statthalter des Reiches bestellt (1270). 12. 2) Vgl. Iv, 11, 1. 2) Vgl. Vii, 4, 1. 8) An der oberen Seine, nicht zu verwechseln mit Bar-sn/r-Aube und jbar-le-Duc. 4) Die kgl. Hausbeamten. Vgl. 5, 2.

2. Epochen der französischen Geschichte - S. 54

1880 - Nördlingen : Beck
54 Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. la part de souverainete qu'clle avait acquise; et saint Louis n'au-rait pas voulu commettre cette usurpation. Ii se contenta donc d'etablir ce droit chez lui, respectant l'autorite des autres, et les laissaut libres, ou de suivre l'ancien usage, ou d'entrer dans la voie qu'il venait d'ouvrir uue meilleure justice. Mais c'etait une bien redoutable concurrence que celle de cette justice qui ne voulait plus rien ceder au droit du plus fort: et combien Tautre n'etait-elle pas odieuse quand eile laissait pour toute ressource au rcturier qui en appelait d'un noble la facults d'aller attaquer son adversaire monte cheval, couvert de son armure et pourvu de l'epee et de la lance, n'ayant, lui, d'autres armes que l'ecu et le bton? L'opinion publique poussait donc vivement vers les procedes de saint Louis. La vue de sa justice, pratiquee dans son domaine sur tous les points du terri-toire, tenait l'autre en echec; et les legistes3) aiderent puisam-ment son triomphe. Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. (Ernest Renan, Un ministre de Philippe le Bei, Guillaume de Nogaret, Revue des deux mondes. T. 98.) 1. Le differend du roi Philippe le Bei1) et du pape Miisheiiig- Boniface Viii2) avait commenc6 l'an 12963). La reconciliation keiten zwi- r()- et pape apres leurs Premiers demeles, n'avait ete qu' sehen Boni- , , r ' ... . , i n ti facius vni apparente; deux orgueils rivaux aussi enormes que celui de Jbo-und niface et celui de Philippe ne pouvaient vivre en paix. Pous-phiiipp rv. Sant l'extreme les ambitions politiques de la papaute italienne, Boniface ne voulait souffrir que rien se fit en Europe sans sa permission. La sentence arbitrato qu'il avait rendue le 30 juin Lehensadel, als Korporation. 5) Die Rechtsgelehrten hatten des. unter Ludwig Ix. u. Philipp Iv. großen Einflufs. Vgl. Vii, 3, 1. Aus dem Studium des rm. Rechts schpften sie den Grundsatz, dafs der Wille des Herrschers das lebendige Gesetz sei (Si veut le roi, si veut la loi); deshalb suchten sie gegenber den Grofsen des Reichs die unumschrnkte Macht des Knigs zu begrnden. Als rechtskundige Rte Ludwigs Ix. sind oben genannt: Simon de Nesle, der Graf v. Soissons, Pierre de Fon-taines, Geoffroi de Villette u. Joinville. 1. ') 12851314. 2) 1'2941303. 3) Als Philipp, im Kriege mit Eduard I. v. Engl., der frz. Geistlichkeit eine aufserordent-liche Steuer auferlegte, ohne zuvor die Genehmigung des Papstes einzuholen, drohte dieser 1296 im Wiederholungsfalle mit dem Bann, gestand jedoch schon im nchsten Jahr dem König das unbedingte Recht zu, die

3. Epochen der französischen Geschichte - S. 57

1880 - Nördlingen : Beck
Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Till. 57 n'atirait ose admettre l'idee. Trois personnages, Jean Mouchet, Thierry d'hiricon, Jacques de Gesscrin, furent Lonnes pour com-pagnons Nogaret. Le premier de ces personnages etait un Florentin ou, comme on disait alors4), un Lombard". Son vrai nom etait Musciatto Guidi de' Franzesi. Les lettres patentes5) qui conferaient Nogaret, Mouchet, Hiricon, Gesserin la Mission inouie d'aller arreter le pape au milieu de ses etats pour le faire comparaitre devant le tribunal qui devait le juger sont datees du 7 mars 1303. Les pouvoirs qu'on leur attribue sont dessein exprimes en termes vagues. Le roi declare qu il les envoie ad certas partes, pro quibusdam nortris negotiis6); il leur donne tous et chacun le droit de traiter en son nom avec toute personne noble, ecclesiastique ou mondaine, pour toute ligue ou pacte de s^cours mutuel en hommes ou en argent quils ju-geront propos". Ii n'est pas douteux que le roi ne ft des lors dans le secret et ne st parfaitement ce qu'ils allaient faire et les moyens qu'ils se proposaient d'employer. ^ 4. Le plan de campagne ainsi congu et les commissaires etant nommes, on proceda aux formes legales. Une assemblee An, se tint au Louvre1) le 12 mars 1303. Cinq prelats y assistai-Mage gegen ent; Philippe etait present ainsi que Charles de Valois2) et Louis Bonifatius, d'ilvreux, freres du roi, Robert, duc de Bourgogne, et d'autres princes. Quand l'assemblee fut constituee, Nogaret, qualifie miles, legum professor venerabilis3), s'avanga et lut une requete dont il deposa copie entre les mains du roi. La piece debutait comme un sermon par un texte de l'ticriture; Nogaret emprunta expres son texte une des epitres attribuees saint Pierre: Fuerunt p&eudoprophetae in populo, sicut et in vohis erunt magistri mendaces4). Boniface est un vrai Balaam5): un ne va le re- 4) Weil man von den Italienern die Lombarden als Geldwechsler u. Wucherer in ganz Europa am besten kannte. ) Lettres pat., offene, mit dem Staatssiegel versehene Urkunde, welche ein Recht, ein Privilegium, eine Vollmacht erteilte. Ggs. lettres closes (spter lettres de cachet), die in der Regel einen geheimen Haftbefehl enthielten. 6) D h. Irgendwohin, wegen gewisser Geschfte von uns. 4. ') Das Schlofs der frz. Könige in Paris, bis auf die neueste Zeit erweitert u. verschnert, enthlt weltberhmte Sammlungen verschiedener Art. Urspr. war es eine von Philipp Aug. (vgl. V) angelegte Festung, die auch als Gefngnis diente. Louvre von lupara, dessen Bdtg. unbekannt ist (Wolfshhle?). 2) Valois, Grafsch., spter Herzogtum in Ile de France; Hauptorte Crespy, Compiegne, Senlis. s) D. h. Ritter, der Gesetze ehrwrdiger Lehrer. 4) 2 Petri 2, 1: Es waren aber auch falsche Propheten unter dem Volke, wie auch unter euch sein werden falsche Lehrer. 5) Vgl. 4 Mos. 22. -

4. Epochen der französischen Geschichte - S. 59

1880 - Nördlingen : Beck
Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Viii. 59 On s'etait arrange pour que les Petrucci ignorassent l'usage qu'on voulait faire de l'argent. L'operation eut de la sorte un carac-tere de guet-apens assez messeant la dignite du roi. De Flo-rence, les envoyes de Philippe se rendirent Staggia, pres de Poggibonzi *), sur le territoire de Florence, pres des frontieres de Sienne. Mouchet possedait la un chteau, o il avait heberge Charles de Valois en 13012). Nogaret et sa bnde y firent un assez long sejour, durant lequel ils organiserent leur expedition. De Staggia, ils envoyerent en Toscane et dans la campagne de Rome des agents munis de lettres et charges de faire des offres d'argent tous ceux qu'on jugeait capables d'entrer dans la ligue du roi. Nogaret et ses amis dissimulaient completement leur dessein. Iis disaient qu'ils etaient venus traiter d'un accord entre le pape et le roi. Quelques seigneurs puissants du pays, tous ou presque tous du parti gibelin, se mirent avec eux. C'etait d'abord Jacopo Colonna3), surnomme lo Sciarra4), homme violent qui portait aux deiniers exces les haines de sa famille, et qui d'ailleurs avait de grandes obligations Philippe5); les enfants de Jean de Ceccano6), dont le pape retenait le pere prisonnier depuis longtemps; les enfants de Maffeo d'anagni, quelques autres barons de la campagne de Rome. Sciarra forma ainsi une troupe de 300 chevaux, que suivait un nombre assez considerable de gens de pied. Environ 200 chevaux, reste de l'armee de Charles de Valois, se joignirent la bnde de Sciarra; cela faisait en tout environ 800 hommes armes. Tout ce monde etait paye par le roi, portait l'etendard des Iis7), criait vive le roi! 6. La conjuration grossissait chaque jour. Nogaret tenta Nogaret vainement d'y engager le roi de Naples, Charles Ii d'anjou *). Bunduis 5. i) Etwa 3 deutsche Meilen nordwestl. v. Siena. 2) Boni-facius berief ihn nach Italien, ernannte ihn zum Oberfeldherrn des rm. Stuhles und betraute ihn mit der Verwaltung mehrerer Landschaften des Kirchenstaats und der Statthalterschaft in Toskana. Vgl. 2, 1. 3) Bruder des Petrus u. des Stephan Colonna. 4) Der Znker". 5) Nach dem Fall Palestrinas mit seinen Brdern noch einmal exkommuniziert, floh Jakob. Man sagt, er sei bei Marseille von Seerubern gefangen genommen u. an die Ruderbank geschmiedet, von Philipp aber losgekauft worden. - 6) Dieser war der einzige Bundesgenosse der Colonna in ihrem Kampf gegen Bonifac. gewesen. 7) Ludwig Vii. war der erste König, der als er 1147 einen Krnuzzug unternahm die Lilien auf seinem Banner trug. Die heraldische Lilie ist wahrscheinlich aus der bildl. Darstellung einer Waffe der alten Franken entstanden, einer Laiizenspitze, die auf beiden Seiten mit einem eisernen Halbmond versehen war. 6. 0 Reg. 12851309. Sein Vater Karl, jngster Bruder Lud-

5. Epochen der französischen Geschichte - S. 68

1880 - Nördlingen : Beck
68 Vlll König Johann im Kampfe mit den Englndern. continuait en Bretagne entre les Chevaliers des deux partis, mais les deux rois n'y intervenaient plus; ils signerent meme une nou-Sept. 1351. Yeiie treve. Outre les deux princes qui se disputaient le titre Karl a. Bose^e ^ ;prance s>en trouvait un troisieme6) qui pretendait v. Navarra. ' _ , . , y avoir plus de droit que tout autre, Charles, roi de Navarre, que sa turbulence et son esprit d'intrigue ont fait appeler le Mauvais. Ii etait fils de la fille de Louis X; c'etait lui, par consequent, que la couronne et du revenir de plein droit, sans la pretendue loi salique7). En attendant qu'il vit jour realiser ses esperances, il reclamait la Champagne, il reclamait 1350. l'angoumois8); et l'angoumois ayant ete donne au connetable9) de Lacerda10), un ami particulier du roi, il le fit assassiner. 1354. Jean saisit ses fiefs de Normandie11), et Charles passa en Angleterre. 1346. 2. Les Anglais avaient tant gagne la premiere expe- Neuer An- dition (40000 pieees de drap dans la seule ville de Caen), qu'ils griff des tajeilt tout prets a retourner en France. Jdouard les y ramena Kengtojd.npar Calais en 1355, et ravagea l'artois. ::_Son fils, le prince Noir1), y entra par Bordeaux, et ramena* du Languedoc 1000 charrettes de butin. Jean ne livra pas une seule bataille ces pillards. Ce qu'il avait leve de soldats contre eux l'avait pour- 6) Phil. Iv., verm. m. Johanna v. Navarra u. Champagne. Karl v. Valois. Ludwig X., 131416 Isabella, _ | Kg. v. Frankr. u. Navarra verm. m. Eduard Ii. v. Engl. Phil. Vi., 132850 I I I Johanna, Eduard Hi. v. Engl. Johann der Gute Erbin v. Nav. u Champ. 132777. 135064. verm. m. Philipp v. vreux. Karl fl Bse. Kg. V. Nav. seit 1349; verm. mit Johanna , Tochter Johanns des Guten. 7) Gesetzbuch der salischen Franken, unter Chlodwig in lat. Sprache verfafst; speziell die Bestimmung desselben, welche die Tchter von der Erbfolge ausschlofs, beim Aussterben der Capetinger 1328 auf die frz. Krone angewendet. 8) Karls Mutter hatte 1336 die Champagne gegen Angoumois an den König abgetreten, Angoum. aber gegen andere Besitzungen vertauscht. 9) Vom lat. comes stabuli; urspr. Befehlshaber der Reiterei, seit Aufhebung der Seneschallswrde Oberanfhrer des ganzen Heeres; im Kriege durfte der König nichts ohne seinen Rat unternehmen. Ludwig Xiii. hob 1627 das Amt des connet. auf. 10) Sein Grofsvater war Ferdinand v. Lacerda (gest. 1275), verm. mit einer Tochter Ludwigs Ix. v. Frankr. n) Karls vterliches Erbe; vgl. 6. 2, ') Wegen seiner schwarzen Rstung so genannt.

6. Epochen der französischen Geschichte - S. 70

1880 - Nördlingen : Beck
70 Viii. König Johann im Kampfe mit den Englndern. de Navarre et ses amis, Jean, bien averti de l'heure, vint Ronen les surprendre et les arreter lui-meme la table de son fils. Malgre les prieres et les larmes de ce jeune prince qui semblait avoir attire les victimes dans un guet-apens, Jean fit April 1355. aussitot jeter le roi de Navarre dans une prison et trancher la tete au comte d'harcourt et quelques autres. Quelques mois apres, il etait lui-meme captif. Kg. Johann 4. Jean assiegeait la petite ville de Breteuil1), possessio!! trifft mit roj Navarre, lorsqu'il fut averti que le prince de Galles2) Prinzln^ej18'^^ encore une ^l)is mis aux champs avec 20000 hommes d'ar-Poitiers zu-mes et 6000 archers, qu'il avait franchi la Garonne et la vor-sammen. dogne, qu'il avait saccage le Rouergue, l'auvergne, le Limousin et le Berry. Ii arriva ainsi, brlant tout sur son passage jusqu' la petite place de Romorautin3). La ville lui ouvrit ses por-tes la premiere sommation; mais le chteau etait defendu par trois braves Chevaliers qui ne voulurent jamais se rendre, si mauvaise que ft leur forteresse. Le prince de Galles, irrite d'avoir perdu, devant les murs de cette bicoque, un Chevalier qu'il aimait, jura de ne point s'eloigner qu'il ne l'etit prise. Le chteau finit par se rendre; mais l'obstination de ses defenseurs avait singulierement compromis l'armee anglaise. Le roi de France, pendant ce temps, avait traverse la Loire et etait arrive Poitiers avant l'armee anglaise, de sorte qu'ii lui coupait la route de Bordeaux. Le prince Noir en ap-prochant de cette ville s'etablit au sommet d'un coteau fort roide, tout plante de vignes, coupe de haies epaisses et de buissons, qu'on appelle le champ de Maupertuis, pres de Beauvoir, deux lieues4) au nord de Poitiers. Ii s'y fortifia de palissades et de fosses, se servant de ses chariots comme d'un rempart, la o le terrain etait plus decouvert. On ne pouvait arriver cheval au sommet de ce coteau que par un sentier o il y avait peine place pour trois cavaliers de front. Le prince garnit d'archers les haies qui longeaient ce chemin;" sur le plateau, il rangea en bataille ses hommes d'armes auxquels il fit mettre pied terre; devant eux il dparpilla le reste de ses archers dans les vignes. 4. 2) Sdwest!, v. Evreux, Dep. Eure. 2) Titel des engl. Thronfolgers, nach der Eroberung von Wales, 1284, von Eduard I. dem in Caernarvon gedornen Kronprinzen gegeben. 3) Sdl. v. Orleans, Dep. Loir et Cher. 4) Une Heue, nach Notker, Bisch, v. Lttich, der am Ende des 10. Jahrh. schrieb, 1500 Schritte 5 rm. Fufs ; dies ergibt 2222 Meter. Vor Einfhrung des Dezimalsystems betrug die gewhnliche lieue das Doppelte, 4444 M. Die neue frz. lieue betrgt 4000 M.

7. Epochen der französischen Geschichte - S. 80

1880 - Nördlingen : Beck
80 Viii. König Johann im Kampfe mit den Englndern. C'etait la moitie de la France et la meilleure, avec l'embouchure de tous nos fleuves. Quand ce traite fut apporte Paris, le dauphin se refusa l'executer, et pour se donner la force de lutter contre son pere, il convoqua, le 19 mai 1359, Paris, un simu-lacre d'assemblee2) des trois ordres, qui rejeta la honteuse Convention, en ajoutant qu'il fallait que le roi Jean demeurt encore en Angleterre, et que, quand il plairait Dieu, il y pourverrait de remede." K" Eduard 17. Cinq mois apres, le 28 octobre 1359, Edouard de-erneuert denbarquait a Calais 1) avec ses quatre fils, les plus grands seigneurs Krieg und 80n royaume, 6000 armures de fer, 6000 charrettes chargees belagert ver-^^ munitions) des f0urs, des moulins, des forges, des tentes, tout ce qu'il fallait pour vivre confortablement, jusqu' des faucons et des meutes pour chasser, jusqu' des nacelles en cuir bouilli pour pecher en careme. Mis le temps contraria 1 expe-dition, il plut incessamment. Le 30 novembre, les Anglais ar-riverent devant Reims2). Jean de Craon, son archeveque, leur en ferma les portes et repoussa vaillamment toutes les attaques. Edouard avait annonce, longtemps l'avance, qu'il voulait s'y faire sacrer. Iis passerent sept semaines devant ses murs, ne pouvant la prendre, mais esperant chaque jour qu'on allait les attaquer et qu'ils gagneraient une belle bataille comme Crecy, Poitiers. A la fin, personne ne venant, ils se remirent en marche, sans se presser, ni suivre le plus court chemin, allant travers pays de Chalons Bar-le-Duc, de Troyes Tonnerre. De l idouard tourna enfin droit vers Paris, et vint se loger deux lieues3) de cette ville, Bourg-la-Reine4). Les herauts d'armes anglais allerent offrir la bataille au dauphin; il la refusa. Un Chevalier ennemi, Gauthier de Maulny, s'avanga jusque sous les remparts pour faire le coup de lance; Charles defendit ex-pressement ses Chevaliers de sortir des barrieres. Ii ne voulait plus de la guerre comme les nobles l'avaient jusqu pre-sent conduite. Erhebung d. 18. Ainsi les bourgeois, enfermes dans leurs villes, les Landvolks nobles dans leurs chetaux, laissaient passer l'orage qui ne pou-gegen die |es atteindre derriere leurs murs. Tout retombait Sur les Englnder. ng n,Qsaient m6me pas se defendre. Cependant la misre finit par leur donner du coeur, et le desespoir leur donna des forces. Iis en vinrent oser regarder en face ces 2) Die Versammlung war nur von wenigen Deputierten besucht. 17 n Der Waffenstillstand v. Bordeaux (vgl. 9, 2) war mittlerweile abgelaufen. 2) Dort wurden die franz. Könige seit alter Zeit gekrnt. - 3) Vgl. 4, 4. - 4) Gerade sdl. v. Paris.

8. Epochen der französischen Geschichte - S. 82

1880 - Nördlingen : Beck
Ix. Das Auftreten der Jungfrau von Orleans. testations du plus grand nombre contre cette pretendue restitu-tion; la plupart disant comme les habitants de la Rochelle. Nous avouerons les Anglais des levres, mais les coeurs ne s en mouvront j." Pendant une anne entiere ils refuserent d'ouvrir leurs portes aux Anglais. Ix. Das Auftreten der Jungfrau von Orleans. (Barante, Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois.) o 1 Vers la fin du septembre, le comte de Salisbury alla 142' mettre le siege devant Orleans1); c'tait une grande et forte Lage6 ville. Le duc de Ledford2) n'etait point d'avis qu'on tentt une Karls vn. entreprise si hasardeuse. La cireonstance semblait pourtant fa-vorable; le roi Charles3) etait reduit la derniere extremite. Beaucoup de grands seigneurs et de prinees, voyant quo de tou-tes parts ses affaires s'en allaient en ruine, et qu'elles etaient trop mal gouvernees, l'avaient abandonne, ou le servaient entie-rement leur guise. Les garnisons se rendaient sans plus se defendre; les sujets les plus devoues etaient prets se livrer au desespoir; des calamites horribles, la misere, la famine, les mala-dies ravageaient les provinces des bords de la Loire. Ii n y avait plus d'argent ni dans le tresor du roi ni dans la bourse des sujets. Tant de la pecune du roi que de la mienne, ll n'y avait pas en tout, chez moi, quatre ecus4)," racontait Renault de Bouligny, son trsorier. Les depenses de sa maison etaient reduites au plus exact necessaire. Ii vivait comme le plus simple des serviteurs. Un jour que Saintraille et la Hire^) vin-rent le voir, il ne put, dit-on, leur donner, pour tout regal, leur repas, que deux poulets et une queue de mouton. Orleans in La ville d'orleans, toute vaste qu'elle ftit, etait environnee Not. __ 1 !) Nach dem Siege bei Azincourt 1415 kam nach und nach das ganze nrdl. Frankr. in die Gewalt der Englnder; die Eroberung von Orleans sollte ihnen den Weg nach dem sdlichen bahnen. 2) Heinrich V., der Sieger von Azincourt, hinterhefs bei seinem iode (1422) nur einen 9 Monate alten Sohn; fr diesen wurde Heinrichs Bruder, Joh. v. Ledford, zum Stellvertreter und Regenten v. England u. Frankr. ernannt. - s) Karl Vii. (1422-61), einstweilen nur im Sden anerkannt, zu Poitiers gekrnt, brigens zeigte er sich damals lassig, vergngungsschtig, unselbstndig und unzuverlssig; andrerseits wieder leutselig und auch im Unglck gutes Muts. 4) Vgl. Viij. rj Zwei berhmte Sldnerfhrer auf Seite Karls Vii.

9. Epochen der französischen Geschichte - S. 87

1880 - Nördlingen : Beck
Ix. Das Auftreten der Jungfrau von Orleans. 87 autre ne peut relever le royaume de France. Ii n'y a de secours pour lui qu'en moi. Si pourtants) j'aimerais mieux rester a hier pres de ma pauvre mere, car ce n'est pas l mon ouvrage; mais il laut que j'aille, et que je le fasse, puisque mon seigneur le veut ^ Qui est votre seigneur ?" reprit le gentilhomme. 0 est Dieu , repliqua-t-elle. Le sire de Novelompont se sentit, persuade; il lui jura aussitt, par sa foi, la main dans la sienne, de la mener au roi, sos la conduite de Dieu. n autre gentilhomme des amis du sire de Baudricourt, nomme Bertrand de Poulengy, se laissa aussi toucher, et crut, comme toute la contree, que cette pauvre fille etait conduite par l'esprit du Seigneur. B resolut de la mener au roi avec le sire de Novelompont, et ils se pre- narerent ce voyage. 6. La renommee publiait de plus en plus les meireilles de la devotion de Jeanne et de ses visions, si dien que Rene d Anjou, Eend d,An duc de Bar1), se sentant malade et voyant que les medecms ne jou le guerissaient point, envoya chercher cette samte fille. Elle lui dit qu'elle n'avait aucune lumiere du ciel pour lui rendre la saute- mais comme en toute occasion eile recommandait toujours la sagesse et la crainte de Dieu, eile lui conseilla de mieux vivre avec la duchesse, et de la rappeler pres de lui. Elle demanda au prince, comme eile faisait tout le monde, de la faire con-duir# vers le roi, et promit de dire alors des priores pour sa guerison Le duc de Bar la remercia et lui donna quatre francs2). Quand eile fut de retour Yaucouleurs, Robert de Baudri-J^^ court consentit enfin l'envoyer au roi. Des que les gens de zum K5nig Yaucouleurs surent qu'on allait envoyer Jeanne vers le roi, ils m gehen. lui fournirent avec grand empressement tout ce qui fallait pour l'equiper. Les voix lui avaient ordonne depuis longtemps de prendre un vetement d'homme pour s'en aller parmi les gens de 3) Si im adversativen Sinn, verstrkt durch powtant. 6 König Johann hatte 1360 Anjou zum Herzogtmn erhoben u. seinem Sohn Ludwig I. (+ 1384) verliehen. Dieser ist der Stammvater der jngeren Linie des Hauses Anjou. Ihm folgte sein Sohn, Ludw. Il, t 1417. Diesem Ludw. Iii Herz. v. Anjou <Graf v Provence und König v. Neapel, t 1434. Dessen jngerer Bruder, Rene, 1419 von Ludwig v. Bar adoptiert, erbte von demselben das Herzogtum Bar, zwisch. der oberen Maas u. Marne (Bar-le-Duc). Yerm mit Isa, bella der Erbin v. Lothringen, gewann er dieses Herzogtum 14dl. im J. 1434 beerbte er seinen Bruder. Er st. 1480. ) Der erst 1360 unter König Johann als Goldmnze, seit 1575_in Silber g-prgt, hatte den Wert v. 20 sous od. 1 livre; so wurde Franc - Ivne Der Name von der Umschrift der ersten dieser Mnzen: Johannes Bei gracia Francorum rex.

10. Epochen der französischen Geschichte - S. 98

1880 - Nördlingen : Beck
98 X. Die Liga des ffentlichen Wohls vor Paris 1465. avait 6te admise, et seulement apres de grands doutes et beau-coup d'examens. L'idee que tout allait changer en France, et que Dieu, apres avoir rudement chtie le royaume pour les peches qui s'y commettaient, allait enfin le prendre en pitie, se rpandait dans la chrtiente. X. Die Liga des ffentlichen Wohls vor Paris 1465. (Barante, Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois.) Rckkehr 1. Le 18 juillet, le roi (Louis Xi)x) etait entre Paris. Ii Ludwigs xi-deseendit chez le sire 2) de Melun, son lieutenant, et lui demanda nach Paris. ^ S0uper Plusieurs seigneurs, des dames3), des bourgeoises souperent avec lui; il leur raoonta la bataille de Montlheri4), et les dangers qu'il avait courus, d'une fagon si vive et touchante, qu'il les fit fondre en larmes. Puis il ajouta que dans trois jours il retournerait combattre les ennemis, pour en finir et vaincre ou mourir. Mais il n'avait pas assez de gens de guerre, et tous en ce moment n'avaient pas aussi von courage que lui. Er gewinnt Des le lendemain de l'arrivee du roi, Guillaume Chartier, die Bevi- eveque de Paris, homme venerable et fort aim6 dans la ville, kerung fr vint le trouver, lui fit de grandes remontrances sur la necessite sich' de bien gouverner et de retablir la paix, lui proposant de former autour de lui un eonseil de gens sages et dignes de confiance. Le roi ecouta patiemment, trouva bons tous les avis qu'on lui donnait, et choisit pour ses conseillers six bourgeois, six seigneurs du Par-lement5) et six docteurs de l'universite6). Ii reduisit de moitie 1. i) 146183. 2) Vgl. Iv, 14, 3. 3) Frauen vom Adel: dame vom lat. domina. Die brgerl. Frauen hiefsen demoiselles. 4) Am 16. Juli 1465. Montlhri, gegen 3 deutsche Meilen sdl. von Paris, an der Strafse nach Orleans. Um die Macht des Knigtums zu strzen und die Herrschaft des Lehenswesens wieder herzustellen, schlssen die Grofsen des Reiches ein Bndnis, das sie ligue du bien pubic nannten, um das Volk dafr zu gewinnen. Die Mitglieder des Bundes waren die Herzge von Alengon, Bourbon, Bretagne, Lothringen u. Nemours, die Grafen von Armagnac, Charolais, Dunois, Maine u. St. Pol. Des Knigs Bruder, Karl v. Berri. trat gleichfalls bei. Zwischen dem König und dem Grafen v. Charolais kam es bei Montlheri z. Kampfe, in welchem letzterer sich den Sieg zuschrieb, da der König d. Schlachtfeld rumte u. sich nach Paris zurckzog. c 5) Nach einer Verordnung Karls Vii. vom J. 1453 betrug die Zahl der Mitglieder des Parlaments 100, nmlich 12 Pairs v. Frankr., 8 maitres des requetes und 80 Rte, sowohl geistlichen wie weltlichen Standes. Die Sitzungen waren seit Karl V. (136480) permanent. 6) Gestiftet 1200 v. Philipp August.
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