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1. (Zur Universal-Geschichte) - S. 35

1882 - Berlin : Gaertner
Geschichte der christlich - germanischen Welt. 35 1805 Seesieg der Engländer bei Trafalgar (Tod Nelsons). Joachim Murat, Napoleons Schwager, wird Großherzog von Berg; Marschall Bert hi er ^Herzog von Neufchatel. 1806 Josephbonaparte, König von Neapel, Ludwig Bonaparte, König von Holland. 1807 G n ft a v Iv. von Schweden mit den Engländern gegen Dänemark verbunden. Bombardement Kopenhagens, Wegnahme der dänischen Flotte. Gustav vom Reichsrat abgesetzt (1809). Schweden verliert Finnland an Russland. Die Portugiesische Königsfamilie flieht nach Brasilien. Die Franzosen nehmen Portugal in Besitz. 1807—1812 Russisch-türkischer Krieg. Friede zu Bukarest, nach dem der Prnth Russlands Grenze wird. 1808 Kongresszuerfn r t. Intime Freundschaft zwischen o -? n und Äqlier Alexander I. von Russland. 1808 Aufstand der Spanier. Zwist in der spanischen Könias- famüie Karl Iv. und der Jnfantferdinand (Godoy, Friedensfürst. Zusammenkunft in Bayonne). Junten' Guerillas. Wellington kämpft bei Talavera de la ^Reyna. Joachim Murat wird König von Neapel, Josephbonaparte König von Spanien. Saraaossa verteidigt sich heldenmütig. 1809 Gefangennehmung des Papstes Pius Vii. Der Kirchenstaat wird eine Provinz Frankreichs.' 1810 Vermählung Napoleons mit Marie Luise Tochter des Kaisers von Österreich, nachdem er sich vonjosepl)ine(Beauharnais) getrennt. Holland (Ludwig Bonaparte dankt ab), die norddeutschen Küsten und Hansastädte kommen an Frankreich. Karl Xiii von Schweden adoptiert den französischen Marschall Bernadotte zum Kronprinzen. Geburt des Königs von Rom. (Herzog von Reichstadt.) Id 12 Der russische Krieg. Alexander I. tritt vom Kontinen- talstem zurück. General Wittgenstein. Erstürmnna von Smolensk. Schlacht bei Borodino an der Moskwa (Kutusow. Ney). Brand von Moskau (Jidltopschm). Kampfe bei Miasma, Krasnoi und an der Beresina (26 Grad Kälte). 1812 Nationalregierung zu Cadix in Spanien. Die Schlach- ten bei -Lalamanca und Vittoria (1813) Völlige Vertreibung der Franzosen aus Spanien.

2. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 219

1884 - Berlin : Gaertner
219 ennemis, qui combattaient~sous le duc d'orlans. Enfin les troupes de la droite command6es par le prince de Saxe-Gotha, apres avoir regu du renfort, entrerent dans les lignes devant Luceng (Lucento) non obstant le grand feu qui sortait du chteau. Les Frangais, apres avoir 6te chasses des retranchements, se rallierent cte de Notre-Dame de Campagne, o Von re-commenga un nouveau combat; mais leur resistance tut de peu de duree, car ils furent bientt mis en droute. .. Cette action qui se pssa onze heures du matin, termina le combat entre la Stura et la Doire, et Turin fut delivr. Environ une heure apres-midi, les Frangais, qui etaient entre le Po et la Doire, quoique plus forts que les Allemands, furent saisis tout coup d'une grande 6pouvante a cause de quelques fuyards qui venaient du ct6 de Luceng (Lucento); ils abandonnent dans l'instant leur camp et tout le bagage, et se croyant heureux de pouvoir sauver leur vie, ils se precipitent les uns sur les autres en gagnant le chemin de Pignerol, sans qu'on leur tirt un seul coup. A trois heures et demie S. A. R.2 et le prince Eugene entrerent dans Turin, et allerent droit l'eglise metropolitaine, o l'on chanta tout de suite le Te Deum. . . L'armee frangaise sans pain, et sans Equipage, et harcele de toute part par nos partis, par les Vaudois et par nos milices, ne put s'arreter que quelques jours Pignerol. Elle passa les Alpes et laissa une liberte entiere aux alli6s d'agir dans la Lombardie, de fagon, que l'armee victorieuse part.it le 13 de Turin en deux colonnes, dont une marcha vers le Milanais, et l'autre s'attacha reconqurir les places du Pimont et du Montferrat. 130. Friedrich I. von Preußen der die Friedensunterhand-lungen der Alliierten mit Ludwig Xiv. im Haag/ 1709. (Aus einer Instruktion des Knigs fr den Kronprinzen Friedr, Wilhelm. Frster, Friedr. Wilhelm I., König v. Pr., I, S. 135.) Es wird Deiner Liebden ohne Zweifel bekannt sein, was in dem Haag wegen Behandlung des Friedens mit der Krone Frankreich ohn-lngst passiert; vielleicht aber ist Jhro nicht so eigentlich vorgekommen. 2 Herzog Viktor Amadeus. 1 Die Friedensprliminarien selbst bei Lnig, Das Deutsche Reichs-Arelv I, 757.

3. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 252

1884 - Berlin : Gaertner
252 Chapitre Iii. Le quinzieme siecle, o vivait Machiavel, tenait encore la barbarie: alors, on prferait la funeste gloire des conquerants, et ces actions frappantes qui imposent un certain respect par leur grandeur, la douceur, l'equite, la clemence et toutes les vertus; present, je vois qu'on prefere l'humanit6 toutes les qualites d'un conqurant, et l'on n'a plus guere la dmence d'encourager par des louanges des passions cruelles qui causent le bouleyersement du monde. . . . Ce n'est point la grandeur du pays que le prince gouverne qui lui donne de la gloire, ce ne seront pas quelques lieues de plus de terrain qui le rendront illustre, sans quoi ceux qui possedent le plus d'arpents de terre devraient tre les plus estimes. L'crreur de Machiavel sur la gloire des conqurants pouvait 6tre generale de son temps, mais la mchancete ne l'etait pas assurement. Ii n'y a rien de plus affreux que certains moyens qu'il propose pour conserver des conquetes; les bien exa-miner, il n'y en aura pas un qui soit raisonnable ou juste. On doit", dit ce mechant homme, Steindre la race des princes qui rsgnaient avant votre conquete" Peut - on lire de pareils preceptes sans frmir d'horreur et d'indignation? C'est fouler aux pieds tout ce qu'il y a de saint et de sacr dans le monde; c'est ouvrir I'int6r6t le chemin de tous les crimes. Quoi! si un ambitieux s'est empare violemment des Etats d'un prince, il aura le droit de le faire assassiner, empoisonner! Mais ce mme conquerant, en agissant ainsi, intro-duit une pratique dans le monde qui ne peut tourner qu' sa ruine; un autre, plus ambitieux et plus habile que lui, le punira du talion, envahira ses Etats, et le fera perir avec la mme cruaut qu'il fit perir son predcesseur. . . . La seconde maxime de Machiavel est que le conqusrant doit etablir sa rdsidence dans ses nouveaux Etats. Ceci n'est point cruel, et parait mme assez von quelques egards; mais l'on doit consid6rer que la plupart des Etats des grands princes sont situ6s de maniere qu'ils ne peuvent pas trop bien en abandonner le centre sans que tout l'etat s'en res-sente; ils sont le premier principe d'activite dans ce corps, ainsi ils n'en peuvent quitter le centre sans que les extremits ne languissent. La troisieme maxime de politique est, ,, Quil faut en-voyer des colonies pour les tablir dans les nouvelles conquetes, qui serviront en assurer la ftditi." L'auteur s'appuie sur la pratique des Romains; mais il ne songe pas que si les Romains, en etablissant des colonies, n'avaient pas aussi envoyh des lgions, ils auraient bientt perdu leurs conquetes; il ne songe pas que, outre ces colonies et ces legions,

4. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 269

1884 - Berlin : Gaertner
269 und ohne Ansehn der Person richten, es sei Prinz, Edelmann oder Bauer. Hrt er, das sage ich ihm, sonst sind wir geschiedene Leute. Hat er Gter?" Nein, Ew. Maj.!" Will er welche kaufen?" Dazu habe ich kein Geld, Ew. Maj.!" Gut, so wei er, was Armut ist, und so mu er sich um so viel mehr der Bedrngten annehmen!" 163. Zwei Urteile der Leopold von Dessau. Gest. 9. April 1747. (Varnhagen von Ense, Fürst Leopold v. Anhalt-Dessau." Biographische Denkmale 2. Teil, S. 165/166. 3. Aufl. Leipzig 1872.) (Der Prinz August Wilhelm von Preußen*) schrieb am 12. April 1747 an den General von Fouque, den ehemaligen Pagen und Zgling des Fürsten Leopold:) La mort du vieux roulier a et6 si inopinee, qu'il n'a pas eu le temps de proferer le nioindre signe, lorsqu'il se sentait mourir. Je erois que tont militaire doit le plaindre, ayant ete dans cet art un grand homme. Si l'humanit avait accompagne sa valeur et son esprit, il aurait ete parfait. Mais le destin n'accorde pas aux hommes la r6union de toutes les vertus; heureux, si le vice ne l'emporte point sur les bonnes qualites. Je ne trouve pas ma portee de juger en ce cas le def'unt, et je me contente de le plaindre militairement. (In den M6moires de Brandebourg" urteilt Friedrich d. Gr. der Leopold v. Dessau folgendermaen:) Le prince d'anhalt etait un homme d'un caractere violent et entier; vif, mais sage dans ses entreprises, qui avec la valeur d'un lieros avait l'experience des plus belies campagnes du prince Eugene. Ses moeurs etaient feroces, son ambition demesuree; savant dans l'art des si6ges, heureux guerrier, mauvais citoyen, et capable de toutes les entreprises des Marius et des Sylla, si la fortune avait favoris son ambition de meme que celle de ces Romains. . . . Au-dessus de tous les autres generaux, s'levait le prince d'anhalt; il avait par devers lui les actions les plus brillantes et la confiance generale des troupes; ce fut lui qui sauva l'armee de Styrum , Hoechstedt, par une belle retraite; ce fut lui qui contribua beaucoup au gain de la seconde bataille de Hoechstedt si funeste aux Frangais, et ce fut lui que le *) derselbe, welcher nach der Schlacht bei Kollin 1757 wegen unglcklicher Operationen als Befehlshaber eines in Nordbhmen stehenden Corps in des Knigs Ungnade fiel und bald darauf starb.

5. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 270

1884 - Berlin : Gaertner
270 prince Eugene reconnt comme l'autre principal de la victoire de Turin. Ce prince joignit beaucoup de prudence une rare valeur; mais avec beaucoup de grandes qualits il n'en avait guere de bonnes. 164. Friedrich Ii. der den Sieg bei fem oft il 1756. (Varnhagen v. Ense, Feldmarschall Graf v. Schwerin. Biogr. Denkm. K.teil, S. 248.) (Am Schlsse des Schlachtberichtes an Schwerin schreibt Friedrich den 2. Oktober:) Le prince de Bevern s'est si fort distingue, que je ne sau-rais assez chanter ses louanges. Avec 24 bataillons nous en avons chass 72, et, si vous voulez, 300 canons. Je ne vous dirai rien des troupes: vous les connaissez. Mais depuis que j'ai l'honneur de les Commander, je n'ai jamais vu de pareils prodiges de valeur, tant cavalerie qu'infanterie. L'infanterie a force des enclos de vignes, des maisons magonnees; eile a sou-tenu, depuis 7 keures jusqu' 3 heures de l'apres-midi, un feu du canon et d'infanterie, et surtout l'attaque de Lowositz, ce qui a dur6, sans discontinuer, jusqu' ce que l'ennemi s'est trouv6 chass6. J'ai surtout eu l'oeil soutenir la hauteur de ma droite; ce que je crois a d6cide de toute l'action. Montrez, je vous en prie, le croquis ci-joint Fouque; s'il ne le voyait pas, il ne me le pardonnerait jamais. J'ai vu par ceci, que ces gens ne veulent se hasarder qu' des affaires de poste, et qu'il faut bien se garder de les attaquer la hussarde. Iis sont plus petris de ruses que par le pass, et croyez m'en sur ma parole que sans beaucoup de canon, pour le leur opposer, il en coterait un monde infini pour les battre. Moller, de l'artillerie, a fait des merveilles, et m'a prodigieusement second. Je ne vous parle de mes pertes que les larmes aux yeux. Les gneraux Lderitz et Oertzen sont tues, et Holtzen-dorff des gendarmes. Je ne veux pas m'affliger en vous rap-pelant mes pertes: mais ce tour de force est suptrieur Sorr, et tout ce que j'ai vu de mes troupes. Ceci fera rendre les Saxons,1 et nira ma besogne cette annk. Je vous embrasse, mon eher marchal, et vous conseille d'aller bride en main.2 Adieu. 1 bei Pirna. 2 Schwerin war damals 71 Jahre alt.

6. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 247

1884 - Berlin : Gaertner
247 Auswrtigen, vereidet worden; zugleich gab der König mir und meinen Leuten Trauerkleider und eine sehr hbsche schwarz ausgeschlagene Kutsche. Gleich nach dem Leichenbegngnisse gehen wir nach Hannover ab. c. <friedricfi an Voltaire. (Oeuvres posthumes de Frederic le G-rand, Ii, 16.) A Charlottenbourg, le 27 juin 1740. Mon eher "Voltaire, . . J'ai cru que depuis la perte de mon pere, je me devais entierement la patrie. Dans cet esprit j'ai travaille autant qu'il a ete en moi pour prendre les arrangements les plus prompts et les plus convenables au bien public. J'ai d'abord commence par augmenter les forces de l'etat de seize bataillons, de cinq escadrons de hussards et d'un esca-dron de gardes-du-corps. J'ai pose les fondements de notre nouvelle academie.*) J'ai fait acquisition de Wolf, de Mau-pertuis, d'algarotti. J'attends la reponse de s' Gravesande, de Vaucanson et d'euler. J'ai etabli un nouveau College pour le commerce et les manufactures; j'engage des peintres et des culpteurs, et je pars pour la Prusse pour y recevoir 1 hoinmage, etc. sans la sainte ampoule et sans les cremonies inutiles et frivoles que l'ignorance et la superstition ont etablies, et que la coutume favorise. Mon genre de vie est assez deregle quant , present, car la Faculte a trouve a propos de m'ordonner ex officio de boire des eaux de Pirmont. Je me leve quatre heures, je bois les oaux jusqu' buit, j'6cris jusqu' dix, je vois les troupes jusqu' midi, j'ecris jusqu' cinq heures, et le soir je me delasse en bonne compagnie. Lorsque les voyages seront finis, mon genre de vie sera plus tranquille et plus uni; mais jusqu' present j'ai le cours ordinaire des affaires suivre, j'ai les nouveaux etablissements de surplus, et avec cela beaueoup de compliments inutiles faire, d'ordres circulaires donner, etc. Ce qui me cote le plus est l'etablissement de magasins assez considerables dans toutes les provinces, pour qu'il s'y trouve une provision de grains d'une ann6e et demie de con-sommation pour chaque pays. . . . *) Die unter Friedrich I. gegrndete Akademie war unter Friedrich Wilhelm I. in Verfall geraten.

7. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 275

1884 - Berlin : Gaertner
275 ziehen vor, mit ihrem Gelde anstatt ihrem Leben zu bezahlen. Was fr eine niedrige Meinung mu nicht die Welt von ihnen haben! Und bei alle dem sind ihre Kpfe nicht besser, als ihre Herzen. Denn zehn tausend Mann wrden in diesem Jahre vielleicht haben retten knnen, was im nchsten die ganze Macht Grobritanniens nicht wird ermglichen knnen. Sobald Preußen vernichtet ist, wird England an die Reihe kommen. Sollte es besser gehen, als ich erwarte, so werden wir die Englnder gerettet haben anstatt sie uns. . . . 170. Friedrichs Anordnungen vor der Schlacht bei Zorn-dorf fr den Fall seines Todes. 1758. Frieric an feinen Jjrudec, den Prinzen Heinrich. (Preu, Friedrich der Groe. Bd. I, 449.) Grtissau le 10 aot 1758. La mar che demain contre les Russes, comme les evene-ments de la guerre peuvent produire toutes sortes d'accidents et qu'il peut m'arriver facilement d'tre tue, j'ai cru de mon devoir de vous mettre au fait de mes mesures d'autant plus que vous 6tes le tuteur de notre neveu avec une autorite illimitee. 1. Si je suis tu, il faut sur le champ que toutes les armes prtent le serment de fidelite mon neveu. , 2. Ii faut continuer d'agir avec tant d'activit, que l'ennemi ne s'apergoive d'aucun changement dans le commandement. 3. Pour ce qui regarde les finances je crois devoir vous informer que tous ces derangements qui viennent d'arriver, en dernier lieu surtout ceux que je prevois encore, m'ont oblig d'aeeepter les subsides anglais, qui ne seront payables qu'au mois d'oetobre. 4. Pour la politique, il est certain que si nous soutenons bien cette campagne, que l'ennemi las et fatigu6 et 6puis6 par la guerre sera le premier desirer la paix, mais si, inconti-nent apres ma mort, l'on montre de l'impatience et un d6sir trop violent pour la paix: ce sera le moyen de l'avoir mauvaise et d'etre oblige de recevoir la loi de ceux que nous avons vaineus. 18*

8. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 277

1884 - Berlin : Gaertner
277 (Eigenhndig:) mihr hat es geahnet, das ding wrde Schf gehen; ich habe es ihm auch gesagt, dan die Leute wahren verblft; mehr mehr nicht daran gedacht, Sondern Whr der Succurs zum ersten zu Stoen - kann, nmb von neuen drauf zu gehen; es ist Seine Schuldt nicht, das die Schurken So schendlich davon Lausen. b. Mein lieber G. L. v. Wedell. Ich habe Euren Bericht vom 31. d. erhalten. Ich marchiere diesen Abend dem streichischen Corps, so zu den Russen stoen will, auf den Hals. Ich frchte, da etwas von der dabei befindlichen Cavallerie zu der russischen Armee durchkommen werde. Die Infanterie gedenke aber nicht entkommen zu lassen, und gehe Ich denselben Morgen mit dem frhsten auf den Leib. Sowie Ich damit fertig sein werde, so werde Ich Mich Euch bei Naumburg nhern. Denen Brotwagens, so diesen Abend unter Escorte von hier zu Eurer Arme abgehen werden, msset Ihr eine sffisante Escorte entgegen schicken. Ich bin:c. Christianstadt, den 31. Julii 1759. c. Mein lieber G. L. v. Wedel!. Ich gebe Euch hierdurch in Nach-richt, wie da Laudon und Hadeck sich conjugiert haben und ihren Marsch grade auf Frankfurt richten; sie haben Guben auch bereits passieret. Dieses zwinget Mich, auch meinen Marsch dahin zu nehmen, um ihr Vorhaben zu stren. Ich habe auch bereits Fmcken geschrieben, da Ich ihn an Mir ziehen will, um die Leute zurckzujagen. Sollte Ich sie nun bei Frankfurt wegjagen, so werde alles anwenden, um die Brcke bald fertig machen zu lassen, um allda berzugehen und den Russen im Rcken zu kommen. Sollte Ich erfahren, da die Russen bei Crossen bergegangen wren, so werde Ich Mir der Anhhen von Crossen bemchtigen, sie aus Crossen wegjagen und suchen, wo Ich am besten die Oder passieren kann, um zu Euch zu stoen. . . . Sommerfeld, den 1. August 1759. 2 zustoen.

9. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 308

1884 - Berlin : Gaertner
tant bien que mal; point de vrai systeme, point de courage, point de fermet dans l'esprit, enfin on ne chercke que d'aller en avant, sans se soucier de ce qui arrive droite ou gauche. . . . 197. Sieties degrndet die Konstituierung einer National- Versammlung. 17. Juni 1789. (Thiers, histoire de la revolution franpaise, I, 62ff. Paris 1834, 4. Aufl.) L'assemblee, dliberant apres la verification des pouyoirs, reconnait qu'elle est d6j compose de reprsentants envoyes directement par les quatre - vingt - seize centiemes au moins de la nation. Une teile masse de deputations ne saurait rester inactiye par l'absence des deputes de quelques bailliages ou de quelques classes de citoyens; car les absents qui ont 6te appels ne peuvent empecher les prsents d'exercer la plnitude de leurs droits, surtout lorsque l'exercice de ces droits est un devoir imperieux et pressant. De plus, puisqu'il n'appartient qu'aux reprsentants verifies de concourir au voeu national, et que tous les representants verifies doivent 6tre dans cette assemble, il est encore indispensable de conclure qu'il lui appartient et qu'il n'appartient qu' eile d'interpr6ter et de reprsenter la volonte generale de la nation. Ii ne peut exister entre le trne et l'assemblee aucun veto, aucun pouvoir negatif. L'assemblee dclare donc, que l'oeuvre commune de la restauration nationale peut et doit tre commencee sans retard par les deputes presents, et qu'ils doivent la suivre sans Interruption comme sans obstacle. La dnomination d'assemble nationale est la seule qui convienne a l'assemblee dans l'etat actuel des ckoses, soit parce que les membres qui la composent sont les seuls representants lgitimement et publiquement connus et verifies, soit parce qu'ils sont envoyes par la presque totalite de la nation, soit enfin parce que la representation etant une et indivisible, aucun des deputes, dans quelque ordre ou classe qu'il soit choisi, n'a le droit d'exercer ces fonctions separement de cette assemblee. L'assemblee ne perdra jamais l'espoir de runir dans son sein tous les deputes aujourd'kui absents; eile.;ne cessera de les appeler remplir l'obligation qui leur est impos6e de concourir la tenue des etats-gneraux. A quelque moment que les deputes absents se presentent dans la session qui va s'ouvrir

10. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit - S. 309

1884 - Berlin : Gaertner
309 eile declare d'avance quelle s'empressera de les recevoir, et de partager avec eux, apres la verification des pouvoir, la suite des grands travaux qui doivent procurer la rgeneration de la France. 198. Brief Rolands an Ludwig Xvi*) 10. Juni 1792. (Thiers, histoire de la revolution fran<?aise, Ii, 100ff. Paris 1834.) Sire, l'6tat actuel de la France ne peut subsister long-temps; c'est un etat de crise dont la violence atteint le plus haut degr6; il faut qu'il se termine par un eclat qui doit interesser Yotre Majest autant qu'il Importe tout l'empire. Honore de yotre confiance, et place dans un poste o je tous dois la verite, j'oserai la dire tout entiere; c'est une Obligation qui m'est imposee par vous-mme. Les Frangais se sont donne une Constitution; eile a fait des mcontents et des rebelles: la majorit de la nation la veut maintenir; eile a jure de la defendre au prix de son sang, et eile a vu avec joie la guerre, qui lui offrait un grand moyen de l'assurer. Cependant la minorit, soutenue par des esperances, a reuni tous ses efforts pour emprter l'avantage. De l, cette lutte intestine contre les lois, cette anarchie dont gemissent les bons citoyens, et dont les malveillants ont bien soin de se prvaloir pour calomnier le nouveau regime; de l cette divi-sion partout repandue et partout excite, car nulle part il n'existe d'indifference: on veut ou le triomphe ou le change-ment de la Constitution; on agit pour la soutenir ou pour l'alterer. . . . Yotre Majeste jouissait de grandes prerogatives, qu'elle croyait appartenir la royaute; 6lev6e dans l'ide de les con-server, eile n'a pu se les voir enlever avec plaisir: le desir de les faire rendre 6tait aussi naturel que le regret de les voir anantir. Oes sentiments, qui tiennent la nature du coeur humain, ont du entrer dans le calcul des ennemis de la r6vo-ltion; ils ont donc compte sur une faveur secrete jusqu' ce que les circonstances permissent une protection declaree. Oes dispositions ne pouvaient 6chapper la nation elle-meme, et elles ont du la tenir en defiance. . . . Yotre Majeste peut-eile auj ourd'hui s'allier ouvertement avec ceux qui prtendent rformer la Constitution, ou doit-eile *) bezieht sich auf das Dekret gegen die unvereidigten Priester und der ein bei Paris zu errichtendes Lager von 20 000 Mann; der König verweigerte die Be-sttigung dieser Dekrete.
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