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1. Epochen der französischen Geschichte - S. 18

1880 - Nördlingen : Beck
2g Hi. Das Lehenswesen in Frankreich. il bravait dej les coups. Dans ce but, il se fortifia par un constant exercice, et par la dexterite qu'il acquit dans tous les travaux chevaleresques: sa vie entiere fut consacree au manie-ment des armes et l'education de son destrier; et si des lors l'ignorance fit des progres parmi la noblesse, en depit du de-veloppement des esprits et de l'adoucissement des moeurs nationales, c'est que le gentilhomme n'avait reellement plus le temps de faire autre chose que de se preparer se battre. Aufzhlung 5. Pendant les derniers regnes de la seconde race, les der grofsenrois, residant Laon et Reims, et n'ayant conserve qu un ties-Kronvasauenpetjt n0mbre de domaines1) dans le voisinage de l'oise, cher-"Tvki tiherent bien les infeoder aux meines conditions que les grands Toulgem.* seigneurs , mais leurs vassaux immediats2) etaient en si petit nombre, qu'ils ne suffisaient point pour constituer une armee, et que chaque effort de Louis Iv3), de Lothaire3) et de Louis V3), pour se faire des creatures, n'avait d'autre resultat que d'appau-vrir davantage encore le monarque. Le nombre des grands barons4) qui s'etaient partage le territoire de la France, et qui, ne reconnaissant d'autre superieur que le roi, 6taient regards alors comme vassaux immediats de la couronne, n'etait probable-ment point limite; il aurait ete tres diffieile de tracer une ligne pour les separer de ceux qui les suivaient en importance: ce fut au bout de plusieurs generations seulement qu'on pretendit qu'ils n'6taient quau nombre de sept, et qu'on voulut voir en eux les auteurs des pairs laiques du royaume. Sept grands prin-ces qui avaient affermi leur autorite hereditaire5) sur de vastes provinces, pendant la decadence de la seconde race, survecurent en effet sa chute. C'etait le comte de Flandre, alors Arnoul Ii 5. !) Gebiete, welche der König nicht an Vasallen gegeben hat, sondern' unmittelbar beherrscht; lat. dominium, mlat. domanium 2) Im Ggs. zu den sog. Aftervasallen, welche zunchst unter den groisen Baronen" standen, die aber, im erblichen Besitze ausgedehnten Landes u. gesttzt auf zahlreiche Lehensmannschaft, dem König gegenber ganz selbstndig auftraten, wenn sie ihn auch dem Namen nach als ihren obersten Lehensherrn anerkannten. Vassed, derjenige, welcher iur ein verliehenes Land dem Geber zum Kriegsdienst verpflichtet ist; vom mlat. vassus, Diener eines Fürsten; dieses entstammt dem Geltischen. 3) Ludw. Iv., Sohn Karls des Einf., d'outre-Mer genannt da er vor seiner Erhebung z. Knigswrde mehrere Jahre bei seinem Oheim, Kg. Athelstan v. England, gelebt hatte. Reg. 936-54. Sein Sohn Lothar, 954-86. Dessen Sohn Ludwig V., gen. Faineant, 986-87. ) Baron, zweifelhafter Herkunft, bedeutete ursprgl.: Mann; tapfrer Mann; dann: Grofser des Reichs, Lehenstrger (= grand-seigneur). - s) Karl d. Kahle besttigte in einem Edikt vom J. 877 ausdrcklich die Erblichkeit der
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