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1. Epochen der französischen Geschichte - S. 116

1880 - Nördlingen : Beck
116 Xi. Der Friede zu Cambrai 1529. d6pendanees, il devait remettre pour la de'livrance de ses enfants les 2 millions d'ecus d'or qu'il avait toujours offerts selon le mode de payement qu'il avait toujours propose. Ii n'avait- plus fournir des troupes qui fissent cortege son heureux rival en Italie, et les 100,000 ecus d'or que le traite de Madrid l'obli-geait payer pour le voyage triomphal de l'empereur en Italie, l'empereur les ajoutait la dot de sa soeur la reine Eleonore20), dont le mariage, dej convenu et moitie celebre en 1526, sem-blait destine assurer en 1530 son union avec Frangois Ier. Franz l 3. Si Charles-Quint recueillait ces grands avantages du sucht ver- trajt de Cambrai, Frangois Ier se soumettait avec peine aux ^Bedin ^ conditions de la paix qu'il avait sollicitee et qu'il venait de con-ungenz'u clure. Ii protestait en Seeret contre ce traite qu'il jurait en ndern, public, et il y faisait proposer des modifications qu'il etait non moins imprudent de demander qu'impossible d'obtenir. L'amiral1) Chabot de Brion, qu'il avait envoye en Italie pour recevoir la. ratitication et le serment de Charles-Quint, avait exprime de sa part l'empereur le desir de ne remettre que la moitie des 1,200,000 ecus d'or qui devaient etre comptes pour la delivrance du dauphin et du duc d'orleans2), en donnant des sretes pour le payement prochain des 600,000 autres. Ii reclama de plus l'autorisation de racheter le comt d'asti, ancien patrimoine de la maison d'orleans3), ce qui l'aurait fait rentrer en Italie. Ii insinua meme que, si l'empereur lui rendait le duche de Milan, qu'il ne se resignait pas perdre, il l'aiderait reprendre Ve-rone4) sur les Venitiens et expulser les Turcs5) de l'allemagne Orientale. L'empereur, etonne, rejeta la premiere demande, su-specta les intentions que laissait apercevoir la seconde, et ne tint aucun compte de la troisieme. Ii insista sur l'execution com-plte du traite, et il demeura sans confiance. 20) Seit 1521 Witwe Emanuels des Grofseii von Portugal. 3. J) Vgl. Ix, 14, 3. 2) Franz I. war in der Schlacht bei Pavia 1525 von den Kaiserlichen gefangen worden; als er durch den Frieden von Madrid seine Freiheit wieder erlangte, mulste er _ seine zwei ltesten Shne als Geiseln stellen. Dieselben befanden sich immer noch in Spanien, da Franz das Herzogtum Burgund nicht herausgegeben hatte. Vgl. 1, 2. 3) Vgl. 2, 2. 4) Die Venetianer besafsen seit dem Ende des' 15. Jahrh. alles Gebiet zwischen der Adda und dem adria-tischen Meer. - 5) Sultan Soliman war nach der Eroberung Ungarns damals eben im Begriff, nach Deutschland vorzudringen; am 26^ Sept. 1529 erschien er vor Wien, zog aber am 14. Okt. nach vergeblicher Belagerung der Stadt wieder ab.
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