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1. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit
1884 -
Berlin
: Gaertner
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1. Quellenbuch zur Geschichte der Neuzeit 
- S. 287
1884 -
Berlin
: Gaertner
287
un des heureux effets de notre entrevue et ouvrir un vaste champ des liaisons si avantageuses tous deux de m6me qu a nos peuples, et j'ose dire toute l'humanite. Lui dirai-je 1'effet qu'elle a fait dans mon me? non. Car la verite bien pure paraitrait Sa modestie une flatterie. Je me borne donc prior V. M. de croire que les sentiments de la haute estime et sincere amitie qu'elle m'a inspires ne cesseront jamais et que je serais toujours
de Yotre Majeste le von frere Joseph.
183.
Friedrich d. Gr. an Finkenkein der die Zusammen-Kunst in Reie.
(Ranke, Die deutschen Mchte u. d. Frstenbund, Bd. 2, . 238.)
ce 7 se'pt. (1769).
Je vous envoie, mon eher Comte, le residu de l'entrevue; vous verrez par ces pieces importantes que nous avons conclu entre nous un traite de neutralite pour l'allemagne en cas de guerre entre la France et l'angieterre, et un engagement de ne nous point attaquer dans nos possessions, suppose que d'autres troubles nous entrainassent ailleurs. Ceci est d'autant meilleur que je n'ai aueun traite avec l'angieterre, et que les Busses (mettant les choses au pire) ne peuvent me commettre qu'avec la Suede ou la Pologne. D'ailleurs l'empereur est franc et rempli de candeur, et je suis presque moralement persuade qu'il ne me veut aueun mal, au contraire, assez de bien per-sonnel. Quant au reste, la politique entralne souvent les princes dans des engagements et des mesures qui les forcent d'agir contre leur inclination, de sorte que je ne veux rien ga-rantir pour l'avenir. Ii faut conserver toutes ces pieces soi-gneusement dans les archives secretes comme un monument de reconciliation, ou, si vous voulez, comme un renouvellement de la paix de Dresde. Adieu, mon eher Comte, dites-moi si vous n'envisagez pas les choses de mme.
Federic.