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Diagramm für Aktuelle Auwahl statistik

1. Heimatkunde von Schleswig-Holstein - S. 28

1914 - Frankfurt am Main : Diesterweg
28 Schleswig-Holstein. Abb. 12. Segeberger Heide. (Aus Tl). Möller, Das Gesicht der Heimat.) Abb. 13. Segeberger Heide mit dem Dampfpflug umgebrochen; links mit Korn besät, rechts rohe Schollen. (Aus Th. Moller, Das Gesicht der Heimat.)

2. (Achtes und neuntes Schuljahr) - S. 428

1913 - Frankfurt am Main : Diesterweg
428 balatscht (parlage). Sackerdinunterdertje (sacre nom de dieu), der ctujon (coïon), die Canaille (canaille) litzt ahm nit émoi ausschlofe! Wann eich in die Raasch (rage) komme, e Batsch (battre) künnt eich'm gewwe, dah es blümerant (dieu mourant) ftr die Ange werd, un wann eich hinnich die Trallje (traille) komm! Heit mutz eich met mei'm ftumpeer e Fehit (visite) mâche. Mer folle barduh (partout) bei mei'n Unkel (oncle) kumme, der is gor fchennirees (généreux), do gibt's e Effe met Gugummern (concombre), als Nooch- difch Renneklotte (reineclaude) un annere Finneffe (finesse). Un mei’rn Unkel set’ Maadche, des is e gor Feinesche, des hot e Vins (blouse) vo purenziger (pure) Seire un hot e Frifur halber Wahnfinn (à la vendée) un danzt die fcheel Agnes (chaîne anglaise) wie e Lottche. Es batzt sich jo nit for uns Bauern, awwer des is duttmehmfchohs (tout de même chose). Des Madche Hot emol ’s Schenie (génie) derfor. Drim altee (allez) viro; die Parbeli (parapluie) nit vergeffe, die Sach is pressant (pressant). In die Schàs (chaise) mit der ganze Eckebasch (éguipage), stellt der Modder e Schawellche (escadelle) unner die Feus;, un nir wie Duschur (toujours) usf die Gàul! 5tuscht (coucher) euch in die Eckelcher; in zwu Stunn simmer dort. Jetzt sinn eich ferdig met meme Eebalatsch (parlage). Gran' maschee (grand merci), dah er su schoh uffgebatzt hot! 174. Mundartliche Proben aus Hessen-Nassau. 1. Cassel. Aus Jonas: „Fimf Geschichderchcn von Casselänern". Äs es ’ne einfache Geschichde, die ich do v'rzählen well, so einfach, daß vielleichde mancher sa’n werd, äs hädde sich gar nitt d’r Mih verlohnd, ’s ze v'rzählen; un 'ne ahle Geschichde äs es au, so ald, daß äs bienoh' gar nitt mehr wohr es. Un doch es äs wohr, un 's es unner der Zitt wohl noä) dausend un awer dausend mo’ wohr gewor'n; un der liewe Eodd im hohchen Himmel drowen mag gewen, daß äs noch unzählige mo’ wohr werd, dis nämlich: daß die Liewe, die de in d'r heiligen Christnachd menschlich gewor'n es, gebredigd werd nitt nuhrd mid d'm Munde, sunnern au mid d'm Herzen un mid d'r Dhad.

3. Die deutschen Einigungskriege - S. 20

1913 - Frankfurt am Main : Diesterweg
20 Aus der Botschaft des Königs Wilhelm an den Landtag. Art. 5. S. Itc. der Kaiser von Österreich überträgt auf 5. Jh. Den König von Preußen alle seine im wiener Zrieöen vorn 30. Oktober 1864 erworbenen Hechte auf die Herzogtümer Holstein und Schleswig . . . Art. 6. Auf Den Idunsch 5. Itt. des Kaisers von Österreich erklärt 5. Itt. der König von Preußen sich bereit, bei Den be-vorstehenöen Deränöerungen in Deutschlanö Den gegenwärtigen (lerritorialbestanö des Königreichs Sachsen in seinem bisherigen Umfang bestehen zu lassen . . . Dagegen verspricht S. Itt. der Kaiser von Österreich, die von S. Itt. dem Könige von Preußen in Itorööeutschlanö her* zustellenöen neuen Einrichtungen einschließlich der territorial* Deränöerungen anzuerkennen. flrt. 11. S. Itt. der Kaiser von Österreich verpflichtet sich, behufs Deckung eines Teiles der für Preußen aus dem Kriege erwachsenen Kosten an S. Itt. Den König von Preußen die Summe von 40000000 preußischer Taler zu zahlen. Don Öieser Summe soll jeöoch der Betrag der Kriegskosten, welche S. Itt. der Kaiser von Österreich laut flrt. 12 des geöachten wiener Zrieöens vom 50. Oktober 1864 noch an die Herzogtümer Schleswig und Holstein zu foröern hat, mit 15000000 preußischer Taler und als Äquivalent der freien Derpflegung, die Sie preußische Armee bis zum Zrieöensschlusse in Den von ihr okkupierten österreichischen £anöesteilen haben roirö, mit 5000000 preußischer Taler in Abzug gebracht roeröen, so öaß nur 20000000 preußischer Taler bar zu zahlen bleiben. 18. Aus der Botschaft des Königs Wilhelm an den Landtag. 17. Huguft 1866. (H. Schultheß, Europäischer Geschichtskalender 1866. 5. 177.) Nicht im Derlangen nach £änöererroerb, sonöern in der Pflicht, unsere ererbten Staaten vor roieöerkehrenöen Gefahren zu schützen und der nationalen Neugestaltung Deutschland eine breitere und festere (Brunölage zu geben, liegt für uns

4. Vom aufgeklärten Despotismus zur Restauration - S. 45

1912 - Frankfurt am Main [u.a.] : Diesterweg
Montesquieu: De l’esprit des lois. 45 Comme dans un État libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui- même, il faudrait que le peuple en corps eût la puis- sance législative * ; mais comme cela est impossible dans les grands États et est sujet à beaucoup d’inconvénients dans les petits, il faut que le peuple fasse par ses re- présentants tout ce qu’il ne peut faire par lui-même. L’on connaît beaucoup mieux les besoins de sa ville que ceux des autres villes, et on juge mieux de la capacité de ses voisins que de celle de ses autres compatriotes. Il ne faut donc pas que les membres du corps législatif soient tirés en général du corps de la nation, mais il convient que dans chaque lieu principal, les habitants se choisissent un représentant. Le grand avantage des représentants, c’est qu’ils sont capables de discuter les affaires. Le peuple n’y est point du tout propre: ce qui forme un des grands inconvénients de la démocratie. Tous les citoyens, dans les divers districts, doivent avoir le droit de donner leur voix pour choisir le re- présentant, excepté ceux qui sont dans un tel état de bassesse qu’ils sont réputés n’avoir point de volonté propre. Le corps représentant ne doit pas être choisi pour prendre quelque résolution active, chose qu’il ne ferait pas bien, mais pour faire des lois ou pour voir si l’on a bien exécuté celles qu’il a faites, chose qu’il peut très bien faire, et qu’il n’y a même que lui qui puisse bien faire. Il y a toujours dans un État des gens distingués par la naissance, les richesses ou les honneurs; mais s’ils étaient confondus parmi le peuple, et s’ils n’y avaient qu’une voix comme les autres, la liberté commune serait leur esclavage, et ils n’auraient aucun intérêt à la dé- fendre parce que la plupart des résolutions seraient

5. Vom aufgeklärten Despotismus zur Restauration - S. 50

1912 - Frankfurt am Main [u.a.] : Diesterweg
50 Ii. Gesellschaftsvertrag und Volksjouveranitât. Sitôt que cette multitude est ainsi réunie en un corps, on ne peut offenser un de ses membres sans attaquer le corps; encore moins offenser le corps sans que les membres s’en ressentent. Ainsi le devoir et l’intérêt obligent également les deux parties contractantes à s’entr’-aider mutuellement. Or le Souverain n’étant formé que des particuliers qui le composent n’a, ni peut avoir d’intérêt contraire au leur. Mais il n’en est pas ainsi des sujets envers le Souverain, auquel malgré l’intérêt commun rien ne répondrait de leurs engagements, s’il ne trouvait des moyens de s’assurer de leur fidélité. En effet, chaque individu peut comme homme avoir une volonté parti- culière contraire ou dissemblable à la volonté générale qu’il a comme citoyen. Son intérêt particulier peut lui parler tout autrement que l’intérêt commun. Il jouirait des droits du citoyen sans vouloir remplir les devoirs du sujet ; injustice dont le progrès causerait la ruine du corps politique. Afin donc que le pacte social ne soit pas un vain formulaire, il renferme tacitement cet engagement qui seul peut donner de la force aux autres, que quiconque refusera d’obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps. Ce que l’homme perd par le contrat social, c’est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu’il peut atteindre. Ce qu’il gagne, c’est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n’a! pour bornes que les forces de l’individu, de la liberté civile qui est limitée par la volonté générale et la possession qui n’est que l’effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété qui ne peut être fondée que sur un titre positif.

6. Vom aufgeklärten Despotismus zur Restauration - S. 51

1912 - Frankfurt am Main [u.a.] : Diesterweg
Jean Jacques Rousseau: Du contrat social. 5î On pourrait sur ce qui précède ajouter à l’acquis* de l’état civil la liberté morale, qui seule rend l’homme vraiment maître de lui. Car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l’obéissance à la loi qu’on s’est pre- scrite, est liberté. La première et la plus importante conséquence des principes ci-devant établis est, que la volonté générale peut seule diriger les forces de l’État selon la fin de son institution, qui est le bien commun. Car si l’op- position des intérêts particuliers a rendu nécessaire l’établissement des sociétés, c’est l’accord de ces mêmes intérêts qui l’a rendu possible. C’est qu’il y a de com- mun dans ces différents intérêts qui forme le lien social, et s’il n’y avait pas quelque point, dans lequel tous les intérêts s’accordent, nulle société ne saurait exister. Or c’est uniquement sur cet intérêt commun que la société doit être gouvernée. Je dis donc que la souveraineté, n’étant que l’ex- ercice de la volonté générale ne peut jamais s’aliéner et que le Souverain qui n’est qu’un être collectif, ne peut être représenté que par lui-même. Le pouvoir peut bien se transmettre, mais non pas la volonté. Par la même raison que la souveraineté est inalié- nable elle est indivisible; car la volonté est générale ou elle ne l’est pas. Elle est celle du corps du peuple ou seulement d’une partie. Dans le premier cas cette volonté déclarée est un acte de souveraineté et fait loi. Dans le second, ce n’est qu’une volonté parti- culière ou un acte de magistrature. Si l’État n’est qu’une personne morale dont la vie consiste dans l’union de ses membres et si le plus im- portant de ses soins est celui de sa propre conservation, il lui faut une force universelle et compulsive pour mouvoir et disposer chaque partie de la manière la plus convenable au tout. Comme la nature donne à chaque 4 *

7. Vom aufgeklärten Despotismus zur Restauration - S. 52

1912 - Frankfurt am Main [u.a.] : Diesterweg
52 Ii. Tesellschaftsvertrag und Volksjouveramtat. homme un pouvoir absolu sur tous ses membres, le pacte social donne au corps politique un pouvoir ab- solu sur tous les siens et c’est ce même pouvoir qui porte le nom de souveraineté. Mais outre la personne publique, nous avons à con- sidérer les personnes privées qui la composent et dont la vie et la liberté sont naturellement indépendantes d’elle. Il s’agit donc de bien distinguer les droits re- spectifs des citoyens et du souverain, et les devoirs qu’ont à remplir les premiers en qualité de sujets du droit naturel, dont ils doivent jouir en qualité d’hommes. On convient que tout ce que chacun aliène par le pacte social de sa puissance, de ses biens, de sa liberté, c’est seulement la partie de tout cela dont l’usage importe à la communauté; mais il faut convenir aussi que le Souverain seul est juge de cette importance. Tous les services qu’un citoyen peut rendre à l’État, il les lui doit, sitôt que le Souverain les demande *. Mais le Souverain de son côté ne peut charger les sujets d’aucune chaîne inutile à la communauté. Par le pacte social nous avons donné l’existence et la vie au corps politique. Il s’agit maintenant de lui donner le mouvement et la volonté par la législation. On voit à l’instant qu’il ne faut plus demander à qui il appartient de faire des lois puisqu’elles sont des actes de la volonté générale; ni si le prince est au-dessus des lois puisqu’il est membre de l’État. Le peuple sou- mis aux lois doit en être l’auteur. De lui-même le peuple veut toujours le bien, mais de lui-même il ne le voit pas toujours. Il faut lui faire voir les objets tels qu’ils sont, quelquefois tels qu’ils doivent lui paraître, lui montrer le von chemin qu’il cherche, le garantir de la séduction des volontés particulières*. Si l’on recherche en quoi consiste précisément le plus grand bien de tous qui doit être la fin de tout mmimmmmmmmm

8. Vom aufgeklärten Despotismus zur Restauration - S. 53

1912 - Frankfurt am Main [u.a.] : Diesterweg
Jean Jacques Rousseau: Du contrat social. 53 système de législation, on trouvera qu’il se réduit à ces deux objets principaux, la liberté et l’égalité. J’ai déjà dit ce que c’est que la liberté civile ; à l’égard de l’égalité, il ne faut pas entendre de ce mot que les degrés de puissance et de richesse soient absolument les mêmes; mais que, quant à la puissance, elle soit au-dessous de toute violence et ne s’exerce jamais qu’en vertu du rang et des lois; et quant à la richesse, que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre. Nous avons vu que la puissance législative appar- tient au peuple. Il est aisé à voir que la puissance exécutive ne peut appartenir à la généralité. Il faut donc à la force publique un agent propre qui la ré- unisse et la mette en œuvre selon les directions de la volonté générale. Voilà quelle est dans l’État la raison du gouvernement: un corps intermédiaire établi entre les sujets et le souverain pour leur mutuelle correspon- dance, chargé de l’exécution des lois et du maintien de la liberté, tant civile que politique. Les membres de ce corps s’appellent magistrats ou rois, c’est-à-dire gouverneurs. Simples officiers du Souverain, ils exercent en son nom le pouvoir dont il les a faits dépositaires, et qu’il peut limiter, modifier et reprendre quand il lui plaît. J’appelle donc gouvernement l’exercice légitime de la puissance exécutive. Si l’on demandait à quel signe on peut connaître qu’un peuple donné est bien ou mal gouverné, la question de fait pourrait se résoudre. Quelle est la fin de l’association politique? C’est la conservation et la prospérité de ses membres. Et quel est le signe le plus sûr qu’ils se conservent et prospèrent? C’est leur nombre et leur population. Toute chose d’ailleurs égale, le gouvernement sous lequel, sans moyens étrangers, les

9. Vom aufgeklärten Despotismus zur Restauration - S. 54

1912 - Frankfurt am Main [u.a.] : Diesterweg
54 H. Gesellschaftsvertrcig und Volksjouveranitât. citoyens peuplent et multiplient davantage, est infaillible- ment le meilleur. Celui sous lequel un peuple diminue et dépérit, est le pire. Calculateurs, c’est maintenant votre affaire: comptez, mesurez, comparez. De la mort du corps politique. Telle est la pente naturelle et inévitable des gouvernements les mieux constitués. Si Sparte et Rome ont péri, quel état peut espérer de durer toujours? Si nous voulons former un établissement durable, ne songeons donc point à le rendre éternel. Pour réussir il ne faut pas tenter l’impossible, ni se flatter de donner à l’ouvrage des hommes une solidité que les choses humaines ne comportent pas. Le principe de la vie politique est dans l’autorité souveraine. La puissance législative est le cœur de l’état; la puissance exécutive en est le cerveau, qui donne le mouvement à toutes les parties. Le cerveau peut tomber en paralyse et l’individu vivre encore; mais sitôt que le cœur a cessé des fonctions, l’animal est mort. Le souverain n’ayant d’autre force que la puissance législative n’agit que par les lois, et les lois n’étant que les actes authentiques de la volonté générale, le Souverain ne saurait agir que quand le peuple est assemblé. A l’instant que le peuple est légitimement assemblé en corps souverain, toute jurisdiction du gouvernement cesse, la puissance exécutive est sus- pendue, et la personne du dernier citoyen est aussi sacrée et inviolable que celle du premier magistrat, parce qu’où se trouve le représenté, il n’y a plus de représentant.

10. Vom aufgeklärten Despotismus zur Restauration - S. 63

1912 - Frankfurt am Main [u.a.] : Diesterweg
Virginia Bill of Rights. 63 8. Virginia Bill of Rights. 1776, Juni 12. A declaration of rights made by the representatives of the good people of Virginia, assembled in full and free convention; which rigths do pertain to them and their posterity, as the basis and foundation of government. Section 1. That all man are by nature equally free and independant and have certain inherent rights, of which, when they enter into a state of society, they cannot by any compact deprive or divest their posterity ; namely the enjoyment of life and liberty, with the means of acquiring and possessing property and pursuing and obtaining happiness and safety. Sect. 2. That all power is vested in and con- sequently derived from the people ; that magistrates are their trustees and servants and at all times amenable to them. Sect. 3. That government is or ought to be in- stituted for the common benefit, protection and security of the people, nation or community ; of all the various modes and forms of government, that is best which is capable of producing the greatest degree of happiness and safety and is most effectually secured against the danger of maladministration : and that when any govern- ment shall bee found inadequate or contrary to these purposes, a majority of the community hath an in- dubitable, inalienable and indefeasible right to reform, alter, or abolish it, in such manner as shall be judged most conducive to the public weal. Sect. 4. That no man or set of men are entitled to exclusive or separate emoluments or privileges from the community, but in consideration of public services ; which not being descendible, neither ought the offices of magistrate, legislator or judge to be hereditary.
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