Hilfe und Dokumentation zu WdK-Explorer

Diagramm für Aktuelle Auwahl statistik

1. Epochen der französischen Geschichte - S. 57

1880 - Nördlingen : Beck
Vii. Philipps Iv. Sieg der Bonifatius Till. 57 n'atirait ose admettre l'idee. Trois personnages, Jean Mouchet, Thierry d'hiricon, Jacques de Gesscrin, furent Lonnes pour com-pagnons Nogaret. Le premier de ces personnages etait un Florentin ou, comme on disait alors4), un Lombard". Son vrai nom etait Musciatto Guidi de' Franzesi. Les lettres patentes5) qui conferaient Nogaret, Mouchet, Hiricon, Gesserin la Mission inouie d'aller arreter le pape au milieu de ses etats pour le faire comparaitre devant le tribunal qui devait le juger sont datees du 7 mars 1303. Les pouvoirs qu'on leur attribue sont dessein exprimes en termes vagues. Le roi declare qu il les envoie ad certas partes, pro quibusdam nortris negotiis6); il leur donne tous et chacun le droit de traiter en son nom avec toute personne noble, ecclesiastique ou mondaine, pour toute ligue ou pacte de s^cours mutuel en hommes ou en argent quils ju-geront propos". Ii n'est pas douteux que le roi ne ft des lors dans le secret et ne st parfaitement ce qu'ils allaient faire et les moyens qu'ils se proposaient d'employer. ^ 4. Le plan de campagne ainsi congu et les commissaires etant nommes, on proceda aux formes legales. Une assemblee An, se tint au Louvre1) le 12 mars 1303. Cinq prelats y assistai-Mage gegen ent; Philippe etait present ainsi que Charles de Valois2) et Louis Bonifatius, d'ilvreux, freres du roi, Robert, duc de Bourgogne, et d'autres princes. Quand l'assemblee fut constituee, Nogaret, qualifie miles, legum professor venerabilis3), s'avanga et lut une requete dont il deposa copie entre les mains du roi. La piece debutait comme un sermon par un texte de l'ticriture; Nogaret emprunta expres son texte une des epitres attribuees saint Pierre: Fuerunt p&eudoprophetae in populo, sicut et in vohis erunt magistri mendaces4). Boniface est un vrai Balaam5): un ne va le re- 4) Weil man von den Italienern die Lombarden als Geldwechsler u. Wucherer in ganz Europa am besten kannte. ) Lettres pat., offene, mit dem Staatssiegel versehene Urkunde, welche ein Recht, ein Privilegium, eine Vollmacht erteilte. Ggs. lettres closes (spter lettres de cachet), die in der Regel einen geheimen Haftbefehl enthielten. 6) D h. Irgendwohin, wegen gewisser Geschfte von uns. 4. ') Das Schlofs der frz. Könige in Paris, bis auf die neueste Zeit erweitert u. verschnert, enthlt weltberhmte Sammlungen verschiedener Art. Urspr. war es eine von Philipp Aug. (vgl. V) angelegte Festung, die auch als Gefngnis diente. Louvre von lupara, dessen Bdtg. unbekannt ist (Wolfshhle?). 2) Valois, Grafsch., spter Herzogtum in Ile de France; Hauptorte Crespy, Compiegne, Senlis. s) D. h. Ritter, der Gesetze ehrwrdiger Lehrer. 4) 2 Petri 2, 1: Es waren aber auch falsche Propheten unter dem Volke, wie auch unter euch sein werden falsche Lehrer. 5) Vgl. 4 Mos. 22. -

2. Epochen der französischen Geschichte - S. 77

1880 - Nördlingen : Beck
Viii. König Johann im Kampfe mit den Englndern. 77 donnrent le signal. Alors eurent lieu les scenes les plus hi-deuses. Ii n'y avait de grce ni pour l'ge ni i>our le sexe, ils torturaient leurs prisonniers, outrageaient les plus nobles fem-mes, brlaient jusqu'anx petits enfants, et ne laissaient que cen-dres et sang l o ils avaient passe. Dans la Champagne et la Picardie seulement ils etaient plus de 100,000 et comptaient bien en finir avec les nobles. Ceux-ci, surpris d abord, s assem-blerent, et une guerre atroce, sans pitie, commenga. Marcel etait trop presse lui-meme pour dedaigner les allies qui s'offraient. Ii comprenait que la bourgeoisie seule ne pou-vait faire une revolution, il s'entendit avec les jacques: et lorsqu' ils marcherent sur Meaux o les famillcs de beaucoup de nobles s'etaient refugiees, il leur envoya deux compagnies de milice bourgeoise *); les habitants de la ville firent aussi cause commune avec eux. Meaux avait une forteresse qui tint von. Les jacques furent defaits (9 juin), puis traques en tous lieux et extermines. 1358. En quelques semaines il y eut un effroyable massacre. Le lu-gubre souvenir de cette abomination a traverse les siecles, et le nom des jacques est reste celui des ennemis sauvages de toute societe. 13. Le 8 juillet 1358, le dauphin s'etant avance du ctekarl <* B5se de Charenton et de Sain-Maur, et menagant la porte Saint-un^h^elt Antoine, le prevt des marchands pria le roi de Navarre1) de Dauphin, repousser l'ennemi. Charles le Mauvais sortit de Paris; mais, au lieu d'attaquer le dauphin, il eut un long entretien avec lui: c'etait un traite qu'ils concluaient. On lui promettait pleine satis-iaction sur tous ses griefs, et 400,000 florins2) s'il livrait la ville et Marcel. On eut vent Paris de ces mene'es; on cria la trahison, et le corps des echevins3) ota Charles le Mauvais son titre de capitaine. Ii sortit aussitt de la ville et se jeta sur les campagnes voisines, pillant et brlant tout comme le dauphin. 12. 1) Die Brgermiliz diente zur Aufrechthaltung der Ordnung in der Stadt, wie zu deren Verteidigung gegen ufsere Angriffe. Am Ende des 14. Jahrh. hatte Paris eine Miliz v. 50,000 Mann. Ib. 1) Karl. v. Navarra, am 9. Nov. 1357 aus seiner Haft in einer Burg der Picardie, und zwar auf Marcels Anstiften befreit, hatte an der Vernichtung der Bauern einen blutigen Anteil genommen. Marcel, der in ihm eine Sttze suchte, forderte ihn auf, nach Paris zu kommen und liefs ihn am 15. Juni 1358 zum Stadthauptmann whlen. 2) Florin ursprngl. eine florentinische Goldmnze mit dem Zeichen der Lilie, v. ital. fiore, Blume. Die florins wurden in Gold und Silber geprgt; der Wert war nach Zeit u. Ort verschieden, 3) Vgl, 10, 1. -

3. Epochen der französischen Geschichte - S. 87

1880 - Nördlingen : Beck
Ix. Das Auftreten der Jungfrau von Orleans. 87 autre ne peut relever le royaume de France. Ii n'y a de secours pour lui qu'en moi. Si pourtants) j'aimerais mieux rester a hier pres de ma pauvre mere, car ce n'est pas l mon ouvrage; mais il laut que j'aille, et que je le fasse, puisque mon seigneur le veut ^ Qui est votre seigneur ?" reprit le gentilhomme. 0 est Dieu , repliqua-t-elle. Le sire de Novelompont se sentit, persuade; il lui jura aussitt, par sa foi, la main dans la sienne, de la mener au roi, sos la conduite de Dieu. n autre gentilhomme des amis du sire de Baudricourt, nomme Bertrand de Poulengy, se laissa aussi toucher, et crut, comme toute la contree, que cette pauvre fille etait conduite par l'esprit du Seigneur. B resolut de la mener au roi avec le sire de Novelompont, et ils se pre- narerent ce voyage. 6. La renommee publiait de plus en plus les meireilles de la devotion de Jeanne et de ses visions, si dien que Rene d Anjou, Eend d,An duc de Bar1), se sentant malade et voyant que les medecms ne jou le guerissaient point, envoya chercher cette samte fille. Elle lui dit qu'elle n'avait aucune lumiere du ciel pour lui rendre la saute- mais comme en toute occasion eile recommandait toujours la sagesse et la crainte de Dieu, eile lui conseilla de mieux vivre avec la duchesse, et de la rappeler pres de lui. Elle demanda au prince, comme eile faisait tout le monde, de la faire con-duir# vers le roi, et promit de dire alors des priores pour sa guerison Le duc de Bar la remercia et lui donna quatre francs2). Quand eile fut de retour Yaucouleurs, Robert de Baudri-J^^ court consentit enfin l'envoyer au roi. Des que les gens de zum K5nig Yaucouleurs surent qu'on allait envoyer Jeanne vers le roi, ils m gehen. lui fournirent avec grand empressement tout ce qui fallait pour l'equiper. Les voix lui avaient ordonne depuis longtemps de prendre un vetement d'homme pour s'en aller parmi les gens de 3) Si im adversativen Sinn, verstrkt durch powtant. 6 König Johann hatte 1360 Anjou zum Herzogtmn erhoben u. seinem Sohn Ludwig I. (+ 1384) verliehen. Dieser ist der Stammvater der jngeren Linie des Hauses Anjou. Ihm folgte sein Sohn, Ludw. Il, t 1417. Diesem Ludw. Iii Herz. v. Anjou <Graf v Provence und König v. Neapel, t 1434. Dessen jngerer Bruder, Rene, 1419 von Ludwig v. Bar adoptiert, erbte von demselben das Herzogtum Bar, zwisch. der oberen Maas u. Marne (Bar-le-Duc). Yerm mit Isa, bella der Erbin v. Lothringen, gewann er dieses Herzogtum 14dl. im J. 1434 beerbte er seinen Bruder. Er st. 1480. ) Der erst 1360 unter König Johann als Goldmnze, seit 1575_in Silber g-prgt, hatte den Wert v. 20 sous od. 1 livre; so wurde Franc - Ivne Der Name von der Umschrift der ersten dieser Mnzen: Johannes Bei gracia Francorum rex.

4. Epochen der französischen Geschichte - S. 156

1880 - Nördlingen : Beck
156 Xiv. Ludwig Xiv. auf der Hhe seiner Macht. d'argent qu'on croyait pouvoir y etre encore. Les magistrats firent ouvrir les cavos o le tresor se conserve. On le trouva tout entier, tel qu'il avait ete depose depuis soixaute ans; l'ar-gent meme etait encore noirci de l'impression du feu qui avait, quelques annees auparavant, consume l'htel de ville. Los billets de banque s'etaient toujours negocies jusqu' ce temps, sans que jamais on et touche au tresor./ On paya alors avec cet argent tous ceux qui voulurent l'etre. Tant de bonne foi et tant de ressources etaient d'autant plus admirables, que Charles Ii, roi d'angleterre, pour avoir de quoi faire la guerre aux Hollandais et fournir ses plaisirs, non content de l'argent de la France 2), venait de faire banqueroute3) ses sujets. Autant il etait hon-teux ce roi de violer ainsi la foi publique, autant il etait glo-rieux aux magistrats d'amsterdam de la garder dans un temps o il semblait permis d'y manquer. Durch- 8. A cette vertu republicaine ils joignirent ce courage stechung derd'esprit qui prend les partis extremes dans les maux sans remede. Deiche. jjs firent percer les digues qui retiennent les eaux de la mer. Les maisons de campagne, qui sont innombrables autour d'am-sterdam, les villages, les villes voisines, Leyde, Helft, furent in-ondes. Le paysan ne murmura pas de voir ses troupeaux noyes dans les campagnes. Amsterdam fut comme une vaste fort er esse au milieu des eaux, entoure de vaisseaux de guerre qui eurent assez d'eau pour se ranger autour de la ville. La disette fut grande chez ces peuples, ils manquaient surtout d'eau douce: eile se vendit six sous la pinte1), mais ces extremites parurent moindres que l'esclavage. C'est une chose digne de l'observation de la posterite, que la Hollande, ainsi aceablee sur terre, et n' etant plus un 6tat, demeurt encore redoutable sur la mer: c'e'tait l'element veritable de ces peuples. 2) In dem Vertrag von Dover (vgl. 1, 3) verpflichtete sich Ludwig Xiv., jhrlich 3 Mill. Livres an den König von England zu bezahlen. Kurz darauf wurden diesem noch 2 Millionen als besondere Gratifikation bewil- ligt. 3) Banqueroute vom ital. banea rotta (lat. rupta), zerbrochene Bank, so genannt, weil die Verkaufsbank zahlungsunfhiger Kaufleute ffentlich zerbrochen wurde. Vgl. Iii, 11, 2. Viii, 11, 1. Die Lon- doner Goldschmiede, damals zugleich Banquiers, hatten der Regierung nach und nach ungef. 1,300,000 Pf. Sterl. geliehen. Diese zeigte im J. 1672 pltzlich an, dals die Zurckzahlung dieses Kapitals nicht angemessen erscheine, und dafs sie ihren Glubigern nur die Zinsen bezahlen werde. 8. ') Flfsigkeitsmafs 9/io Liter; das Wort verwandt mit d. part. pass. peinte von peindre; lat. pincta, von dem Infin. pingere, malen, bezeichnen; engl, pint; urspr. das Mafszeichen.

5. Epochen der französischen Geschichte - S. 173

1880 - Nördlingen : Beck
Xv. Laws Finanzsystem. 173 de la France (lans une correspondance suivic avec le princc do Conti3), qui fut elu roi de Pologne. A'la paix, il reparut parmi nous, et se fit ecouter du eontrleur-general4) Desmarets5), dont les besoins -publics avaient amolli la rudesse. Tont etait dispose pour l'ouverture d'une banque, lorsque la mort du roi mit le i. gept. seeptre en d'autres mains. Law eut plus de peine persuader i7is. les novateurs de la regence qu' vaincre les routines du regne precedent; car la banque dont il obtint le privilege en 1716, fut moins etendue6) que celle dont Desmarets avait approuve les fondements. J'observe qu'il offrit Louis Xiv, comme au Regent, de consigner cinq cent mille livres de ses propres deniers pour etre abandonnees aux pauvres, si le succes ne ratifiait pas ses promesses. Quand les materiaux du systeme furent disposes entre Law, rin^"plne le Regent, et le duc d'antin7), on en fit confidence au duc dewerden vom Bourbon8), dont il fallait toujours capter 1'avarice et prevenireegcnten an-la bruyante ignorance. D'argenson fut appele leur dernier genoramen. eonseil tenu, la nuit, dans un lieu retire du Palais-Royal9). A4- Dcz- 1718-la lecture d'un travail achev6 son insu, le garcle des sceaux plit; mais, en vieux courtisan, il dompta promptement un trouble dont il previt tout le danger. En effet, la resolution etait prise de le destituer s'il eut montre la moindre resistance. La deli-beration, sortie de cette espece de conjuration nocturne10), fut envoyee le lendemain au parlement, qui la rejeta par une plura- 3) Franz Ludwig von Conti, geb. 1664; 1697 zum König von Polen erwhlt, mufste er bald seinem Rivalen, Friedrich August von Sachsen, weichen; gest. 1709. Die Familie Conti, nach d. kleinen Orte Conti bei Amiens so genannt, stammt von Armand v. Bourbon, einem Bruder des großen Conde". 4) Der contrleur general, dessen Amt 1554 von Heinrich Ii. geschaffen wurde, hatte urspr. nur die Rechnungen der kgl. Schatzmeister zu prfen, gelangte aber 1661 nach Aufhebung der surmtendance des finances (vgl. Xii, 5, 11) an die Spitze der gesamten Finanzverwaltung. Der erste eontr. general war Colbert, gest. 1683. 5) Desmarets, Neffe Colberts, war contr. general 1708 1715; er starb 1721. 6) Es war nur eine Privatbank mit beschrnktem Geschftskreis, die aber durch ihren streng geregelten Betrieb sol- ches Vertrauen gewann, dafs die von ihr ausgegebenen Banknoten zufolge einer Verordnung vom 10. April 1717 von allen Staatskassen an Zahlungs Statt angenommen werden mufsten. 7) Minister des Innern seit 1715. - 8) Ludwig Heinrich v. Bourbon, Urenkel des großen Conde", geb. 1692, unter Philipp v. Orleans Prsident d. Regentschafts- rates, unter Ludwig Xv. 172426 erster Minister, gest. 1742. 9) Vgl. Xiii, 9, 1. ">) Kraft dieses Beschlusses wurde Laws Bank in ein knigliches Institut unter kgl. Verwaltung umgewandelt; der Staat bernahm die Aktien und Bankzettel derselben; Law wurde als Direktor besttigt.

6. Epochen der französischen Geschichte - S. 177

1880 - Nördlingen : Beck
Xv. Laws Finanzsystem. 177 les actions et de s'en defaire, deux ordres de ph6nomenes aux-quels rien n'a jamais et6 comparable. 7. Le principal but des concurrents etait de recevoir bis Aktien leur source des papiers si productifs. La plupart des souve- rains de l'europe y pretendirent et entretinrent Paris des den rclfsen. mandataires pour lesquels ils imploraient avec soumission les fa- den Absatz, veurs du Regent. L'un d'eux envoya meme son fils a cette singulare 6cole. Apres ces agioteurs1) couronnes, venaient sans honte les plus grands seigneurs de la France. J'ai vu leurs vils placets souscrits des plus beaux2) noms de la monarchie. Un grand nombre est adresse par des femmes, et dans plusieurs la prose cme la place au langage des dieux, et 1 avarice s ex-plique en madrigaux3). Quand la part de ces adulateurs privi-legies etait faite, le reste appartenait la constance des plus robustes athletesj Des qu'une distribution nouvelle commengait, l'hotel de la compagnie, regorgeant d'une foule acharnee^ et vainement essaye de fermer ses portes. On voyait ces apres solliciteurs, etroitement serres, s'observer entre eux d'un oeil fa-rouche et gemir sans plier sous le poids de 1 or et des porte-feuilles. Leur phalange s'avangait durant plusieurs jours et plusieurs nuits vers le bureau d'ecbange, comme une colonne compacte que ni le soleil, ni la faim, ni la soif ne pouvaient demolir. Mais au cri fatal qui annongait la delivrauce de la derniere souscription, tout s'eclipsait la fois. 8. Un second thetre attendait, pour d'autres hasards, Brsen* les vainqueurs et les vaincus. Au centre d'un quartier populeux, entre les rues Saint-Denis et Saint-Martin, s'etend dans la meme Quincam. direction un obscur defile de quatre cent cinquante pas de long poix_ sur cinq de large, borde par quatre-vingt-dix maisons d'une structure commune. On l'appelle rue Quincampoix, et quoique sa grande renommee soit due aux temerites de la regence, il est 7. i) Agio, ital. Wort zweifelhaften Ursprungs, eigentl. Leichtigkeit, Bequemlichkeit; dann: Aufgeld beim Umtausch von Mnzsorten od. Wechselbriefen gegen bares Geld (in letzterer Bedeutung wurde das Wort in den letzten Jahren von Ludwigs Xiv. Regierung in Frankreich eingebrgert); endlich im schlimmen Sinn: Spekulation auf das Steigen und Fallen der Staatspapiere. Diese Bedtg. hat auch das abgeleitete Wort agiotage. Agioteur, derjenige, welcher Papiere billig kauft und teuer verkauft. 2) Hier = distingue, vornehm. Vgl. Le beau monde. 3) Madrigal, ital. madrigale, frher mandriale, wahrscheinlich vom griech.-lat. mandra, Herde, also: Hirtenlied; dann: Name eines kleinen, sinnreichen od. zrtlichen Gedichts in 416 Zeilen, das zuerst in Italien, nachher u. besonders im 16. Jahrh. auch in andern Lndern gepflegt wurde. 12

7. Epochen der französischen Geschichte - S. 180

1880 - Nördlingen : Beck
180 Xv. Laws Finanzsystem. de sursance3) demandees la chancellerie qui en delivrait an-nuellement quatre mille; l'interet tomba au denier quatre-vingt4); le nombre des manufactures s'accrut des 'trois cinquiemes suivant les rapports des inspecteurs, et les negociants allaient engager dans les hospices tout ce qui restait de -bras valides parmi les enfants et les vieillards. L'agriculture et le tresor public s'enrichirent de l'affluence des etrangers et de l'norme progres des consom-mations. Une soif de plaisirs nouveaux crea une Industrie plus recherchee, et devora jusqu'aux aliments du luxe de nos voisins5). On vit vendre Paris la neige des montagnes de l'auvergne6), comme autrefois les califes avaient faj descendre celle du mont Liban dans la voluptueuse gypte^X^. Fernere 10. Au dehors, notre diplomatie, marchant les mains plei- womthatenneg abaissait tous les obstacles; l'armee puisait dans l'abon-des Systems. force et sa d^lite; notre consideration politique s'eta- blissait par l'admiration des etrangers pour nos finances, et Von voyait Londres et Amsterdam contrefaire notre rue Quincampoix avec la grossierete des plagiaires. Au dedans les courtisans etaient combles de faveurs; les mecontents se rapprochaient d'un ennemi prodigue; le peuple benissait la suppression de la plu-part des impts sur les comestibles; l'administration s'honorait par d'utiles travaux, tels que le canal de Montrgis1), le pont de Blois, l'eglise de Saint-Roch Paris, et le debut d'un systeme 1... de grandes routes d'une magnificence jusqu'alors inconnue. Un autre bienfait plus susceptible d'clat etait l'etablissement de ^Instruction gratuite dans l'universite de Paris. Rollin2) le celbra sieht des Intendant die Finanzgeschfte besorgten, hiefsen generax des finances. 3) Aitfschubsurkunde, Moratorium, wodurch einem Schuldner eine Frist zur Zahlung gestattet wird, während deren er von seinen Glubigern nicht belangt werden kann. 4) Le denier 80 der 80ste Teil des Kapitals, also 4/s Proz. Diese Art des Ausdrucks beginnt zu veralten; man sagt jetzt lieber: 1, 2, 3 etc. pour cent. 6) Es kam vor, dafs man in Genua einmal weder Damast noch Lammt auftreiben konnte, weil alles nach Frankreich verkauft worden war. Die Einwohnerzahl von Paris vermehrte sich um 300,000 Seelen, so dafs man in den Speichern und Magazinen neue Wohnungen einrichten mufste. Die Zahl der Wagen in Paris vermehrte sich so, dafs der Verkehr in den Strafsen gefhrlich wurde. Die Einnahme der Oper, sonst 60,000 Livres jhrlich, betrug 171921 nicht weniger als 740,188 Livres. 6) Eine Verordnung vom 20. Mai 1719 erteilte das Privilegium dieses Handels einem gewissen Bonnefond aus Paris, der das Pfund Schnee zu 8 sous verkaufte. 10. x) Derselbe verbindet die Loire mit der Seine. - 2) Geb. 1gg1, gest. 1741 als Rektor der Pariser Universitt, berhmt als pda-

8. Epochen der französischen Geschichte - S. 29

1880 - Nördlingen : Beck
Iv. Geschichte der Gemeinde von Laon. 29 spect qu'on avait alors pour la semaine-sainte, parce qu'ils vou-laient engager le roi Louis-le-Gros venir dans la ville c61ebrer la fete de Pques, et qu'ils comptaient beaucoup sur sa presence pour intimider les bourgeois. 7. Le roi se rendit l'invitation de l'eveque de Laon, Der König et arriva la veille du jeudi-saint, avec une grande compagnie de courtisans et de Chevaliers. Le jour meine de sa venue, 1 eveque der Kom se mit lui parier de l'affaire qui l'occupait, et lui proposa de mune. retirer le consentement qu'il avait donne la commune. Tout entier cette grande negociation, durant toute la journee et le lendemain, il ne mit pas le pied dans l'eglise, ni pour la con-secration du saint-chreme, ni pour donner l'absoute au peuple. Les conseillers du roi firent d'abord quelque difficult6, parce que les bourgeois de Laon, avertis de ce qui se tramait, leur avaient offert quatre cents livres d'argent1), et plus, s'ils l'exigeaient. L'&veque se vit donc oblige d'encherir par-dessus ces ofixes, et de promettre sept cents livres qu'il n'avait pas, mais qu il comp-tait lever sur les bourgeois quand il n'y aurait plus de commune. Cette proposition determina les courtisans et le roi lui-meme prendre parti contre la liberte de la ville. En consequence du traite qu'ils conclurent klors avec l'eveque, celui-ci, de son auto-rite pontificale, les delia et se delia lui-meme de tout serment pret6 aux bourgeois. La Charte, scellee du sceau royal fut de-claree nulle et non avenue, et l'on publia, de par le roi et l'eveque, l'ordre tous les magistrats de la commune de cesser des-lors leurs fonctions, de remettre le sceau et la banniere de la ville, et de ne plus sonner la cloche du beflroi, qui annongait l'ouverture et la clture de leurs audiences. Cette proclamation causa tant de rumeur que le roi jugea prudent de quitter l'hotel o il logeait, et d'aller passer la nuit dans le palais episcopal, qui etait ceint de bonnes murailles. Le lendemain matin, au point du jour partit, en grande hte, avec tous ses gens, sans attendre la fete de Pques, pour la celebration de laquelle il avait entrepris ce voyage. Durant tout le jour, les boutiques des marchands ou artisans et les maisons des aubergistes resterent closes. Aucune espece de denree ne fut mise en vente, et cha-cun se tint renferme chez soi, comme il arrive toujours dans les Premiers moments d'un grand malheur public. 7. Afr. Silbermnze 20 Sous, Einheit des frz. Mnzwesens bis 1795; unter Karl d. Gr. im Gewicht v. 367 Gramm, und im Wert v. 78 Francs, bei Einfhrung des metr. Systems v. weniger als 1 iranc. Livre = livre Pfund, weil urspr. ein livre Geld gleich war einem livre Gewicht. ,

9. Epochen der französischen Geschichte - S. 39

1880 - Nördlingen : Beck
V. Philipps n. August Eroberungen. 39 conduite: Est-ce que je ne suis pas libre, repondit le roi, de faire ce qu'il me plait sur mes terres ?" 4 Arthur s'apergut bientt de la faute qu'il avait com- Friede zwi- mise en se mettant la merci de l'un des dem reis pora- 6chap-^" per l'autre. Ii s'enfuit de Paris; mais, ne sachant o aller, il se livra au roi Jean, son oncle, qui lui fit beaueoup de caies-ses et se preparait l'emprisonner, lorsque le jeune duc en fut averti et revint au roi de France. Celui-ci dsesperait dej de conserver ses nouvelles provinces contre le gre des habitants et en depit du roi d'angleterre. Ii voulait faire avec ce dernier une paix avantageuse, et, pour l'obtenir, il lui sacrifia son hte et son protege, qu'il contraignit de preter au roi Jean le serment d'hommage pour l'anjou, le Maine et la Bretagne. Philippe, en retour de ce von office, obtint la paix, trente mille marcs d'ar-gent1), plusieurs villes, et la promesse que, si Jean mourait sans enfants, il heriterait de toutes ses possessions du continent. En vertu de ce traite2), les garnisons frangaises de l'anjou et du Maine furent relevees par des troupes normandes et par des Brabancons3) la solde du roi d'angleterre. 5. Pendant que Philippe-Auguste depouillait ainsi le jeune^tandm Arthur de son heritage, il le faisait elever sa cour avec ses den K5nig propres fils, et le menageait pour le cas possible d'une nouvelle von Engl rupture avec le roi Jean. Cette rupture eclata bientt l'occa-sion d'un soulevement general des Poitevins sous la conduite de Hugues-le-Brun, comte de la Marche, qui le roi d'angleterre avait enleve sa fiancee1). Tous les barons du Poitou et dune partie du Limousin se conjurerent; et des que le roi de France p les vit compromis, esperant profiter de tout ce qu'ils oseraient untersttzt faire, il rompit subitement la paix et se declara pour eux, con- die Auf-dition qitils lui preteraient le serment de foi et d'hommage. stndischen Aussitot il fit reparaitre Arthur sur la scene politique, lui donna en mariage sa fille Marie, gee de cinq ans, le fit proclamer 4. i) Marc, Gold- u. Silbergewicht, 8 Unzen, = ^ Pariser Pfund. Marc d'arg., Quantitt Silber im Gewicht v. 1 Mark; d. Wert schwankte. Im J. 1461 betrug er 83/* livres; 1668 26 lv.;.1710 40 iv. 1728 50 lv. Das frz. Wort vom ahd. marc, Zeichen. 2) Abgeschlossen am 22. Mai 1200 zu Goleton, unterhalb Mantes an der Grenze zw. Normandie u. Francien. 3) Sldner, urspr. aus Brabant, dann aber aus aller Herren Lndern, die, wenn sie aus dem Dienst entlassen waren, durch ihre Raubsucht und Grausamkeit zur Landplage wurden.^ ^ j8ahella v_ Angouleme; trotz des dem Grafen Hugo gegebenen Versprechens wurde sie von ihrem ehrgeizigen Vater dem Kg. v. Engl, ausgeliefert, als dieser um sie warb (im J. 1200).

10. Epochen der französischen Geschichte - S. 172

1880 - Nördlingen : Beck
172 Xv. Laws Finanzsystem. fallut songer gouverner sans le secours du parlemept3), c'cst--dire sans impositions nouvollcs. Le premier pas faire etait de connaitre la Situation des finances, non sur les comptes men-teurs, qu'on avait publies pour eblouir la nation et qui ont egare tous les ecrivains, mais sur les etats reels du tresor. Ii en re-sulta, que la regence s'etait arrieree, en trois ans, de cent trento millions; que les depenses presumees de 1719 excederaient les recettes de vingt-quatre millions, et qu'au bord de, ce precipice il fallait soutenir encore et totites les dettes de Louis Xiv4), et le remboursement des offices si largement supprimes5). D'ar-genson6), jete sur ce terrain mouvant et inconnu, y perdit son audace et ses rossources. Ennemi jaloux et implacable de l'i-cossais, il n'avait su que l'imiter, et venait de livrer le bail des fermes generales7) aux combinaisons d'une compagnie d'aetion-naires. Le Regent, effraye de l'inexperience d'un tel guide, se vit pousse par la force vers ce systeme, dont il avait depuis trois ans aime la theorie par conviction et redoute l'essai par ti-midite. Car, il ne faut pas s'y tromper, l'etat naturel de ce prince. etait l'irresolution. Son courage l'attendait toujours aux extremites. Laws erstes 2. Law etait venu d'anglotcrrex) sous le ministere de Antreten. Chamillard2), apportant des theories, quo l'esprit borne de ce ministre ne put comprendro. Retire en Italic pendant la guerre de la succession, il avait continue de s'interesser aux malheurs berufen, in welcher ihm bedeutet wurde, dafs es alle Edikte nach dem Befehl des Knigs unweigerlich zu registrieren habe. 3) Das Parlament htte sich der Einfhrung neuer Steuern entschieden widersetzt. l) Beim Tode Ludwigs Xiv. betrug die schwebende Schuld, bestehend in Schuldscheinen auf die kgl. Kassen und in verschiedenen andern Arten von Papiergeld der 700 Mill. Livres, der Gesamtbetrag der Staatsrenten nahezu 90 Mill., die gesamte Staatsschuld zwei bis drei Milliarden. 5) Unter Ludwig Xiv. hatte man viele neue mter geschaffen, um durch ihren Verkauf Geld zu bekommen; als man dieselben unter der Regentschaft wieder aufhob, mufste man den Inhabern den Kaufpreis zurckerstatten. Vgl. Xiii, 12, 3. 6) Geb. 1052, unter Ludwig Xiv. Chef der Polizei (lieutenant generale de police), seit 1718 Siegelbewahrer und Prsident des Finanzrats; gest. 1721. Bas Amt des garde des sceaux, frher mit dem des Kanzlers vereinigt, bestand seit dem 16. Jahrh., das des Heut. gen. de police seit 1667. 7) Schon im 14. Jahrh. wurden einzelne der indirekten Steuern verpachtet; jetzt bernahm eine Gesellschaft den Pacht der gesamten Steuer-ertrgnisse: daher der Ausdruck fermes generales. 2. ') John Law, geb. 1671 in Edinburg, Sohn eines Goldschmieds, der durch Banquiergeschfte reich geworden war. Vgl. Xiv, 7, 3. ?) 16991707 als contrleur general an der Spitze der Finanzverwaltung; gest. 17'21.
   bis 10 von 22 weiter»  »»
22 Seiten  
CSV-Datei Exportieren: von 22 Ergebnissen - Start bei:
Normalisierte Texte aller aktuellen Treffer
Auswahl:
Filter:

TM Hauptwörter (50)50

# Name Treffer  
0 0
1 9
2 0
3 0
4 1
5 0
6 0
7 0
8 0
9 0
10 0
11 0
12 3
13 0
14 0
15 0
16 0
17 0
18 0
19 0
20 0
21 0
22 0
23 0
24 0
25 0
26 4
27 0
28 0
29 0
30 0
31 4
32 21
33 0
34 1
35 0
36 0
37 0
38 0
39 12
40 0
41 0
42 0
43 0
44 0
45 0
46 0
47 0
48 0
49 0

TM Hauptwörter (100)100

# Name Treffer  
0 0
1 0
2 0
3 0
4 0
5 0
6 0
7 0
8 3
9 1
10 0
11 0
12 0
13 0
14 0
15 2
16 0
17 0
18 0
19 1
20 3
21 0
22 0
23 0
24 0
25 0
26 0
27 0
28 0
29 0
30 0
31 0
32 1
33 0
34 0
35 1
36 14
37 0
38 0
39 0
40 0
41 3
42 0
43 0
44 0
45 1
46 0
47 0
48 0
49 0
50 0
51 0
52 0
53 6
54 0
55 0
56 0
57 1
58 0
59 0
60 0
61 0
62 0
63 0
64 3
65 0
66 19
67 0
68 3
69 0
70 0
71 2
72 4
73 0
74 0
75 0
76 0
77 0
78 0
79 0
80 0
81 0
82 0
83 0
84 0
85 0
86 0
87 0
88 0
89 0
90 0
91 0
92 0
93 0
94 1
95 0
96 5
97 0
98 1
99 21

TM Hauptwörter (200)200

# Name Treffer  
0 1
1 0
2 0
3 0
4 2
5 3
6 0
7 1
8 1
9 4
10 3
11 2
12 3
13 0
14 0
15 0
16 43
17 148
18 0
19 0
20 0
21 0
22 0
23 0
24 0
25 0
26 0
27 1
28 0
29 3
30 2
31 1
32 0
33 0
34 0
35 3
36 2
37 0
38 0
39 22
40 3
41 0
42 0
43 0
44 0
45 2
46 0
47 1
48 0
49 5
50 0
51 0
52 2
53 202
54 8
55 0
56 0
57 1
58 1
59 4
60 4
61 2
62 7
63 0
64 1
65 4
66 0
67 1
68 1
69 77
70 0
71 0
72 0
73 33
74 1
75 0
76 2
77 9
78 1
79 39
80 16
81 0
82 0
83 0
84 0
85 0
86 0
87 0
88 1
89 0
90 0
91 12
92 147
93 0
94 0
95 0
96 0
97 0
98 4
99 6
100 1
101 0
102 0
103 13
104 0
105 0
106 1
107 0
108 0
109 0
110 0
111 0
112 1
113 0
114 0
115 0
116 0
117 0
118 13
119 0
120 1
121 0
122 1
123 1
124 0
125 0
126 0
127 2
128 0
129 0
130 0
131 0
132 4
133 0
134 0
135 1
136 3
137 0
138 0
139 0
140 1
141 2
142 0
143 0
144 3
145 9
146 0
147 0
148 5
149 10
150 1
151 1
152 0
153 0
154 0
155 0
156 0
157 2
158 4
159 1
160 0
161 1
162 0
163 0
164 0
165 1
166 1
167 0
168 0
169 3
170 2
171 1
172 1
173 10
174 0
175 0
176 0
177 0
178 0
179 1
180 0
181 0
182 0
183 4
184 1
185 0
186 1
187 0
188 0
189 0
190 0
191 13
192 1
193 0
194 4
195 0
196 0
197 5
198 0
199 2