Hilfe und Dokumentation zu WdK-Explorer

Diagramm für Aktuelle Auwahl statistik

1. Epochen der französischen Geschichte - S. 45

1880 - Nördlingen : Beck
Vi. Rechtspflege Ludwigs Ix. des Heiligen (122670). 45 membres de la cour du roi, comme le roi lui-meme, jugeaient en premiere instance. Cependant il etait naturel qu'apres le jugement la partie qui se croyait lesee en appelt du premier juge celui qu'elle voyait au degre superieur ; du prevt ou vi-comte au bailli ou senechal; du bailli ou senechal la cour du roi, de la cour du roi au roi lui-meme; et ainsi le droit d appel remontait aux divers degres de cette hierarchie*). Mais cette mission de juger en appel ne supprimait pas celle de juger en premiere instance qui etait la premiere attribution de tout juge. 2 La procedure etait compliquee; mais il y avait au Allgemeine moyen ge une forme de preuve qui la simplifiait singulierement: Anwendung c'etait un usage fonde sur le meme principe que les guerres Yeg ie combat judiciaire. Plus reduit dans ses effets, il avait ^ampg_ pousse' de plus profondes racines dans les moeurs, et, sous cette protection de la loi, il pouvait durer bien davantage. L'eglise, sans aucuu doute, reprouvait le combat judiciaire. Elle prati-quait de tout autres usages dans ses tribunaux; et au treizieme siecle les papes eurent plus d'une occasion de le condamner2). Mais enfin la pensee religieuse pouvait se glisser jusqu'au sein de la coutume barbare. On se disait que ce n'etait pas seule-ment un appel la force, mais un appel au jugement de Dieu; et,, de leur cte, les juges pouvaient n'etre pas fches de s'en remettre lui dans les cas difficiles. Aussi l'usage en etait-il fort repandu. On ne se battait pas seulement sur le fait prin-cipal, mais sur les incidents3), voire sur des interlocutoires3). On ne se battait pas seulement sur des cas juger, on se battait sur des points de droit4) etablir. 3. A la difference des guerres privees, tolerees pour les B^J^re nobles seuls, y avait gages de bataillei) entre roturiers*): m2n des Grafen (vicecomes); in der Normandie prevt. 5) Im weiteren Sinn: Bangordnung, Organisation. 2 Die Privatfehden, zuerst (1041) durch den sog. Gottestrieden, spter noch wirksamer durch Philipp August beschrnkt, durch eine Verordnung Ludwigs d. H. vom J. 1256 verboten. 2) So z. B. Innocenz Iv. 1249 u 1252 3) Juristische Ausdrcke. Incident, Zwischenfall, Is ebenfrage, die sich bei Behandlung des Hauptstreitfalles ergibt. Interlocu-toire (lat. interloqui) Zwischenbescheid, provisorisches Urteil, das nur einstweilen, in Erwartung neuer Informationen u. Beweise ausgesprochen wird. 4) Rechtsfragen. Vgl. pomt de theologie, d'histoire, theologische, geschichtliche Frage. 3 x) Herausforderungen zum Kampfe; gage, rtand, g^9e de lat.' eigentl. Pfand, dafs man sich zum Kampf stellen wird. Die Partei, welche ihn verlangte, warf dem Gegner ein Pfand hin, gew. einen Handschuh; wurde er aufgehoben, so galt dies als Annahme der Herausforderung. 2) Vgl. Iii, 11, 2.

2. Epochen der französischen Geschichte - S. 91

1880 - Nördlingen : Beck
Ix. Das Auftreten der Jungfrau von Orleans. 91 avait dit, l'avait prise en gre*), et la faisait appeler souyent pour parier avec eile. On la faisait monter cheval, et l'on trou-vait qu'elle s'y tenait fort dien, avec beaucoup de grce; on lui fit meme courir des lances3), et eile y montra de 1 adresse. Les serviteurs du roi et les seigneurs etaient donc presque tous d'avis de croire ses paroles, et de l'envoyer, comme eile le demandait, contre les Anglais. Les deputes d'orleans etaient repartis pleins d'espoir dans les promesses qu'elle leur avait faites. 11. Mais les conseillers, et surtout le chancelier*), n etaient pas si prompt ajouter foi tout ce qu'elle promettait ; c'etait von chose perilleuse au roi de regier sa conduite sur les discours Poitiers. d'une villageoise que quelques-uns regardaient comme folle. Les Frangais ne passaient point pour un peuple credule; cela pou-vait donner beaucoup parier au monde, et jeter un grand ridi-cule. En outre, et ceci semblait bien plus grave, quelle assu-rance avait-on que les visions et l'inspiration de cette fille ne vinssent pas du demon, otf de quelque pacte fait avec lui? Pou-vait-on encourir ainsi la colere de Dieu, en usant des arts diaboliques ? Pour mieux eclaircir des doutes si graves, le roi s'en alla Poitiers, et y fit conduire Jeanne. L'universit62) de cette ville etait celebre; le Parlement de Paris y siegeait. C'etait un lieu o l'on ne pouvait manquer d'avoir de grandes lumieres et de sages conseils. Aussi Jeanne disait-elle en chevauchant pour s'y rendre: Je sais bien que j'aurai fort faire Poitiers, o l'on me mene; mais Messire m'aidera; or, allons-y donc, de par Dieu." Le roi assembla tous ses conseillers, et leur ordonna de faire venir des maitres en theologie, des juristes et des gens experts, pour interroger cette fille touchant la foi. / Regnault de Chartres, archeveque de Reims et chancelier de France, manda d'habiles theologiens, et leur enjoignit de rapporter au conseil3) 2) Prendre q. en gre, jemand seine Gunst zuwenden. 3) Turnierausdruck (ebenso courir une lance, c. quatre lances): mit eingelegter Lanze gegen den Gegner anreiten, Lanzen rennen. 11. v. Der Kanzler war neben dem Connetable der erste Wrdentrger des Reichs, des. seit Philipp. Aug. Er fhrte den Vorsitz im Rate des Knigs, sprach in dessen Namen im Parlament (vgl. Vi, 7, l , bewahrte das große Reichssiegel u. besttigte mit demselben die komgl. Erlasse. Im 17. u. 18. Jahrb. war der Kanzler unabsetzbar. Vgl- , 1 u Yi 5 2 2) Der Satz ist unrichtig: denn die Universitt zu Poitiers wurde erst 1431 v. Karl Vii. gestiftet; wohl aber hielten sich gerade damals (1429) zahlreiche Doktoren u. Magister dort auf, die sich von anderen Universitten entfernt hatten. 3) Aus dem Lehenshof des

3. Epochen der französischen Geschichte - S. 178

1880 - Nördlingen : Beck
178 Xv. Laws Mnanzsystem. juste de dire que les dernieres exactions de Louis Xiv y avai-ent dj naturalise l'usure et l'agiotage. Tel fut l'ignoble car-rousell) o se celebrerent les fetes du systme. On l'appela simplement la rue comme autrefois le monde subjugue appela Rome la ville. Le concours prodigieux des joueurs necessita Intervention de la police. Les deux extremites de la rue furent garnies d'un corps-de-garde et d'une grille dont le son d'une cloche annongait l'ouverture six heures du matin et la clture neuf heures du soir. Les personnes distinguees des deux sexes entraient par la rue aux Ours, et le vulgaire par la rue Aubry-le-Boucher. Mais des que la barriere etait franchie, la plus fraternelle 6galit6 reprenait ses droits. La possession du moindre rduit dans cette enceinte privilegiee passait pour le comble du bonheur, etjia cupidite les avait multiplies avec une etonnante industri,e. ' Chaque parcelle d'habitation se changeait en petits comptlrsi. On en trouvait des labyrinthes jusque dans les caves, la lueur des lampes infectes, tandis que d'autres banquiers, pareils aux oiseaux de proie, avaient attache leurs gurites2) sur les toits. Une maison ainsi distribuee constituait une ruche d'agioteurs animee dans toutes ses parties par un mouvement perpetuel. Celle dont le revenu ordinaire etait de six cents livres en rapportait alors cent mille. Les speculations sur les baux en totalite furent une source facile de richesses. Mais la rencontre des essaims etrangers et les plus vives negociations se faisaient surtout dans la rue. C'est l qu'un at-troupement bizarre confondait les rangs, les ges et les sexes. Jansenistes3), molinistes4), seigneurs, femmes titrees, Magistrats, filous, laquais, se heurtaient et se parlaient sans etonnement. L'avidite, la crainte, l'esperance, l'erreur, la fourberie remuaient sans relche cette foule intarissable. Une heure elevait des for- 8. ') Carrousel a. Ringelrennen, b. der Platz, wo ein solches stattfindet; wie carriere vom lat. carrus, Art vierrdriger Wagen. 2) Guerite, abgel. von guerir, beschtzen, a. Zufluchtsort, b. Schilderhuschen, c. kleines Huschen od. Trmchen auf dem Dache. 3) Cor- nelius Jansen, Bisch, von Ypern, gest. 1638, hatte ein Buch der den Kirchenvater Augustinus geschrieben, in welchem die Darstellung der augustinischen Lehre von der Gnade von den Jesuiten heftig angegriffen wurde, während sie in Frankreich viele Anhnger (Jansenisten) fand. Ludwig Xiv. verfolgte dieselben, Papst Clemens Xi. verdammte ihre Lehre 1713 in der Konstitution Tjnigenitus, welche 1720 in Frankreich zum Reichsgesetz erhoben wurde. 4) Der Jesuit Ludwig Molina in Portugal erregte durch eine Schrift der die Gnade 1588 einen Streit zwischen Dominikanern und Jesuiten, der nachher durch den Jansenismus von neuem angeregt wurde.

4. Leitfaden für den Geschichts-Unterricht in mecklenburgischen Volksschulen - S. 23

1876 - Wismar [u.a.] : Hinstorff
- 28 — der Genueser Christof Kolumbus. Er hatte den Plan, den Seeweg nach Ostindien in westlicher Richtung über den atlantischen Ocean aufzusuchen. Nachdem er in Lissabon mit diesem Gedauken zurückgewiesen worden, fand er endlich Gehör in Spanien und segelte 1492 von hier mit 3 kleinen Schiffen und 120 Maim ab. Nach einer zehnwöchigen Fahrt landete er glücklich auf Guanahani. Damit war Amerika entdeckt. Im Ganzen unternahm Kolumbus 4 Reisen nach der neuen Welt. Sein Lohn aber war Undank. Die erste Reise um die Welt unternahm Magelhan, Mexiko wurde von Cortez, Peru von Pizarro erobert. Die entdeckten Länder wurden nach und nach von den Europäern neu bevölkert. Die Ureinwohner verloren ihre Freiheit und gingen zum Theil zu Grunde. Sklavenhandel. Durch die Entdeckungen nmrde die Kenntniß der Erde erweitert, Handel und Gewerbe wurden befördert. Spanien wurde die erste Seemacht. § 2(>. Luther und die Reformation. Der Mann, welcher schließlich die Kirche von den Mißbräuchen und Irrthümern reinigte, war Dr. Martin Luther. Er wurde am 10. November 1483 zu Eisleben geboren. Seine Eltern wohnten anfangs in dem Dorfe Mora, dann in Mansfeld. Nachdem Luther die Schule in Mansfeld durchgemacht und dann 1 Jahr die lateinische Schule in Magdeburg besucht hatte, kam er nach Eisenach. Wie in Magdeburg, so mußte er sich auch hier sehr knapp durchhelfen und sein Brot mit Singen vor den Thüren verdienen. Wegen seines frommen, gottes-fürchtigen Sinnes, der auch beim Singen vor den Thüren sich zeigte, nahm Frau Konrad Kotta ihn in ihr Haus. Mit dem 18. Jahre ging Luther auf die Universität zu Erfurt, um die Rechte zu studieren. Hier fand er in der Bibliothek zum ersten Male eine ganze Bibel, die er mit großem Fleiße und Ernste las. Der plötzliche Tod eines Freundes, welchen Luther ermordet im Bette fand, sowie eine eigene schwere Krankheit erweckten in ihm eine große Angst vor dem Tode und der ewigen Verdammnis Um für sein geängstetes Gewissen Ruhe zu finden, trat Luther in das Augustinerkloster zu Erfurt (1505). Hier „ mußte er alle niedrigen Dienste verrichten, sogar betteln. Daneben studierte, betete, fastete Luther und kasteite seinen Leib

5. Leitfaden für den Geschichts-Unterricht in mecklenburgischen Volksschulen - S. 25

1876 - Wismar [u.a.] : Hinstorff
über ihn und seine Anhänger ausgesprochen wurde. Durch Friedrichs des Weisen Fürsorge wurde er auf die Wartburg gebracht, wo er mit der Übersetzung der Bibel begann. In Wittenberg aber entstanden durch Karlstadt allerlei Neuerungen und Unordnungen. Deshalb verließ Luther die Wartburg, kam nack Wittenberg und stellte durch feine Predigten bald die Ordnung wieder her. — Im Jahre 1525 brach der Bauernkrieg ans. Durch schwere Abgaben, Frohndienfte, strenge Behandlung wurden die Bauern zur Empörung gebracht. Furchtbare Greuel wurden verübt. Die Bauern wurden besiegt, nachdem vielleicht 50000 Menschen umgekommen waren. Die Reformation nahm ihren Fortgang. Eine neue Gottesdienst - Ordnung wurde eingeführt, das Mönchsthum aufgehoben, Schulen gegründet. Visitationen. 1525 verheiratete Luther sich mit Katharina von Bora. Katechismen. Auf dem Reichstage zu Speier (1529) wurde beschlossen, daß die Evangelischen in Religionssachen sich aller Neuerungen enthalten und es beim Edikt von Worms bis zu emem allgemeinen Konzil verbleiben sollte. Dagegen protestierten die Evangelischen, und daher haben sie den Namen Protestanten. Leider waren diese unter einander nicht einig. In der Schweiz lehrte Ulrich von Zwingli und Johannes Kalvin gegen die Mißbrauche in der katholischen Kirche, aber sie wichen in der Abendmahlslehre von Luther ab. Eine Einigung beider Parteien wurde vergebens versucht. Die Anhänger Luthers nennt man Lutheraner, die der schweizer Reformatoren Reformierte. Auf dem Reichstage zu Augsburg (1530) überreichten und verlasen die Evangelischen ihr Glaubensbekenntnis, die Angs-iurgijche Konfession. In dem Reichstagsabschiede wurde die lutherische Ketzerei verdammt und deren Ausbreitung bei den härtesten Strafen verboten. Die evangelischen Fürsten (Kurfürst Johann von Sachsen, Landgraf Philipp von Hessen, andere Fürsten und Herren, sowie 11 Reichsstädte) schlossen dann zu Schmalkalden einen Bund. Wegen des drohenden Einfalls der Türken mußte der Kaiser ihnen (1532) den Nürnberger Religionsfrieden bewilligen. Auch die Katholiken traten zu einem Bunde zusammen (heilige Liga). Zur Bekämpfung der protestantischen Kirche stiftete Ignaz Loyola (1540) den Jesuitenorden („der Zweck heiligt das Mittel"). Luther starb am 18. Februar 1546 zu Eisleben. — Sein bester Freund war Philipp Melanchthon, geboren zu Breiten 1497. Schon in seinem

6. Leitfaden für den Geschichts-Unterricht in mecklenburgischen Volksschulen - S. 27

1876 - Wismar [u.a.] : Hinstorff
§ 28. Die Reformation in Mecklenburg. Wie überall im deutschen Lande, so bestand vor der Reformation auch in Mecklenburg der Heiligen- und Reliquiendienst. Besonders waren Doberan und Schwerin reich an Reliquien. Auch der Ablaßhandel herrschte hier. Für die Fastenzeit waren Butter- und Fleischbriese zu kaufen; wer an den 3 hohen Festen zum Schweriner Dom wallfahrtete, erhielt Ablaß für 1277 Jahre; wer betend um den Kirchhof zu Kammin bei Laage ging, bekam für jeden Umgang 40 Tage Erlaß von den Qualen des Fegefeuers. Ablaßkrämer durchzogen auch hier das Laud. Die einzelnen, welche gegen diese Mißbrüuche auftraten, konnten nichts ausrichten. Priester Ruß in Rostock. Seit 1523 predigte Joachim Stüter in Rostock mit großem Erfolge das Evangelium. Auch in Schwerin und Wismar wurde bald evangelisch gepredigt. Um diese Zeit regierten in Mecklenburg die Herzöge Heinrich der Friedfertige iu Schwerin und Albrecht der Schöne in Güstrow. Beide waren der Reformation zugethan, besonders aber Heinrich von Schwerin. Dieser trat mit Luther in Verbindung , ordnete eine Kirchenvisitation an, ließ eine Kirchenordnung und einen Katechismus abfassen. Er hatte an der Aufrichtung der lutherischen Lehre in Mecklenburg den größten Antheil. Albrecht förderte anfangs auch die Reformation, wurde dann aber wieder katholisch. Sein Sohn Johann Albrecht entschied sich für die Reformation und arbeitete kräftig für die Ausbreitung derselben. 1547 bestieg er den Thron. Er war es, der in erster Reihe nach dem schmalkaldischen Kriege den Bund der norddeutschen Fürsten gegen den Kaiser mit zu stände brachte und auch seinen Vetter Moritz, welcher spater bekanntlich an die Spitze trat, zum Beitritt bewog. Hatte Heinrich der Friedfertige das Lutherthum in Mecklenburg aufgerichtet, so sorgte Johann Albrecht dasür, daß es erhalten und gestärkt wurde. § 29. Der 30jährige Krieg. Trotz des Religionsfriedens standen die Katholiken den Protestanten feindlich gegenüber. Endlich schlossen diese (1608) wieder einen Bund (Union). Dasselbe thaten die katholischen Fürsten (heilige Liga). Unter Kaiser Rudolf Ii. erlangten die Böhmen den Majestätsbries, durch welchen ihnen die freie Aus-

7. Leitfaden für den Geschichts-Unterricht in mecklenburgischen Volksschulen - S. 21

1876 - Wismar [u.a.] : Hinstorff
— 21 - Fürbitter bei Gott. Während man von den heiligen 10 Geboten schwieg, wurden andere gute Werke erfunden, die den Priestern und Mönchen viel Geld einbrachten. Nicht aus Gnaden um Jesu Christi willen, sondern durch gute Werke wollte man selig werden. Wer nicht gute Werke genug that, der fuhr nach der Kirchenlehre ins Fegefeuer, wo er so lange brennen müsse, bis er seine Sünden gebüßt, oder andere Leute, die noch lebten, für ihn genug gethan hätten. Verehrung der Reliquien. Jeder war verpflichtet, in der Beichte dem Priester alle Sünden einzeln zu . nennen (Ohrenbeichte). Der schrecklichste Mißbrauch aber wurde mit dem Ablaß getrieben. Zuerst wurden unter der Voraussetzung von Reue und Buße nur die Kirchenstrafen gegen Bezahlung von Geld erlassen. Bald aber lehrte man, die Priester könnten auch die göttlichen Strafen erlassen, und zwar ohne Reue und Buße des Sünders. So entstand der Ablaßhandel. — Beim Abendmahl erhielten die Leute nur das Brot, nicht den Kelch. Ferner lehrte man, Brot und Wein verwandle sich im heiligen Abendmahle in Fleisch und Blut. Der geweihten Hostie schrieb man Wunderkrast zu und betete sie au. Fronleichnamsfest. Das heilige Abendmahl galt als ein Opfer. 7 Sakramente. Die Päpste waren oft die lasterhaftesten Menschen. Johann Xxiii. war in seiner Jugend Seeräuber gewesen und wurde später des Mordes und der Gotteslästerung angeklagt. Die Priester waren oft so unwissend, Daß viele kaum Lesen konnten. Beim Gottesdienste war die lateinische Sprache gebräuchlich. Die Bibel kannte das Volk nicht, Schulen gab es fast nicht. So versank das ganze Volk in eine entsetzliche Unwissenheit und in den gröbsten Aberglauben. § 23. Vorläufer der Reformation. Viele erkannten jene großen Irrthümer und Mißbräuche. Schon im Jahre 1170 lehrte der Kaufmann Petrus Waldus zu Lion in Frankreich gegen dieselben und stiftete die Gemeinde der Waldenser. Albigenser. In England predigte Johann Wittes gegen die Mißbräuche der Kirche. Mit seiner Lehre wurde auch der Professor und Prediger Johann Huß zu Prag bekannt. Besonders trat dieser gegen den schändlichen Ablaß, gegen das sündliche Leben der Geistlichen und die Herrschaft des Papstes auf. Im Jahre 1415 wurde Huß zu Koftnitz ver-

8. Leitfaden für den Geschichts-Unterricht in mecklenburgischen Volksschulen - S. 24

1876 - Wismar [u.a.] : Hinstorff
- 24 - mehr als alle Mönche, um sich dadurch die Seligkeit zu verdienen. Weil er aber die Gebote Gottes doch nicht zu halten vermochte und in Gott nur den furchtbaren, strengen Richter iah, so versank er immer tiefer in Angst und Schwermuth. Dr. Staupitz, Vorstand des Augustinerordens in Deutschland, sowie ein älterer Klosterbruder trösteten Luther und wiesen ihn hin auf das Wort: „Ich glaube an eine Vergebung der Sünden." So erkannte Luther allmählich den rechten Grund unserer Seligkeit, nämlich die Gnade in Jesu Christo. Im Jahre 1508 wurde er aus Dr. Staupitzens Vorschlag vom Kurfürsten Friedrich dem Weifen als Profeffor an die Universität zu Wittenberg berufen. Bald wurde er hier auch zum Prediger gewählt. Nach einigen Jahren (1510) machte Luther im Aufträge feines Ordens eine Reife nach Rom. Zu feiner großen Verwunderung fand er hier unter den Geistlichen die größte Sittenlosigkeit! Der Papst Leo X. wollte seine leeren Kassen stillen und schrieb für Deutschland einen großen Ablaß aus, welchen er an den Erzbischof Albrecht zu Mainz und Magdeburg verpachtete. Dieser schickte nun seine Händler aus. Der unverschämteste von allen war Johann Tetzel. Als derselbe nach Jüterbogk kam, holten auch einige aus Luthers Gemeinde sich Ablaß und glaubten nun, der Buße nicht zu bedürfen. Dies veranlaßte Luther, am 31. Oktober 1517 95 Sätze an die Schloßlirche zu Wittenberg zu schlagen, in welchen er den Ablaß für Unfug erklärte und auf oen Glauben hinwies. Luther wollte keineswegs den Papst angreifen , vielmehr schrieb er einen demüthigen Brief an denselben. Nachdem Luther sich geweigert hatte, vor dem Papste in Rom zu erscheinen, mußte er sich vor dem Kardinal Kajetan zu Augsburg stellen (1518). Vergebens suchte dieser Luther zum Widerruf zu bewegen. In einer Disputation, welche er dann (1519) mit Dr. Eck, Profeffor zu Ingolstadt hatte, griff Luther schon die unbeschränkte Autorität des Papstes und der Konzilien an. Aus Ecks Veranlassung wurde Luther darauf vom Papste in den Bann gethan. Diese Bannbulle verbrannte Luther vor dem Elsterthore zu Wittenberg. Damit sagte er sich von der katholischen Kirche los. Auf dem Reichstage zu Worms (1521) vertheidigte Luther feine Lehre vor Kaiser und Reich, lehnte aber jeden Widerruf ab, bevor man ihm aus Gottes Wort Irrthümer nachgewiesen habe. Vier Wochen nach Luthers Abreise erfolgte das Wormser Edikt, durch welches die Reichsacht

9. Abt. 2 - S. 302

1884 - Wismar : Hinstorff
302 daß er ein Mönch geworden war, und dann mich drückte ihn die Sorge um seiner Seelen Seligkeit. Doch hatte Gott schon den Mann ausersehen, der ihn aus dem Kloster wieder herausführen sollte. Der Generalvikar der Augustinerklöster in Deutschland, Johannes von Staupitz, lernte ihn bei einer Visitation des Klosters kennen und sorgte dafür, daß er eine seinen Kenntnissen angemessene Stellung bekam, indem er ihn für die neugegründete Universität Wittenberg empfahl. So wurde Luther denn auch bald berufen und trug lange Zeit daselbst noch sein Mönchsgewand. Auf Zureden predigte er dann auch, und so kam es, daß er später als Professor und Prediger zugleich wirkte. 1510 machte er im Aufträge seines Klosters eine Reise nach Rom, das er damals noch für den Sitz der Heiligkeit selbst hielt. Voller Sehnsucht eilte er über die Alpen und mit ge- spannter Erwartung trat er in Rom ein. Aber gar bald sah er seine Erwartungen von der Heiligkeit des Priestertums in Rom ge- täuscht, glaubte aber damals noch, daß der Papst selbst alle die ein- gerissenen Mißbräuche der Kirche nicht billige. Auf der Rückreise tönte lauter und lauter in seinem Herzen das Wort der heil. Schrift: Der Gerechte wird seines Glaubens leben. Wieder in Wittenberg angelangt, vertiefte er sich immermehr in das Studium des heiligen Gotteswortes und nahm auch nach langem Zureden (1512) die Würde eines Doktors der heil. Schrift an, was für sein späteres Wirken von großer Bedeutung wurde, da er bei seiner Verpflichtung als Doktor gelobt hatte, Gottes Wort lauter und rein zu lehren. Zum Auftreten gegen die Mißbräuche der Kirche trieb ihn erst die Sorge um die Seligkeit der Seelen seiner Gemeinde. Er war gewohnt, bei der Beichte die Leute reuig und voll Verlangen nach dem Heil zu finden; wie mußte er aber erschrecken, als einige Gemeindemit- glieder ihm selbstgerecht den Ablaßzettel vorzeigten, meinend, nun hätten sie für ihr Geld Vergebung der Sünden. Da schrieb er in einem Zuge seine 95 Streitsätze (Theses) gegen den Mißbrauch des Ablasses und schlug dieselben am Vorabend des Tages Allerheiligen (31. Oktbr. 1517) an der Thür der Schloßkirche zu Wittenberg an. Dies geschah nach einem an der Universität üblichen Gebrauche, und Luther erklärte damit, daß er bereit sei, diese Sätze gegen jedermann, der sie angreifen würde, zu verteidigen. Einer der wichtigsten Sätze lautet: Ein jeder Christ, so wahre Reue und Buße hat, hat volle Vergebung der Sünden auch ohne den Ablaß. Dieser Schritt Luthers ist so wichtig, daß wir am Sonntag nach dem 31. Oktbr. in unserer Kirche das Reformationsfest feiern. In Rom erklärte man erst diese Streitigkeiten für ein Mönchs- gezänk, zumal der damalige Papst sich mehr um schöne Kunstwerke, als mm die Christenheit kümmerte. Bald aber fingen die Ablaß- gelder aus Deutschland spärlicher zu fließen an, und das war dem Papst schon darum bedenklicher, weil dadurch die Hülfsquellen für die Erneuerung der Peterskirche in Rom versiegten. Deshalb schickte er erst den Cajetan, der aber durch sein heftiges Auftreten in der M

10. Abt. 2 - S. 190

1884 - Wismar : Hinstorff
190 gläubigen" wurden mit Feuer und Schwert unterworfen. Das Christentum ttrnrbe, roenn es schon einige Wurzeln geschlagen hatte, mehrmals gänzlich wieder aus- gerottet, ja es wurden von kriegerischen Wendenfürsten sogar Teile des christlichen Sachsenlandes zeitweise unterjocht. Im Jahre 1147 verabredeten die norddeutschen christlichen Fürsten und Bischöfe einen förmlichen Kreuzzug gegen die Wenden. Der Herzog Heinrich von Sachsen, genannt der Löwe, stand an der Spitze des Christenheeres; Niclot, Fürst der Obotriten (und der Stammvater des ganzen jetzt noch regierenden mecklen- burgischen Fürstenhauses), war sein Hauptgegner. Niclot hatte seine festen Burgen: Jlow, Mecklenburg, Schwerin und Dubin, in Brand gesteckt und sich in die kleine, aber starke Veste Werte an der Warnow (nicht weit von der jetzigen Stadt Schwaan) zurückgezogen. Hier ward er von dem Sachsenheere belagert und bei einem Ausfalle getötet. Heinrich der Löwe warf bald auch den Widerstand, den Niclots Söhne noch zu leisten versuchten, darnieder und ward völlig Herr des Wendenlandes, doch gab er nach einiger Zeit dem einen Sohne Niclots, Pribis- lav, das Reich des Vaters zurück. Dieser ließ sich im Jahre 1164 taufen und mit ihm wurden seine slavischen Unterthanen Christen. Er regierte fortan als Vasall des Sachsenherzogs, und Mecklenburg wurde somit ein Teil des deutschen Reiches. Von dieser Zeit an herrschte das Christen- tum; zu Ratzeburg und Schwerin wurden Bistümer errichtet, in Doberan (1170), Dargun, Neukloster, Eldena u. s. w. stiftete man Klöster. Die langjährigen Kämpfe hatten aber das Land in hohem Grade verödet und entvölkert und so zogen von Westen her zahlreiche deutsche Einwanderer aus Sachsen, Westfalen und Friesland nach Mecklenburg. Von jetzt an gewann nach und nach deutsches Wesen die Oberhand; die Slaven wurden entweder zur Auswanderung gezwungen, oder man duldete sie in untergeordneten, gedrückten Verhältnissen, bis allmählich ihre Sitten und Einrichtungen unter deutscher Lebensweise verschwanden. Mit den Deutschen trat ein neuer Stand in das Volksleben ein: der Bürgerstand; denn sie gründeten in rascher Folge vom Jahre 1166 ab viele Städte, deren älteste S ch w er in ist. (Raettig, Heimatskunde.) 158. Joachim Sliiter, der Reformator von Rostock. (* Von A. S. in W.) Die Anmaßung der Päpste, sowie die Verderbtheit und Zucht- losigkeit der Geistlichen hatte schon zu verschiedenen Zeiten Männer erweckt, welche, von heiligem Zorne erfüllt, mit Eifer gegen solche Schäden innerhalb der Kirche auftraten: Petrus Waldus, John Wicklef, Johann Huß. Diese frommen Männer fanden zwar auch begeisterte Anhänger, aber mußten schließlich der Übermacht ihrer Gegner erliegen und oft mit Verfolgung und qualvollem Tode ihr mutiges Auftreten büßen. Ähnliche Bestrebungen verfolgte, aber auch ähnliche Schicksale erlitt in Mecklenburg Nikolaus Ruß, ein Priester zu Rostock, der durch seinen Verkehr mit böhmischen Brüdern und durch das Studium der heiligen Schrift zu der richtigen Er- kenntnis der Heilswahrheiten gekommen war, durch seine begeisterte
   bis 10 von 27 weiter»  »»
27 Seiten  
CSV-Datei Exportieren: von 27 Ergebnissen - Start bei:
Normalisierte Texte aller aktuellen Treffer
Auswahl:
Filter:

TM Hauptwörter (50)50

# Name Treffer  
0 0
1 2
2 0
3 0
4 1
5 1
6 0
7 0
8 1
9 0
10 0
11 0
12 0
13 1
14 0
15 0
16 0
17 0
18 1
19 0
20 0
21 0
22 0
23 0
24 0
25 2
26 0
27 25
28 0
29 0
30 0
31 0
32 3
33 2
34 0
35 0
36 1
37 15
38 0
39 1
40 0
41 1
42 0
43 0
44 0
45 0
46 2
47 2
48 0
49 0

TM Hauptwörter (100)100

# Name Treffer  
0 25
1 135
2 99
3 46
4 11
5 3
6 22
7 9
8 46
9 98
10 25
11 11
12 62
13 25
14 156
15 12
16 192
17 569
18 1
19 55
20 43
21 104
22 45
23 164
24 94
25 35
26 26
27 29
28 70
29 28
30 17
31 247
32 18
33 4
34 20
35 27
36 40
37 31
38 63
39 90
40 15
41 48
42 111
43 36
44 7
45 168
46 9
47 12
48 21
49 13
50 32
51 31
52 100
53 42
54 63
55 5
56 26
57 7
58 18
59 33
60 14
61 12
62 5
63 19
64 10
65 23
66 181
67 10
68 96
69 16
70 31
71 111
72 33
73 2
74 11
75 42
76 40
77 267
78 2
79 20
80 16
81 66
82 92
83 34
84 113
85 13
86 20
87 63
88 46
89 10
90 27
91 37
92 380
93 3
94 236
95 16
96 67
97 5
98 162
99 206

TM Hauptwörter (200)200

# Name Treffer  
0 0
1 0
2 0
3 0
4 0
5 0
6 0
7 0
8 0
9 0
10 0
11 0
12 1
13 0
14 0
15 0
16 0
17 3
18 2
19 0
20 0
21 0
22 0
23 0
24 0
25 0
26 3
27 0
28 0
29 0
30 0
31 0
32 0
33 6
34 1
35 0
36 1
37 0
38 0
39 0
40 7
41 0
42 0
43 1
44 0
45 0
46 0
47 0
48 0
49 0
50 0
51 0
52 0
53 3
54 1
55 1
56 0
57 0
58 16
59 3
60 0
61 0
62 1
63 0
64 0
65 1
66 0
67 0
68 0
69 1
70 0
71 0
72 1
73 0
74 0
75 0
76 0
77 0
78 0
79 1
80 1
81 5
82 0
83 0
84 0
85 0
86 0
87 0
88 0
89 0
90 0
91 1
92 1
93 0
94 0
95 0
96 0
97 1
98 0
99 0
100 8
101 0
102 1
103 0
104 0
105 0
106 4
107 0
108 0
109 0
110 0
111 1
112 0
113 0
114 0
115 0
116 0
117 0
118 0
119 0
120 0
121 0
122 0
123 0
124 1
125 0
126 0
127 0
128 0
129 0
130 0
131 0
132 0
133 0
134 0
135 4
136 0
137 0
138 0
139 1
140 0
141 0
142 1
143 1
144 0
145 0
146 0
147 0
148 0
149 0
150 0
151 0
152 2
153 0
154 1
155 0
156 0
157 0
158 0
159 0
160 0
161 18
162 0
163 0
164 0
165 0
166 0
167 0
168 0
169 0
170 0
171 1
172 0
173 0
174 0
175 0
176 0
177 0
178 0
179 5
180 0
181 0
182 1
183 3
184 1
185 0
186 0
187 0
188 1
189 0
190 0
191 0
192 0
193 0
194 0
195 0
196 1
197 0
198 0
199 0