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1. Von der Zeit des Großen Kurfürsten bis auf die Gegenwart - S. uncounted

1902 - Leipzig : Hirt
6 stlv.greeiw. tfalet [Quedlinburg/&i Kahlem Kgmtaliey S.h. Schrijstiie Herzogtmer Wldk-fifl-rfst*. Wmeck Vf. tu Westfalen \^Frstent.lippe-\pjrstervt..Reuss Ischjiirizezit. tcjnrariburg Leipzig Ifl-lfl^October 1813. 1 f f ? t ^ irnp-rm *+iry lockern \^o6o?is Schnefezd roustop01 Connewitz L iebertwo Ikwity. Waterloo] Braine Labeua Jseue tw E&Olfihf Falttot I1&M11xchs Z. N?Jl1. L Lajlave h iiaiasiiuitft Papelotte Geogr. Anst.v.wagner De"bes, Leipzig.

2. Überblick über die brandenburgisch-preußische Geschichte bis zum Regierungsantritt des Großen Kurfürsten, Allgemeine Geschichte von 1648 bis zur Gegenwart - S. 105

1900 - Leipzig : Hirt
Der Krieg gegen Frankreich. 105 mal. Der Marschall Mac Mahon war kurz vor 6 Uhr morgens von einem Granatsplitter verwundet worden und hatte dem General Dncrot den Ober-besehl bertragen. Dieser ordnete eine andere Ausstellung der franzsischen Truppen an, die dem General Wimpssen mifiel. Deshalb erachtete er es sr seine Pflicht, als lterer General die Heeresleitung fr sich zu beanspruchen. General Ducrot trat sie ihm ohne weiteres ab. - Gleich nach Mittag gewann General Wimpffen die berzeugung, da er sich mit seinem Heere in den Stellungen um Sedau herum nicht behaupten knne. Deshalb versuchte er einen Ausweg auf Carignan zu. Er setzte davon den Kaiser Napoleon in Kenntnis und bat ihn, sich an die Spitze der Truppen zu stellen, die es sich zur Ehre anrechnen wrden, ihm den Weg durch das deutsche Heer zu bahnen. Der Kaiser antwortete ablehnend, weil er das vorgeschlagene Unternehmen fr nutzlos hielt. Fr die franzsische Heeresleitung war es verhngnisvoll, da der Stab des Marschalls Mac Mahon dem verwundeten Feldherrn nach Sedan gefolgt war. Es fehlte daher dem General Wimpffen an geeigneten Offizieren, die seine Befehle den Unter-feldherren berbrachten. Gegen 4 Uhr nachmittags befahl König Wilhelm, die Festung Sedan zu beschieen. Sobald die Flammen an einigen Stellen der Stadt emporschlugen, zogen die Franzosen die weie Fahne auf, und die Schlacht hatte ein Ende. Das franzsische Heer war vollstndig besiegt und eingeschlossen. König Wilhelm lie den franzsischen Oberbefehlshaber zur bergabe der Armee und der Festung auffordern. Kaiser Napoleon schickte an seinen siegreichen Gegner folgenden Brief: Monsieur inon frere, N'ayant pas pu rnourir au milieu de mes troupes, il ne me reste qu' remettre mon epee entre les mains de Yotre Majeste. Je suis de Votre Majeste le von frere Napoleon. Sedan, le lier sept. 1870." König Wilhelm antwortete: Monsieur mon frere, En regrettant les circonstances dans lesquelles nous nous rencontrons, j aecepte l'epee de Yotre Majeste, et je la prie de vouloir bien nommer un de Vos officiers muni de Vos pleins pouvoirs pour traiter de la capi-tulatin de l'armee, qui s'est si bravement battue sous Vos ordres. De mon cte, j'ai designe le general de Moltke cet effet. Je suis de Votre Majeste le von frere Guillaume. Jjevant Sedan, le 1. septembre 187." Sn Donchery begannen noch am spten Abend die Kapitulationsverhand-luugen. . Als deutscher Bevollmchtigter hatte sich General v. Moltke dorthin

3. Ausgewählte Abschnitte aus Quellenschriften und hervorragenden Geschichtswerken nebst einer Einleitung über Geschichtsquellen - S. 159

1911 - Leipzig : Hirt
24. Der Berliner Kongre. 159 semaines, je me rendrai aux eaux pour ne plus revenir aux affaires. Je tiens le certificat de la faculte que je suis untauglich, phrase officielle pour l'ad-mission la retraite, et qui dans cette circonstance ne dit que la triste verite! Je n'y tiens plus. Avant cette epoque j'aurai repondre la derniere enigme de votre politique; je suis maladroit deviner, j'ai besoin d'etre eclaire sur une pensee intime que j'ai ce qu'il parait, mal comprise par le passe. En ne recevant ni consigne ni avis, je ne saurai trouver la ligne etroite entre le rep rche d'encourager le Tre en parlant paix et le soupgon de pousser traitreusement la guerre. Je viens de passer sous le feu de ces accusations en sens oppos6 et je n'ai pas envie de m'y exposer de nouveau sans pilote et sans phare meme qui indique le port o vous desirez nous voir arriver. Bismarck. Londres, le 25 fvr. 1877. Mon eher Prince, J'ai 6te tres profondment touch de votre si bonne lettre seulement c'est un vrai remords pour moi que de penser la peine que vous vous etes donnee de l'6crire et au temps pr6cieux (quand c'est le votre) qu'elle vous cote! Cette lettre restera un des meilleurs souvenirs de ma carriere politique et je la leguerai mon fils. Eloigne depuis un an de Berlin et de Petersbourg, le doute s'etait empare de moi. Je pensais que ce qui avait existe n'existait peut-etre plus. Vous m'en donnez la preuve contraire. Je m'en r6jouis en von Russe et de tout mon Coeur. Si je n'avais pas retrouve en vous, eher Prince, l'homme qui ne varie jamais ni en politique, ni dans sa bienveillance pour ses amis, c'est alors pour le coup que j'aurais vendu mes fonds russes comme vous aviez voulu le faire il y a trois ans, parce que vous aviez une trop haute opinion de moi. J'ai copie quelques passages de votre lettre, et les ai envoyes mon Empereur. Je sais que cela lui fera plaisir de les lire. Toutes les fois qu'il s'est trouve en con-tact direct avec vous, il en est resulte du von et de l'utile; or lire ce que vous 6crivez quelqu'un que vous honorez du titre d'ami, c'est pour l'empereur, comme s'il 6tait en rapports directs. Inutile d'ajouter que j'ai omis tout ce qui concernait Gortschakow, car j'ai consid6r6 vos allusions son egard comme une preuve de confiance dans ma dis-cr6tion. Tout mal informe que je suis (et pour cause) de ce que l'on veut P6tersbourg, l'ajournement et le desarmement me paraissent probables. La paix avec la Serbie et le Montenegro va etre conclue, dit-on. Le grand-visir adresse des lettres Decazes et Derby pour leur d6clarer que le Sultan promet d'accomplir spontanement toutes les reformes demandees par la conf6rence. L'eu-rope va nous demander d'accorder du temps la Turquie. Serait-ce le moment favorable pour nous de d6clarer la guerre et de nous aliner encore davantage les sentiments de l'europe? I

4. Ausgewählte Abschnitte aus Quellenschriften und hervorragenden Geschichtswerken nebst einer Einleitung über Geschichtsquellen - S. 158

1911 - Leipzig : Hirt
158 24. Der Berliner Kongre. besprechen; er war nicht in Berlin beglaubigt, sondern in London, seine persnlichen Beziehungen zu mir gestatteten ihm aber, sowohl bei seinen vorbergehenden Be-rhrungen Berlins auf der Durchreise wie während des Kongresses mit nur alle Eventualitten rckhaltlos zu besprechen. Anfang Februar 1877 hatte ich von ihm ein lngeres Schreiben aus London er-halten; meine Antwort und seine Erwiderung darauf lasse ich folgen: Berlin, le 15 fvrier 1877. Cher Comte, Je vous remercie des bonnes paroles que vous avez bien voulu m'ecrire et je suis bien oblig6 au Cte. Munster pour avoir si bien interprete en cette occasion les sentiments, qui des notre premiere connaissance ont forme entre nous un lien qui survivra aux relations politiques, qui aujourd'hui nous mettent en rapport. Parmi les regrets que me laissera la vie officielle, celui qui naitra du souvenir de mes relations avec vous, sera des plus vifs. Quel que soit l'avenir politique de nos deux pays, la part que j'ai prise au passe, me laissera la satisfaction, qu'au sujet de la ncessite de leur alliance, j'ai de tout temps et6 d'accord avec rhomme d'6tat le plus aimable parmi vos com-patriotes. Tant que je resterai en place, je serai fidele aux traditions qui m'ont guide depuis 25 ans et dont les prineipes coincident avec les idees d6velopp6es dans votre lettre au sujet des services que la Russie et l'allemagne peuvent se rendre et se sont rendus mutuellement depuis plus d'un siede sans que les interets speciaux de l'une ou de l'autre en aient souffert. C'est cette conviction qui m'a guide en 1848, en 54, en 63 comme dans la Situation actuelle, et pour laquelle j'ai r6ussi gagner l'opinion de la grande majorite de mes compatriotes. C'est une ceuvre qu'il sera peut-etre plus facile de detruire qu'il n'a 6te de la creer, surtout dans le cas o mes successeurs ne mettraient pas la meme constance que moi cultiver des traditions dont l'exp6rience leur manquera, et quelquefois l'abnegation d'amour propre, qu'il faut pour subordonner les apparences au fond des affaires, les sus-ceptibilites aux grands interets monarchiques. Un vieux routier de ma trempe ne se laisse pas facilement drouter par de fausses alarmes, et dans l'interet de mon Souverain et de mon pays, je sais oublier les deboires qui pendant les derniers deux ans ne m'ont pas ete epargnes de la part de chez vous; je ne tiens pas compte des flirtations que mon ancien ami et tuteur de Petersbourg et mon jeune ami Paris1 y entretiennent; mais avec les Chanceliers qui me suivront, il sera peut-etre plus aise d'egarer leur jugement politique en leur faisant entrevoir comme on l'a fait depuis trois ans, la facilite que l'on aurait chez vous creer une coalition sur la base de la revanche. Le sangfroid avec lequel j'envisage cette eventualis, je ne pourrai pas le leguer mon successeur. Avec des journaux officieux qui menacent, avec des clineries parisiennes en feuilletons et en lettres aux dames politiques, il ne sera pas trop difficile un de ces jours de fausser la boussole un ministre allemand epouvante par l'idee de l'isolement, et pour l'eviter il prendra des engagements maladroits, mais difficiles resoudre apres coup. Ce ne sera pas moi dans tous les cas; car des que j'aurai satisfait tant bien que mal aux exigences de la diete qui s'ouvrira le 22 et qui ne doit durer que quelques 1 Orlow.

5. Quellenlesebuch - S. 159

1916 - Leipzig : Hirt
24. Der Berliner Kongre. 159 semaines, je me rendrai aux eaux pour ne plus revenir aux affaires. Je tiens le certificat de la facults que je suis untauglich, phrase officielle pour l'ad-mission la retraite, et qui dans cette circonstance ne dit que la triste verite! Je n'y tiens plus. Avant cette epoque j'aurai repondre la derniere enigme de votre politique; je suis maladroit deviner, j'ai besoin d'etre eclaire sur une pensee intime que j'ai ce qu'il parait, mal comprise par le passe. En ne recevant ni consigne ni avis, je ne saurai trouver la ligne 6troite entre le reproche d'encourager le Tre en parlant paix et le soupqon de pousser traitreusement la guerre. Je viens de passer sous le feu de ces accusations en sens oppose et je n'ai pas envie de m'y exposer de nouveau sans pilote et sans phare meme qui indique le port o vous dsirez nous voir arriver. Bismarck. Londres, le 25 f6vr. 1877. Mon eher Prince, J'ai 6t6 tres profondement touch de votre si bonne lettre seulement c'est un vrai remords pour moi que de penser la peine que vous vous etes donn6e de l'ecrire et au temps preieux (quand c'est le votre) qu'elle vous cote! Cette lettre restera un des meilleurs Souvenirs de ma carriere politique et je la 16guerai mon fils. Eloign6 depuis un an de Berlin et de Petersbourg, le doute s'6tait empare de moi. Je pensais que ce qui avait exist6 n'existait peut-etre plus. Vous m'en donnez la preuve contraire. Je m'en r6jouis en von Russe et de tout mon coeur. Si je n'avais pas retrouv en vous, eher Prince, l'homme qui ne varie jamais ni en politique, ni dans sa bienveillance pour ses amis, c'est alors pour le coup que j'aurais vendu mes fonds russes comme vous aviez voulu le faire il y a trois ans, parce que vous aviez une trop haute opinion de moi. J'ai copie quelques passages de votre lettre, et les ai envoys mon Empereur. Je sais que cela lui fera plaisir de les lire. Toutes les fois qu'il s'est trouv en con-tact direet avec vous, il en est r6sult6 du von et de l'utile; or lire ce que vous 6crivez quelqu'un que vous honorez du titre d'ami, c'est pour l'empereur, comme s'il 6tait en rapports directs. Inutile d'ajouter que j'ai omis tout ce qui concernait Gortschakow, car j'ai consid6r6 vos allusions son egard comme une preuve de confiance dans ma dis-cr6tion. Tout mal inform6 que je suis (et pour cause) de ce que l'on veut Petersbourg, l'ajournement et le dsarmement me paraissent probables. La paix avec la Serbie et le Mont6n6gro va etre conclue, dit-on. Le grand-visir adresse des lettres Decazes et Derby pour leur declarer que le Sultan prometi d'accomplir spontanement toutes les reformes demandees par la conference. L'eu-rope va nous demander d'accorder du temps la Turquie. Serait-ce le moment favorable pour nous de dclarer la guerre et de nous aliner encore davantage les sentiments de l'europe?

6. Quellenlesebuch - S. 158

1916 - Leipzig : Hirt
158 24. Der Berliner Kongre. besprechen; er war nicht in Berlin beglaubigt, sondern in London, seine persnlichen Beziehungen zu mir gestatteten ihm aber, sowohl bei seinen vorbergehenden Be-rhrungen Berlins auf der Durchreise wie während des Kongresses mit mir alle Eventualitten rckhaltlos zu besprechen. Anfang Febmar 1877 hatte ich von ihm ein lngeres Schreiben aus London er-halten; meine Antwort und seine Erwiderung darauf lasse ich folgen: Berlin, le 15 fvrier 1877. Cher Comte, Je vous remercie des bonnes paxoles que vous avez bien voulu m'6crire et je suis bien oblig6 au Cte. Munster pour avoir si bien interpr6t6 en cette occasion les sentiments, qui des notre premiere connaissance ont form entre nous un lien qui survivra aux relations politiques, qui aujourd'hui nous mettent en rapport. Parmi les regrets que me laissera la vie officielle, celui qui naitra du Souvenir de mes relations avec vous, sera des plus vifs. Quel que soit l'avenir politique de nos deux pays, la part que j'ai prise au pass, me laissera la satisfaction, qu'au sujet de la necessite de leur alliance, j'ai de tout temps 6t d'accord avec l'homme d'6tat le plus aimable parmi vos com-patriotes. Tant que je resterai en place, je serai fidele aux traditions qui m'ont guid depuis 25 ans et dont les principes coincident avec les ides d6velopp6es dans votre lettre au sujet des services que la Russie et l'allemagne peuvent se rendre et se sont rendus mutuellement depuis plus d'un sicle sans que les interets spciaux de l'une ou de l'autre en aient souffert. G'est cette conviction qui m'a guid en 1848, en 54, en 63 comme dans la Situation actuelle, et pour laquelle j'ai russi gagner l'opinion de la grande majorit de mes compatriotes. C'est une oeuvre qu'il sera peut-etre plus facile de d6truire qu'il n'a ete de la cr6er, surtout dans le cas ou mes successeurs ne mettraient pas la meme constance que moi cultiver des traditions dont l'exp6rience leur manquera, et quelquefois l'abn6gation d'amour propre, qu'il kaut pour subordonner les apparences au fond des affaires, les sus-ceptibilit6s aux grands int6rets monarchiques. Un vieux routier de ma trempe ne se laisse pas facilement drouter par de fausses alarmes, et dans Finteret de mon Souverain et de mon pays, je sais oublier les deboires qui pendant les demiers deux ans ne m'ont pas 6te 6pargn6s de la part de chez vous; je ne tiens pas compte des flirtations que mon ancien ami et tuteur de Petersbourg et mon jeune ami Paris1 y entretiennent; mais avec les Chanceliers qui me suivront, il sera peut-etre plus ais6 d'egarer leur jugement politique en leur faisant entrevoir comme on l'a fait depuis trois ans, la facilite que l'on aurait chez vous cr6er une coalition sur la base de la revanche. Le sangfroid avec lequel j'envisage cette 6ventualit, je ne pourrai pas le leguer mon successeur. Avec des journaux officieux qui menacent, avec des clineries parisiennes en feuilletons et en lettres aux dames politiques, il ne sera pas trop difficile un de ces jours de fausser la boussole un ministre allemand 6pouvant6 par l'ide de l'isolement, et pour l'&viter il prendra des engagements maladroits, mais difficiles rsoudre apres coup. Ce ne sera pas moi dans tous les cas; car des que j'aurai satisfait tant bien que mal aux exigences de la diete qui s'ouvrira le 22 et qui ne doit durer que quelques i Orlow.

7. Quellenlesebuch - S. 158

1912 - Leipzig : Hirt
158 24. Der Berliner Kongre. besprechen; er war nicht in Berlin beglaubigt, sondern in London, seine persnlichen Beziehungen zu mir gestatteten ihm aber, sowohl bei seinen vorbergehenden Be-rhmngen Berlins auf der Durchreise wie während des Kongresses mit mir alle Eventualitten rckhaltlos zu besprechen. Anfang Februar 1877 hatte ich von ihm ein lngeres Schreiben aus London er-halten; meine Antwort und seine Erwiderung darauf lasse ich folgen: Berlin, le 15 fvrier 1877. Cher Comte, Je vous remercie des bonnes paroles que vous avez bien voulu m'ecrire et je suis bien oblig au Cte. Munster pour avoir si bien interpr6t6 en cette occasion les sentiments, qui des notre premiere connaissance ont forme entre nous un en qui survivra aux relations politiques, qui aujourd'hui nous mettent en rapport. Parmi les regrets que me laissera la vie officielle, celui qui naitra du souvenir de mes relations avec vous, sera des plus vifs. Quel que soit Favenir politique de nos deux pays, la part que j'ai prise au pass6, me laissera la satisfaction, qu'au sujet de la n6cessit6 de leur alliance, j'ai de tout temps 6t6 d'accord avec l'homme d'6tat le plus aimable parmi vos com-patriotes. Tant que je resterai en place, je serai fidele aux traditions qui m'ont guid6 depuis 25 ans et dont les principes coincident avec les id6es developpes dans votre lettre au sujet des services que la Russie et l'allemagne peuvent se rendre et se sont rendus mutuellement depuis plus d'un siecle sans que les int6rets sp6ciaux de l'une ou de l'autre en aient souffert. C'est cette conviction qui m'a guid6 en 1848, en 54, en 63 comme dans la Situation actuelle, et pour laquelle j'ai reussi gagner l'opinion de la grande majorit de mes compatriotes. C'est une ceuvre qu'il sera peut-etre plus facile de detruire qu'il n'a et6 de la cr6er, surtout dans le cas o mes successeurs ne mettraient pas la meme constance que moi cultiver des traditions dont l'experience leur manquera, et quelquefois l'abnegation d'amour propre, qu'il faut pour subordonner les apparences au fond des affaires, les sus-ceptibilites aux grands interets monarchiques. Un vieux routier de ma trempe ne se laisse pas facilement derouter par de fausses alarmes, et dans l'int6ret de mon Souverain et de mon pays, je sais oublier les dtiboires qui pendant les derniers deux ans ne m'ont pas 6t6 6pargn6s de la part de chez vous; je ne tiens pas compte des flirtations que mon ancien ami et tuteur de Petersbourg et mon jeune ami Paris1 y entretiennent; mais avec les Chanceliers qui me suivront, il sera peut-etre plus aise d'egarer leur jugement politique en leur faisant entrevoir comme on l'a fait depuis trois ans, la facilit que l'on aurait chez vous cr6er une coalition sur la base de la revanche. Le sangfroid avec lequel j'envisage cette 6ventualit6, je ne pourrai pas le 16guer mon successeur. Avec des journaux officieux qui menacent, avec des chneries parisiennes en feuilletons et en lettres aux dames politiques, il ne sera pas trop difficile un de ces jours de fausser la boussole un ministre allemand epouvant par l'idee de l'isolement, et pour l'&yiter il prendra des engagements maladroits, mais difficiles r^soudre apres coup. Ce ne sera pas moi dans tous les cas; car des que j'aurai satisfait tant bien que mal aux exigences de la diete qui s'ouvrira le 22 et qui ne doit durer que quelques i Orlow.

8. Quellenlesebuch - S. 159

1912 - Leipzig : Hirt
24. Der Berliner Kongre. 159 semaines, je me rendrai aux eaux pour ne plus revenir aux affaires. Je tiens le certificat de la faculte que je suis untauglich, phrase officielle pour l'ad-mission la retraite, et qui dans cette circonstance ne dit que la triste verite! Je n'y tiens plus. Avant cette epoque j'aurai repondre la derniere enigme de votre politique; je suis maladroit deviner, j'ai besoin d'etre eclaire sur une pensee intime que j'ai ce qu'il parait, mal comprise par le passe. En ne recevant ni consigne ni avis, je ne saurai trouver la ligne etroite entre le reproche d'encourager le Tre en parlant paix et le soupyon de pousser traitreusement la guerre. Je viens de passer sous le feu de ces accusations en sens oppose et je n'ai pas envie de m'y exposer de nouveau sans pilote et sans phare meme qui indique le port o vous desirez nous voir arriver. Bismarck. Londres, le 25 fevr. 1877. Mon eher Prince, J'ai ete tres profondement touche de votre si bonne lettre seulement c'est un vrai remords pour moi que de penser la peine que vous vous etes donnee de l'ecrire et au temps precieux (quand c'est le votre) qu'elle vous cote! Cette lettre restera un des meilleurs souvenirs de ma carriere politique et je la leguerai mon fils. Eloigne depuis un an de Berlin et de Petersbourg, le doute s'etait empare de moi. Je pensais que ce qui avait existe n'existait peut-etre plus. Vous m'en donnez la preuve contraire. Je m'en rejouis en von Russe et de tout mon coeur. Si je n'avais pas retrouv6 en vous, eher Prince, l'homme qui ne varie jamais ni en pohtique, ni dans sa bienveillance pour ses amis, c'est alors pour le coup que j'aurais vendu mes fonds russes comme vous aviez voulu le faire il y a trois ans, parce que vous aviez une trop haute opinion de moi. J'ai copie quelques passages de votre lettre, et les ai envoyes mon Empereur. Je sais que cela lui fera plaisir de les lire. Toutes les fois qu'il s'est trouve en con-tact direct avec vous, il en est resulte du von et de l'utile; or lire ce que vous ecrivez quelqu'un que vous honorez du titre d'ami, c'est pour l'empereur, comme s'il 6tait en rapports directs. Inutile d'ajouter que j'ai omis tout ce qui concernait Gortschakow, car j'ai considere vos allusions son egard comme une preuve de confiance dans ma dis-cretion. Tout mal informe que je suis (et pour cause) de ce que l'on veut Petersbourg, l'ajournement et le desarmement me paraissent probables. La paix avec la Serbie et le Montenegro va etre conclue, dit-on. Le grand-visir adresse des lettres Decazes et Derby pour leur declarer que le Sultan promet d'accomplir spontanement toutes les reformes demandees par la conference. L'eu-rope va nous demander d'accorder du temps la Turquie. Serait-ce le moment favorable pour nous de d6clarer la guerre et de nous aliener encore davantage les sentiments de l'europe?

9. Landeskunde des Königreichs Sachsen - S. 27

1895 - Breslau : Hirt
I Fig. 13. Mick vom Monarchenhügel aus Leipzig über das Schlachtfeld von 1813. Fig. 14. ver Äugustusplah in Leipzig. Museum. Pleißenburg. Thomaskirche. Grimmaisches Nicolaikirche. -Neues Stadtlheater. Augusteum (Universitäts. Pauliner- Thor. Mende-Brunnen. kirche. (Grim. Str.s t>v öilüisz u; gvsàsniinlinil asl vilctisz lnv isönhuspavuojzz moa pijfg

10. Landeskunde der Freien Hansestadt Bremen und ihres Gebietes - S. 18

1889 - Breslau : Hirt
18 Sanbeêîunbe der freien §anfeftabt Sremen. Sanbgebiet íjat 13 ®irdjbörfer, nämlidj: Dberneulanb, iporn, ©org* feíb, ^aftebt, Sbafferljorft, (Gröpelingen, Sbattc, Sjiitteïêbûren, (Srambïe, Slrften, ®ir$í)uc§ting, ^ablingfyaufen, ©eeíjaufen; ¿toei (Semeinben, ©djtuadj» Raufen und üfteueníanb, finb in der ©tabt Bremen eingepfarrt. ®ie (Semeinben mit meíjr aí§ 500 ©imuoíjnern finb die folgenben : !3m Sserberlanb : ¡3m ¿potterlanb: 2baíle..... 3755 Dberneulanb..... 788 (Gröpelingen . . 1710 9iodminfeí......1332 Dëiebêijaufen. . 73(i 0fterf)ol¿ mit Senöoer (Srambfe. . . . 546 und ©djeüentoor. . 801 S m ©íodíanb: fein Ort. ©ebalbébrüd .... 591 ¡yn Dberüielanb : ©Hen mit §tiger§famp 682 §abení)aufett . . 857 £)oru mit 2eí)e . . . 805 Slrften..... 1277 Ssafjr........ 005 Üftieberüieíanb : §aftebt....... 4525 Sboltmeréíjaufen 2555 <Scf)toaci)^aujert. . . . 1223 ¿pafenbüren. . . 677 ®ie Drtfdjaften Befteíjen meift nicí)t auê gefdjloffenen Dörfern, fonbern auê lueitgebcíjnten ¿pauferreiíjen, die fiá) íangé der Sdeidje und Sanbftrafjen f)in§ieí)en, ober auê (Sruppen üon (Sei)öften, bereu jebeê non (Sentüfeíanb, oft and), tuie in ^ieberbeutfdjianb fo Ijäufig, t>on etroaê (Seíjoíj umgeben ist, ober au§ gerftreut liegenbett §offteí(en. 2)a§ §au§ be§ Sauern geigt nod) üieífad) bag (Gepräge be§ nieberfäd)fifd)eu ©auernljaufeê mit í)oí)cm @troí)bad) und aí§ (Siebeígeidjen gtnei gefreute ^ferbeföpfe ; die Stallungen für ba§ Ssieí) redjtê und Îinïê neben der „®eele", in tueídje man bitrd) die Xfjorfaijrt eintritt, batjinter der offene §erb und die Sboijnräume der gamiíie. Sdie midjtigften ©örfer, teiltüeife ©orörter üon der ©tabt Bremen, finb : §aftebt, $ird)borf ant rechten Söeferufer, an der ©fjauffee üon ©remen nad) 2íd)im, begtu. Hamburg; e§ ist ba§ größte ®orf be» bremifdejen (Sebietê (4500 étnm.), fdjliefjt fid) unmittelbar ait die öftlidje ©orftabt und erftredt fid) bi§ ©ebaíbébrüd ((Sifenbaljnftation) und dem í)amtoüerfd)cn fçabrifborfe Hemelingen. ®aê Sdorf ist der 2öof)uort gaf)lreid)er Arbeiter, iueid)e in ©remen und in den beiben eben genannten Orten iijrem ©rtoerbe nadjgetjeit. Horn ist ein feíjr alteé ®ird)borf, 5 km nörblid) üon ©remen au der Sí) a it ff ee nad) Siíientíjaí. ¿pier und in dem benachbarten Sdorfe ©cfjmad) f) aufett §af)Ireid)e Sanb- und ©ommerfitje mo^lfjabenber ©renter gamiíien. 0berneníaub, ßirdjborf, ©talion der ©remen^amburger ©ifenbaíjn, 11 km oftíid) üon ©remen, liegt in ebener, ineift fanbiger, aber anmutiger Sanbfdjaft und ist ebenfalls üon jeijer megen feiner prächtigen ííeinen @id)en= ge^ölje ein beliebter ©ommeraufent^aít ©renter gamiíien getnefen. Ssaííe, baê gtüeitgröfjte ®ird)borf, an der Síjauffee nad) ©egefaef* (Seeftemiínbe, einê der älteften beê bremifd)cn (Sebietê; e§ liegt auf der ®ünenfette, tueldje ba§ redete Sbeferufer begleitet. gaíjíreitfje Arbeiter moquen l)ier. Skoltmerêiiaufen, am liníen Sbeferufer int 9?icberüieíanb, faft un= mittelbar att die Dîeuftabt grengenb, íjat mehrere ©íeidjen, Ziegeleien, eine £oígfd)neiberei, treibt 9jíiíd))oirtfd)aft und (Semüfebau. 21udj i)ier moijnen %af)U reiche Arbeiter.
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